Les frondeurs du Front de libération nationale (FLN) se sont réunis hier à la kasma du vieux parti à El Madania, à Alger. Au cours de cette réunion, il a été présenté un projet de motion signée par ses membres pour une destitution de l'actuel secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem. Les frondeurs du Front de libération nationale (FLN) se sont réunis hier à la kasma du vieux parti à El Madania, à Alger. Au cours de cette réunion, il a été présenté un projet de motion signée par ses membres pour une destitution de l'actuel secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem. La motion présentée vise aussi à déclarer la vacance du poste de secrétaire général. Alors que la tension monte dans les rangs du vieux parti, les redresseurs ont annoncé retarder leur décision jusqu'au 15 juin prochain, date à laquelle Belkhadem a convoqué à une réunion ordinaire du comité central du parti. Les redresseurs et contestataires sont au nombre de 208, selon eux, ce qui leur permet de destituer Belkhadem. Un haut cadre du comité central a rejoint le mouvement de contestation. Il s'agit de Bouhara Abderrezak dont la voix, dit-on, a son poids. Dans cette motion, précise-t-on, les redresseurs dénoncent, entre autres, les dérives de Belkhadem, le non respect des textes et règlements du parti ou encore le refus du dialogue. Pendant ce temps, soulignons que Belkhadem a préféré tenir des réunions, à l'instar de celle de vendredi dernier, où il a réuni les nouveaux députés de son parti, suite à la dernière victoire du vieux parti aux législatives du 10 mai. Une manière, sans doute, de minimiser l'impact des contestations au sein même du FLN. Les redresseurs affichent leur détermination à poursuivre leur combat pour la destitution de Belkhadem La motion présentée vise aussi à déclarer la vacance du poste de secrétaire général. Alors que la tension monte dans les rangs du vieux parti, les redresseurs ont annoncé retarder leur décision jusqu'au 15 juin prochain, date à laquelle Belkhadem a convoqué à une réunion ordinaire du comité central du parti. Les redresseurs et contestataires sont au nombre de 208, selon eux, ce qui leur permet de destituer Belkhadem. Un haut cadre du comité central a rejoint le mouvement de contestation. Il s'agit de Bouhara Abderrezak dont la voix, dit-on, a son poids. Dans cette motion, précise-t-on, les redresseurs dénoncent, entre autres, les dérives de Belkhadem, le non respect des textes et règlements du parti ou encore le refus du dialogue. Pendant ce temps, soulignons que Belkhadem a préféré tenir des réunions, à l'instar de celle de vendredi dernier, où il a réuni les nouveaux députés de son parti, suite à la dernière victoire du vieux parti aux législatives du 10 mai. Une manière, sans doute, de minimiser l'impact des contestations au sein même du FLN. Les redresseurs affichent leur détermination à poursuivre leur combat pour la destitution de Belkhadem