L'Assemblée populaire nationale (APN) tiendra samedi 26 mai sa première séance plénière au titre de la septième législature conformément aux dispositions de l'article 113 de la Constitution, a indiqué lundi un communiqué de l'Assemblée. Pour sa part, Le Conseil constitutionnel rendra public mercredi, au plus tard, sa décision finale concernant les recours déposés par les candidats et les partis politiques ayant participé au scrutin du 10 mai 2012, a fait savoir, hier, une source proche de cette institution. Le Conseil constitutionnel, qui a reçu au total 167 recours, a déjà adressé des notifications aux candidats dont l'élection est contestée et attend leurs réponses et observations qui devraient lui parvenir dans un délai de quatre jours à compter de la date de notification, a indiqué la même source. Ainsi les délais légaux seront respectés. La 7e législature débute de plein droit le 10e jour suivant la date d'élection de ses membres, conformément à l'article 113 de la Constitution fixant le règlement intérieur, sous la présidence de son doyen d'âge assisté des deux députés les plus jeunes. La séance sera présidée par le doyen des élus assisté des deux plus jeunes députés de la nouvelle assemblée, conformément à l'article 2 du règlement intérieur de l'APN. Cette première séance plénière sera consacrée à l'appel des députés, à la constitution de la commission de validation de la qualité de membre et à l'élection du nouveau président de l'APN, a précisé la même source. Elle procèdera à l'élection de son bureau et la constitution de ses commissions pour la validation du mandat des cinq années, 2012-2017, de ses 462 nouveaux locataires, répartis entre les 27 partis politiques et le groupe des 19 indépendants. Une APN new-look occupera donc les travées de l'hémicycle. Sur les 462 parlementaires, 145 sont des femmes par la grâce de la loi organique sur l'élargissement de la représentation des femmes au sein des assemblées populaires élues en volonté politique nationale. Une APN également new-look et inédite par le fait qu'un parti, le FLN, dispose de la majorité absolue si l'on se fie aux déclarations de son secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, qui a fait état d'un retour au bercail de treize députés nouvellement élus. Ainsi donc, le FLN dispose d'un nombre de 234 sièges. Une majorité absolue. Ce qui lui permet d' «éviter» de contracter des alliances au sein de l'Assemblée, source souvent de tractations, de compromis qui vont à l'encontre des principes du parti et de ses députés. Cependant des sources évoquent «une alliance» du FLN avec le FFS. Ce serait aussi «inédit». Les programmes politiques des deux partis sont dans certains de leurs aspects diamétralement opposés. Il n'y a qu'à se référer à «ni Etat policier, ni Etat théocratique», un slogan cher aux militants et sympathisants du vieux parti opposant. Ce serait un revirement spectaculaire du FFS. Est-ce dû à un «marché» conclu quelque part dans les centres de décision après des « négociations» sur l'avenir politique de l'Algérie. Un avenir qui se construirait sans le RND d' Ahmed Ouyahia et de Bougerra Soltani. Deux partis qui ont occupé les premières loges dans l'architecture parlementaire sortante. Les zones d'ombres se dissiperont dès la discussion des projets de loi qui seront soumis à l'examen des députés pour leur adoption. Une particularité de cette législature et autre fait inédit : elles seront 145 femmes parmi les 462 hommes. Par leur présence massive au sein de l'institution législative, elles peuvent créer un nouveau rapport en termes d'élaboration de projets de loi qui vont traduire dans les faits les préoccupations des citoyens. Enfin, les femmes qui prennent au «sérieux» le rôle de la fonction législative, nous permet de ne pas vivre les moments de «solitude» dans lesquels se trouvait souvent l'instance légiférante du fait de l'abstentéisme et de la démission des députés à exercer les prérogatives qui leur confèrent les textes. L'Assemblée populaire nationale (APN) tiendra samedi 26 mai sa première séance plénière au titre de la septième législature conformément aux dispositions de l'article 113 de la Constitution, a indiqué lundi un communiqué de l'Assemblée. Pour sa part, Le Conseil constitutionnel rendra public mercredi, au plus tard, sa décision finale concernant les recours déposés par les candidats et les partis politiques ayant participé au scrutin du 10 mai 2012, a fait savoir, hier, une source proche de cette institution. Le Conseil constitutionnel, qui a reçu au total 167 recours, a déjà adressé des notifications aux candidats dont l'élection est contestée et attend leurs réponses et observations qui devraient lui parvenir dans un délai de quatre jours à compter de la date de notification, a indiqué la même source. Ainsi les délais légaux seront respectés. La 7e législature débute de plein droit le 10e jour suivant la date d'élection de ses membres, conformément à l'article 113 de la Constitution fixant le règlement intérieur, sous la présidence de son doyen d'âge assisté des deux députés les plus jeunes. La séance sera présidée par le doyen des élus assisté des deux plus jeunes députés de la nouvelle assemblée, conformément à l'article 2 du règlement intérieur de l'APN. Cette première séance plénière sera consacrée à l'appel des députés, à la constitution de la commission de validation de la qualité de membre et à l'élection du nouveau président de l'APN, a précisé la même source. Elle procèdera à l'élection de son bureau et la constitution de ses commissions pour la validation du mandat des cinq années, 2012-2017, de ses 462 nouveaux locataires, répartis entre les 27 partis politiques et le groupe des 19 indépendants. Une APN new-look occupera donc les travées de l'hémicycle. Sur les 462 parlementaires, 145 sont des femmes par la grâce de la loi organique sur l'élargissement de la représentation des femmes au sein des assemblées populaires élues en volonté politique nationale. Une APN également new-look et inédite par le fait qu'un parti, le FLN, dispose de la majorité absolue si l'on se fie aux déclarations de son secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, qui a fait état d'un retour au bercail de treize députés nouvellement élus. Ainsi donc, le FLN dispose d'un nombre de 234 sièges. Une majorité absolue. Ce qui lui permet d' «éviter» de contracter des alliances au sein de l'Assemblée, source souvent de tractations, de compromis qui vont à l'encontre des principes du parti et de ses députés. Cependant des sources évoquent «une alliance» du FLN avec le FFS. Ce serait aussi «inédit». Les programmes politiques des deux partis sont dans certains de leurs aspects diamétralement opposés. Il n'y a qu'à se référer à «ni Etat policier, ni Etat théocratique», un slogan cher aux militants et sympathisants du vieux parti opposant. Ce serait un revirement spectaculaire du FFS. Est-ce dû à un «marché» conclu quelque part dans les centres de décision après des « négociations» sur l'avenir politique de l'Algérie. Un avenir qui se construirait sans le RND d' Ahmed Ouyahia et de Bougerra Soltani. Deux partis qui ont occupé les premières loges dans l'architecture parlementaire sortante. Les zones d'ombres se dissiperont dès la discussion des projets de loi qui seront soumis à l'examen des députés pour leur adoption. Une particularité de cette législature et autre fait inédit : elles seront 145 femmes parmi les 462 hommes. Par leur présence massive au sein de l'institution législative, elles peuvent créer un nouveau rapport en termes d'élaboration de projets de loi qui vont traduire dans les faits les préoccupations des citoyens. Enfin, les femmes qui prennent au «sérieux» le rôle de la fonction législative, nous permet de ne pas vivre les moments de «solitude» dans lesquels se trouvait souvent l'instance légiférante du fait de l'abstentéisme et de la démission des députés à exercer les prérogatives qui leur confèrent les textes.