La polémique sur la disponibilité ou non de certains médicaments sur le marché continue de susciter l'attention de l'opinion publique nationale. Cette véritable bataille qui oppose le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, et les syndicats du secteur depuis de longs mois déjà, ne donne pas l'impression de perdre de son intensité, loin s'en faut. La polémique sur la disponibilité ou non de certains médicaments sur le marché continue de susciter l'attention de l'opinion publique nationale. Cette véritable bataille qui oppose le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, et les syndicats du secteur depuis de longs mois déjà, ne donne pas l'impression de perdre de son intensité, loin s'en faut. En effet les déclarations rassurantes du ministre de la Santé sur la disponibilité à profusion des médicaments n'emportent pas du tout l'adhésion des syndicats du secteur. Le Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) vient ainsi d'apporter la preuve que la pénurie des médicaments n'est pas une simple vue de l'esprit, mais existe bel et bien. Le SNPSP s'est basé sur une enquête nationale au niveau des établissements de santé publique pour apporter le plus ferme démenti à Djamal Ould Abbès. Une enquête qui a concerné 21 wilayas et qui s'est étalée du 20 mars au 20 mai, soit deux mois d'investigations. Dans cette enquête, qui ne manquera certainement pas de relancer de plus belle la polémique, le SNPSP fait cas des divers consommables en rupture de stocks sur le marché national. Il est ainsi question des tuberculines pour IDR, des films pour radiologie (pour différentes dimensions, du gel pour examens échographiques, des poches pour prélèvements de sang et de milieux de cultures pur examens de laboratoires. Avec plus de détails, le SNPSP évoque les antituberculeux, les anesthésiques, les medicine-balls de cardiologie, à l'exemple de la digoxine CP0,25 mg, des anti-inflamatoires majeurs, de gastro entérologie etc. Pour le SNPSP donc, la pénurie touche un large éventail de médicaments alors que le ministre de la Santé veut faire l'impasse sur cette question en tenant à rassurer l'opinion nationale. Dans ses différentes déclarations, Djamal Ould Abbès reconnaît cependant l'existence de dysfonctionnement. Le département du Dr Ould Abbès tente à travers plusieurs mesures de mettre fin aux pénuries et au dysfonctionnement qui caractérisent le marché du médicament. Le ministre de la Santé avait obtenu des importateurs l'engagement d'importer 2966 marques différentes de médicaments. Il n'a cessé d'accuser les importateurs d'être à l'origine de cette situation. «Ces importateurs ont été pourtant et pour la première fois destinataires d'un cahier des charges, le 15 novembre, et ont été tous détenteurs d'autorisations d'importation avant le 31 décembre. Ils devaient importer dans les trois mois après la remise du programme prévisionnel», a-t-il souvent indiqué. En effet les déclarations rassurantes du ministre de la Santé sur la disponibilité à profusion des médicaments n'emportent pas du tout l'adhésion des syndicats du secteur. Le Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) vient ainsi d'apporter la preuve que la pénurie des médicaments n'est pas une simple vue de l'esprit, mais existe bel et bien. Le SNPSP s'est basé sur une enquête nationale au niveau des établissements de santé publique pour apporter le plus ferme démenti à Djamal Ould Abbès. Une enquête qui a concerné 21 wilayas et qui s'est étalée du 20 mars au 20 mai, soit deux mois d'investigations. Dans cette enquête, qui ne manquera certainement pas de relancer de plus belle la polémique, le SNPSP fait cas des divers consommables en rupture de stocks sur le marché national. Il est ainsi question des tuberculines pour IDR, des films pour radiologie (pour différentes dimensions, du gel pour examens échographiques, des poches pour prélèvements de sang et de milieux de cultures pur examens de laboratoires. Avec plus de détails, le SNPSP évoque les antituberculeux, les anesthésiques, les medicine-balls de cardiologie, à l'exemple de la digoxine CP0,25 mg, des anti-inflamatoires majeurs, de gastro entérologie etc. Pour le SNPSP donc, la pénurie touche un large éventail de médicaments alors que le ministre de la Santé veut faire l'impasse sur cette question en tenant à rassurer l'opinion nationale. Dans ses différentes déclarations, Djamal Ould Abbès reconnaît cependant l'existence de dysfonctionnement. Le département du Dr Ould Abbès tente à travers plusieurs mesures de mettre fin aux pénuries et au dysfonctionnement qui caractérisent le marché du médicament. Le ministre de la Santé avait obtenu des importateurs l'engagement d'importer 2966 marques différentes de médicaments. Il n'a cessé d'accuser les importateurs d'être à l'origine de cette situation. «Ces importateurs ont été pourtant et pour la première fois destinataires d'un cahier des charges, le 15 novembre, et ont été tous détenteurs d'autorisations d'importation avant le 31 décembre. Ils devaient importer dans les trois mois après la remise du programme prévisionnel», a-t-il souvent indiqué.