Le bilan de l'attaque terroriste qui a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche dernier dans la localité de Ouacif, cinquante kilomètres au sud-est de la ville de Tizi-Ouzou, fait état de deux morts et de six blessés. Parmi ces derniers, on dénombre deux civils et quatre policiers. L'attaque terroriste est presque inédite dans les annales du terrorisme dans la wilaya de Tizi-Ouzou. A la même heure, plusieurs infrastructures des services de sécurité ont été prises pour cible par les terroristes, y compris le barrage fixe des forces de l'ANP de Takhoukht se trouvant au carrefour Ouacif-Ouadhia. Les attaques ont été simultanées mais les services de sécurité ont réagi avec prudence. Autrement d'ailleurs, le bilan aurait été plus lourd. Il était vingt heures trente quand les premiers coups de feu sont partis. Mais avant cela, des coups de heb-heb (mortiers artisanaux) ont été lancés à partir d'une colline qui surplombe la ville de Ouacif. Les terroristes, postés à cet endroit, ont visé les sièges de la sûreté de la daïra de Ouacif et le siège de la Brigade mobile de la police judiciaire. Pour faciliter la perpétration de leur sale besogne, les terroristes avaient auparavant coupé le courant électrique à partir de l'alimentation principale et toute la daïra a été plongée dans le noir. C'était au moment du déroulement du match de l'équipe nationale. Tout le monde, ou presque, était posté devant son téléviseur. Après les tirs de heb-heb, les criminels ont lancé une bonbonne de gaz butane à laquelle ils ont greffé des explosifs. Par miracle et heureusement que cette dernière n'a pas explosé. Au moment où les deux sièges de la police étaient pris à partie, d'autres terroristes avaient tendu des guets-apens aux autres postes avancés des forces de l'ANP au cas où les soldats venaient en renfort. Un piège dans lequel ne sont pas tombées les forces de sécurité. Les renforts sont arrivés mais non sans avoir pris toutes les dispositions nécessaires pour éviter le pire. Des témoignages font également état de deux faux barrages dressés dans les alentours de la localité de Ouacif où tous les automobilistes ont été bloqués. Ces derniers ont été délestés de leur argent et de leurs téléphones portables. On précise que l'attaque a duré plus de deux heures. Et on ajoute que le nombre de terroristes ayant participé à cette attaque oscillerait entre cinquante et soixante. La population de Ouacif a passé une nuit blanche avant-hier. Au début de l'attaque, il a été difficile aux habitants de réaliser ce qui produisait. Ces derniers savaient qu'il s'agissait d'une attaque terroriste mais rien de plus. Il a fallu beaucoup de temps aux citoyens de la région pour se rendre compte dans le détail à quoi leur localité a servi de théâtre. Le fait que l'électricité avait été coupée n'a fait qu'accentuer le climat de terreur auquel la population est restée en proie pendant toute la nuit, une nuit d'enfer, comme nous la qualifiera un habitant de la cette petite ville. Hier matin, la population de la ville de Ouacif étaient toujours sous le choc. Des traces de l'attaque terroriste de la veille étaient perceptibles sur les murs des sièges abritant la police et la BMPJ. La police scientifique était en train d'effectuer son travail, notamment la collecte du moindre détail et de la moindre trace pouvant contribuer à mener une enquête sur ce qui venait de se produire. Une fois que les forces de l'ANP avaient repris le contrôle dans la localité de Ouacif, une vaste opération de ratissage a été enclenchée dans la même nuit. Toute la zone a été pilonnée. Des bombardements ont été entendus durant toute la soirée, indiquent les témoins.Les auteurs de cette action terroriste seraient les terroristes de la seriate de Ain El Hammam que dirigerait un certain «émir» qui s'appelle Khaled Souaf. Le bilan de l'attaque terroriste qui a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche dernier dans la localité de Ouacif, cinquante kilomètres au sud-est de la ville de Tizi-Ouzou, fait état de deux morts et de six blessés. Parmi ces derniers, on dénombre deux civils et quatre policiers. L'attaque terroriste est presque inédite dans les annales du terrorisme dans la wilaya de Tizi-Ouzou. A la même heure, plusieurs infrastructures des services de sécurité ont été prises pour cible par les terroristes, y compris le barrage fixe des forces de l'ANP de Takhoukht se trouvant au carrefour Ouacif-Ouadhia. Les attaques ont été simultanées mais les services de sécurité ont réagi avec prudence. Autrement d'ailleurs, le bilan aurait été plus lourd. Il était vingt heures trente quand les premiers coups de feu sont partis. Mais avant cela, des coups de heb-heb (mortiers artisanaux) ont été lancés à partir d'une colline qui surplombe la ville de Ouacif. Les terroristes, postés à cet endroit, ont visé les sièges de la sûreté de la daïra de Ouacif et le siège de la Brigade mobile de la police judiciaire. Pour faciliter la perpétration de leur sale besogne, les terroristes avaient auparavant coupé le courant électrique à partir de l'alimentation principale et toute la daïra a été plongée dans le noir. C'était au moment du déroulement du match de l'équipe nationale. Tout le monde, ou presque, était posté devant son téléviseur. Après les tirs de heb-heb, les criminels ont lancé une bonbonne de gaz butane à laquelle ils ont greffé des explosifs. Par miracle et heureusement que cette dernière n'a pas explosé. Au moment où les deux sièges de la police étaient pris à partie, d'autres terroristes avaient tendu des guets-apens aux autres postes avancés des forces de l'ANP au cas où les soldats venaient en renfort. Un piège dans lequel ne sont pas tombées les forces de sécurité. Les renforts sont arrivés mais non sans avoir pris toutes les dispositions nécessaires pour éviter le pire. Des témoignages font également état de deux faux barrages dressés dans les alentours de la localité de Ouacif où tous les automobilistes ont été bloqués. Ces derniers ont été délestés de leur argent et de leurs téléphones portables. On précise que l'attaque a duré plus de deux heures. Et on ajoute que le nombre de terroristes ayant participé à cette attaque oscillerait entre cinquante et soixante. La population de Ouacif a passé une nuit blanche avant-hier. Au début de l'attaque, il a été difficile aux habitants de réaliser ce qui produisait. Ces derniers savaient qu'il s'agissait d'une attaque terroriste mais rien de plus. Il a fallu beaucoup de temps aux citoyens de la région pour se rendre compte dans le détail à quoi leur localité a servi de théâtre. Le fait que l'électricité avait été coupée n'a fait qu'accentuer le climat de terreur auquel la population est restée en proie pendant toute la nuit, une nuit d'enfer, comme nous la qualifiera un habitant de la cette petite ville. Hier matin, la population de la ville de Ouacif étaient toujours sous le choc. Des traces de l'attaque terroriste de la veille étaient perceptibles sur les murs des sièges abritant la police et la BMPJ. La police scientifique était en train d'effectuer son travail, notamment la collecte du moindre détail et de la moindre trace pouvant contribuer à mener une enquête sur ce qui venait de se produire. Une fois que les forces de l'ANP avaient repris le contrôle dans la localité de Ouacif, une vaste opération de ratissage a été enclenchée dans la même nuit. Toute la zone a été pilonnée. Des bombardements ont été entendus durant toute la soirée, indiquent les témoins.Les auteurs de cette action terroriste seraient les terroristes de la seriate de Ain El Hammam que dirigerait un certain «émir» qui s'appelle Khaled Souaf.