Les prix du pétrole poursuivaient leur hausse vendredi en fin d'échanges européens, dans un marché rassuré par la croissance chinoise au deuxième trimestre, moins négative que prévu. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août, échangé sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, valait 102,39 dollars, en hausse de 1,32 dollar par rapport à la clôture de jeudi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance montait de 74 cents à 86,82 dollars.Les analystes estiment que les statistiques économiques chinoises "ne sont pas aussi désastreuses" que certains le redoutaient.Le gouvernement chinois a annoncé vendredi que la croissance du Produit intérieur brut (PIB) de la Chine, deuxième consommateur de brut au monde, était tombée à 7,6% au deuxième trimestre, contre 8,1% au premier. Ce taux progresse à un rythme le plus faible en plus de trois ans en raison notamment des difficultés économiques de la zone euro, un important partenaire commercial de la Chine. Bien que le taux de croissance du PIB est "très bas" au regard des standards chinois, "il reste toutefois conforme aux attentes et n'a donc pas entraîné une surprise susceptible de faire chuter les prix", notent les analystes. Par ailleurs, la hausse des prix était confortée par un regain de tension dans le dossier iranien, après l'annonce de nouvelles sanctions américaines pour renforcer la pression de l'Iran. Cependant, des incertitudes sur la demande pétrolière mondiale inquiètent toujours les investisseurs. Ainsi, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) mercredi puis l'Agence internationale de l'Energie (AIE) jeudi ont laissé quasi inchangées leurs prévisions de demande mondiale de brut pour 2012, mais ont souligné une dégradation des conditions économiques pesant sur la consommation des pays développés. Les prix du pétrole poursuivaient leur hausse vendredi en fin d'échanges européens, dans un marché rassuré par la croissance chinoise au deuxième trimestre, moins négative que prévu. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août, échangé sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, valait 102,39 dollars, en hausse de 1,32 dollar par rapport à la clôture de jeudi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance montait de 74 cents à 86,82 dollars.Les analystes estiment que les statistiques économiques chinoises "ne sont pas aussi désastreuses" que certains le redoutaient.Le gouvernement chinois a annoncé vendredi que la croissance du Produit intérieur brut (PIB) de la Chine, deuxième consommateur de brut au monde, était tombée à 7,6% au deuxième trimestre, contre 8,1% au premier. Ce taux progresse à un rythme le plus faible en plus de trois ans en raison notamment des difficultés économiques de la zone euro, un important partenaire commercial de la Chine. Bien que le taux de croissance du PIB est "très bas" au regard des standards chinois, "il reste toutefois conforme aux attentes et n'a donc pas entraîné une surprise susceptible de faire chuter les prix", notent les analystes. Par ailleurs, la hausse des prix était confortée par un regain de tension dans le dossier iranien, après l'annonce de nouvelles sanctions américaines pour renforcer la pression de l'Iran. Cependant, des incertitudes sur la demande pétrolière mondiale inquiètent toujours les investisseurs. Ainsi, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) mercredi puis l'Agence internationale de l'Energie (AIE) jeudi ont laissé quasi inchangées leurs prévisions de demande mondiale de brut pour 2012, mais ont souligné une dégradation des conditions économiques pesant sur la consommation des pays développés.