Un vaste plan sécuritaire spécial «Ramadhan» sera mobilisé dans les quelques jours qui viennent. Ce plan comportera la mobilisation de 5000 policiers qui seront fortement présents dans les rues d'Alger. Renforcement dans les points de contrôles, intensification des patrouilles mobiles, notamment durant les heures « sensibles » avant le f'tour. L'objectif est de sécuriser Alger contre toutes tentatives des terroristes qui veulent arriver à tout prix à frapper le cœur de la capitale. Un vaste plan sécuritaire spécial «Ramadhan» sera mobilisé dans les quelques jours qui viennent. Ce plan comportera la mobilisation de 5000 policiers qui seront fortement présents dans les rues d'Alger. Renforcement dans les points de contrôles, intensification des patrouilles mobiles, notamment durant les heures « sensibles » avant le f'tour. L'objectif est de sécuriser Alger contre toutes tentatives des terroristes qui veulent arriver à tout prix à frapper le cœur de la capitale. Il y a près d'un mois, le Directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Abdelghani Hamel avait expliqué que la «menace terroriste» continue d'exister dans toutes les régions de l'Algérie et la police a pris des mesures préventives pour contrer toute éventuelle attaque. Des attaques qui peuvent cibler la capitale, Alger. Pour cette raison, la DGSN a déjà mobilisé un vaste plan sécuritaire spécial «Ramadhan», auquel 5000 policiers prendront part pour sécuriser la ville contre toute menace terroriste et celle du crime organisé. Alger avec ses 57 communes fera l'objet d'une haute surveillance, surtout au niveau des portes d'entrées se trouvant à l'Est, l'Ouest, le Sud et le Nord donnant l'accès à la capitale, apprend-on de sources sûres. Des mesures importantes pour une période sensible. Parmi ces mesures, la DGSN va installer des points de contrôle aux entrées et sorties de la ville d'Alger, ainsi que les routes menant aux installations sensibles, s'ajoutant à ceux existants déjà. En plus des points de contrôles, la DGSN compte beaucoup sur l'apport de ses unités aériennes, avec la mobilisation des hélicoptères pour mieux surveiller le trafic routier. Ajouter à cela, les patrouilles mobiles seront renforcées à cette occasion, surtout le soir où un monde fou de gens sera attendu dans les rues d'Alger. Le but est de réprimer les mouvements terroristes qui tentent, comme à leur accoutumée, d'exécuter des attentats terroristes spectaculaires durant le Ramadhan. Sur ce plan, il est important de rappeler les déclarations faites auparavant par le DGSN suite aux attaques suicides perpétrées dans le Sud et celles des attaques terroristes perpétrées à Bouira et Tizi Ouzou. Cela dit, Hamel avait déclaré, que «ces attentats terroristes qui ont un impact sur la stabilité et la sécurité du pays ont incité la DGSN à prendre plusieurs mesures préventives, en parallèle avec l'intensification du travail dans le domaine des renseignements, en plaçant les unités de sécurité pour contrer de telles attaques». Le général-major avait indiqué, aussi, que les mesures de sécurité de la police n'ont « rien à voir avec l'état d'urgence », qui a été officiellement annulé en avril 2011, après 19 ans de lutte contre la violence terroriste, mais beaucoup plus pour éradiquer le reste des groupuscules qui sont toujours actifs. Interrogé sur la capacité des groupes armés, qui sont parvenus sous la bannière d'Al Qaïda au Maghreb islamique, à recruter de nouveaux éléments, en particulier dans les quartiers populaires, le patron de la DGSN avait déclaré que la police a «mis en place des policiers de proximité" dans ces quartiers pour lutter contre ces tentatives. Il y a près d'un mois, le Directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Abdelghani Hamel avait expliqué que la «menace terroriste» continue d'exister dans toutes les régions de l'Algérie et la police a pris des mesures préventives pour contrer toute éventuelle attaque. Des attaques qui peuvent cibler la capitale, Alger. Pour cette raison, la DGSN a déjà mobilisé un vaste plan sécuritaire spécial «Ramadhan», auquel 5000 policiers prendront part pour sécuriser la ville contre toute menace terroriste et celle du crime organisé. Alger avec ses 57 communes fera l'objet d'une haute surveillance, surtout au niveau des portes d'entrées se trouvant à l'Est, l'Ouest, le Sud et le Nord donnant l'accès à la capitale, apprend-on de sources sûres. Des mesures importantes pour une période sensible. Parmi ces mesures, la DGSN va installer des points de contrôle aux entrées et sorties de la ville d'Alger, ainsi que les routes menant aux installations sensibles, s'ajoutant à ceux existants déjà. En plus des points de contrôles, la DGSN compte beaucoup sur l'apport de ses unités aériennes, avec la mobilisation des hélicoptères pour mieux surveiller le trafic routier. Ajouter à cela, les patrouilles mobiles seront renforcées à cette occasion, surtout le soir où un monde fou de gens sera attendu dans les rues d'Alger. Le but est de réprimer les mouvements terroristes qui tentent, comme à leur accoutumée, d'exécuter des attentats terroristes spectaculaires durant le Ramadhan. Sur ce plan, il est important de rappeler les déclarations faites auparavant par le DGSN suite aux attaques suicides perpétrées dans le Sud et celles des attaques terroristes perpétrées à Bouira et Tizi Ouzou. Cela dit, Hamel avait déclaré, que «ces attentats terroristes qui ont un impact sur la stabilité et la sécurité du pays ont incité la DGSN à prendre plusieurs mesures préventives, en parallèle avec l'intensification du travail dans le domaine des renseignements, en plaçant les unités de sécurité pour contrer de telles attaques». Le général-major avait indiqué, aussi, que les mesures de sécurité de la police n'ont « rien à voir avec l'état d'urgence », qui a été officiellement annulé en avril 2011, après 19 ans de lutte contre la violence terroriste, mais beaucoup plus pour éradiquer le reste des groupuscules qui sont toujours actifs. Interrogé sur la capacité des groupes armés, qui sont parvenus sous la bannière d'Al Qaïda au Maghreb islamique, à recruter de nouveaux éléments, en particulier dans les quartiers populaires, le patron de la DGSN avait déclaré que la police a «mis en place des policiers de proximité" dans ces quartiers pour lutter contre ces tentatives.