Que reste-t-il du visage littéraire et livresque en Algérie ? Malheureusement, presque rien. Car nous avons remarqué que les librairies disparaissent d'année en année et personne ne se soucie du devenir du livre en Algérie. Ainsi, malgré cet état des lieux alarmant, plusieurs maisons d'éditions privées tentent de rendre le visage littéraire algérien plus attrayant et permettent aux lecteurs d'avoir le choix et la chance de lire des ouvrages nouveaux et de grande qualité , à l'instar des sociétés les plus avancées dans le monde. Parmi ces maisons d'éditions, nous trouvant les éditions Barzakh, une jeune entreprise qui est présente depuis 12 ans à chaque manifestation et chaque saison avec la publication de grands titres dans différents domaines et catégories : littérature, romans, théâtre, essais, poésie, architecture et urbanisme, beaux livres et nouvelles. Que reste-t-il du visage littéraire et livresque en Algérie ? Malheureusement, presque rien. Car nous avons remarqué que les librairies disparaissent d'année en année et personne ne se soucie du devenir du livre en Algérie. Ainsi, malgré cet état des lieux alarmant, plusieurs maisons d'éditions privées tentent de rendre le visage littéraire algérien plus attrayant et permettent aux lecteurs d'avoir le choix et la chance de lire des ouvrages nouveaux et de grande qualité , à l'instar des sociétés les plus avancées dans le monde. Parmi ces maisons d'éditions, nous trouvant les éditions Barzakh, une jeune entreprise qui est présente depuis 12 ans à chaque manifestation et chaque saison avec la publication de grands titres dans différents domaines et catégories : littérature, romans, théâtre, essais, poésie, architecture et urbanisme, beaux livres et nouvelles. Pour cette nouvelle saison estivale 2012, qui coïncide avec le mois de Ramadhan, les éditions Barzakh mettent à la disposition de leurs fidèles lecteurs une série de nouvelles publications. Des ouvrages diversifiés, pour permettre aux passionnés et amoureux de belles lettres de passer les journées difficiles et longues de cet été en compagnie d'un ami de longue date : le livre. Le début de cette saison, pour cette maison d'édition a commencé notamment avec la publication dans la collection Beaux livres de l'ouvrage Algérie, année 0 ou quand commence la mémoire de Dalila Dalléas Bouzar. Avec ce livre, l'artiste revient avec une série de dessins. Elle montre à travers cet ouvrage des images des différentes faces de l'histoire de l'Algérie. Un projet qui lui tenait à cœurs car pour elle c'«est une manière de prendre conscience de mon histoire propre, de notre histoire. Ce qui m'a poussée à rechercher des images dans les archives de la guerre d'indépendance algérienne et de la "décennie noire", c'est mon sentiment, très intime, qu'il y avait une absence d'images sur ces deux moments. Il me semble que ces deux périodes sont fondatrices de l'Algérie contemporaine. Elles sont surtout contemporaines de mon histoire personnelle, que je fais commencer par l'expérience de mon père qui avait vingt ans pendant la guerre de Libération.». Et pour donner vie à ce livre, plusieurs auteurs ont partagé leur réflexion sur les thèmes abordés à l'instar de : Anissa Bouayed, Frédéric Dalléas, Cloé Korman, Kamel Daoud, Hassan Remaoun, Bonaventure Soh et Bejeng Ndikung. Dans la série Littérature- Roman, vous trouverez de grands noms de la littérature à l'instar de Rachid Boudjedra qui revient avec un nouvel ouvrage Cinq fragments du désert ou Amar Lakhous avec Divorce à la musulmane. Enfin, le livre qui fera certainement parler de lui est La Kahéna de Salim Bachi, parru dans la même collection de Littérature – Roman. L'auteur ne raconte pas l'histoire la Kahéna, la reine berbère, mais celle d'une Kahéna qui a appartenu à la famille Bergagna, avant la guerre d' Algérie. Le patriarche Louis, un Maltais débarqué en 1900 à Cyrtha, avait acquis la plupart des terres autour de la ville, et s'était lancé dans le tabac et le vin, disait-on alors. À l'origine, les champs appartenaient à une tribu. Les Beni Djer surgissaient des confins des sables et des dunes, qu'ils chantaient dans leurs poèmes, racontent les vieillards intarissables sur les origines et les légendes de Cyrtha», annonce l'auteur dans la quatrième de couverture. Salim Bachi signe là un texte ambitieux et foisonnant au lyrisme quasi hypnotique. Pour cette nouvelle saison estivale 2012, qui coïncide avec le mois de Ramadhan, les éditions Barzakh mettent à la disposition de leurs fidèles lecteurs une série de nouvelles publications. Des ouvrages diversifiés, pour permettre aux passionnés et amoureux de belles lettres de passer les journées difficiles et longues de cet été en compagnie d'un ami de longue date : le livre. Le début de cette saison, pour cette maison d'édition a commencé notamment avec la publication dans la collection Beaux livres de l'ouvrage Algérie, année 0 ou quand commence la mémoire de Dalila Dalléas Bouzar. Avec ce livre, l'artiste revient avec une série de dessins. Elle montre à travers cet ouvrage des images des différentes faces de l'histoire de l'Algérie. Un projet qui lui tenait à cœurs car pour elle c'«est une manière de prendre conscience de mon histoire propre, de notre histoire. Ce qui m'a poussée à rechercher des images dans les archives de la guerre d'indépendance algérienne et de la "décennie noire", c'est mon sentiment, très intime, qu'il y avait une absence d'images sur ces deux moments. Il me semble que ces deux périodes sont fondatrices de l'Algérie contemporaine. Elles sont surtout contemporaines de mon histoire personnelle, que je fais commencer par l'expérience de mon père qui avait vingt ans pendant la guerre de Libération.». Et pour donner vie à ce livre, plusieurs auteurs ont partagé leur réflexion sur les thèmes abordés à l'instar de : Anissa Bouayed, Frédéric Dalléas, Cloé Korman, Kamel Daoud, Hassan Remaoun, Bonaventure Soh et Bejeng Ndikung. Dans la série Littérature- Roman, vous trouverez de grands noms de la littérature à l'instar de Rachid Boudjedra qui revient avec un nouvel ouvrage Cinq fragments du désert ou Amar Lakhous avec Divorce à la musulmane. Enfin, le livre qui fera certainement parler de lui est La Kahéna de Salim Bachi, parru dans la même collection de Littérature – Roman. L'auteur ne raconte pas l'histoire la Kahéna, la reine berbère, mais celle d'une Kahéna qui a appartenu à la famille Bergagna, avant la guerre d' Algérie. Le patriarche Louis, un Maltais débarqué en 1900 à Cyrtha, avait acquis la plupart des terres autour de la ville, et s'était lancé dans le tabac et le vin, disait-on alors. À l'origine, les champs appartenaient à une tribu. Les Beni Djer surgissaient des confins des sables et des dunes, qu'ils chantaient dans leurs poèmes, racontent les vieillards intarissables sur les origines et les légendes de Cyrtha», annonce l'auteur dans la quatrième de couverture. Salim Bachi signe là un texte ambitieux et foisonnant au lyrisme quasi hypnotique.