La demande algérienne, sans cesse croissante, reste insatisfaite et ce en dépit des vols quotidiens autant de la compagnie turque que ceux d'Air Algérie La demande algérienne, sans cesse croissante, reste insatisfaite et ce en dépit des vols quotidiens autant de la compagnie turque que ceux d'Air Algérie Lors de leur déplacement en Turquie, précisément à Istanbul, les journalistes algériens invités par Turkish Airlines tout autant que leurs confrères des autres pays arabes, ont eu droit à une conférence de presse animée par le Dr Temel Kotil, president et CEO de la Turkish Airlines en personne. Une occasion précieuse que les professionnels des medias n'ont pas omis de mettre à profit à travers moult questions inhérentes aux ambitions et à la stratégie de la compagnie. Le fait saillant, qui intéresse l'Algérie, réside sans nul doute dans cette annonce faite par le P-dg révélant la volonté des Turcs de vouloir desservir six villes algériennes dont Oran et Constantine. «Jusqu'à maintenant nous n'avons essuyé que des refus» a déploré l'orateur rappelant au passage les rapports cordiaux qui lient les deux pays. «Nous sommes frères » insiste-t-il indiquant que la Turquie souhaite développer des relations plus approfondies dans le domaine aérien allant jusqu'au partage des codes (codes Share). Chose qui est loin d'être aisée dans la mesure où l'Algérie se débat encore dans son confinement se refusant l'Open Sky et tout mode d'alliance avec les autres compagnies. En attendant le changement, les besoins du marché notamment vers certaines destinations, à l'image de la Turquie se fait ressentir de plus en plus influant sur la tarification et la disponibilité des titres de transports, particulièrement en période de grande affluence telles que la saison estivale ou encore les périodes de pèlerinage. Une situation pénalisante pour les clients algériens sans que cela ne semble émouvoir d'une quelconque façon les pouvoirs algériens. Temil Kotil qui a confirmé une croissance en mode crescendo parlera aussi de la stratégie menée sur tout le continent africain. «Nous desservirons tous les pays africains qui nous donneront leurs accord pour y être présents» dira-t-il avec force révélant l'agressivité affichée par la compagnie depuis quelques années. Il n'est d'ailleurs un secret pour personne que Turkish Airlines, qui offre des prestations d'une qualité de plus en plus appréciable, nourrit des ambitions de figurer parmi les leaders du monde aérien encouragée par une situation géographique des plus stratégiques en étant située à l'ouest de l'Est et à l'Est de l'ouest, aux portes du Proche-Orient, non loin de l'Afrique et de la Russie. Pour ce faire, la compagnie ne ménage aucun effort, aussi bien en termes de managing que sur le plan technique, formation, acquisition de nouveaux appareils (de nombreux avions commandés chez Airbus et Boeing) et surtout en scellant des alliances ou achat de parts. Tous ces aspects ont été passés au peigne fin par les journalistes dont les nombreuses questions ont englobés « vision et perspective». « Voler coûte-que-coûte et partout» semble être les maîtres mots de Turkish Airlines dont le 1er responsable a soutenu que «le monde aérien a changé de visage. Les grandes compagnies n'ont plus le monopole du ciel» martèlera-t-il croyant dur comme fer que la compagnie turque a tous les atouts pour jouer dans la cour des grands. 18.000 employés travaillent pour la compagnie à Istanbul, qui a transporté 32,9 millions de passagers l'an dernier contre 12 millions en l'an 2000. Il n'est donc pas fortuit d'apprendre que la compagnie turque a été élue meilleure compagnie aérienne européenne en 2011 et 2012 (Skytrax Award) et meilleure compagnie mondiale pour la restauration à bord (Skytrax World Airline Awards). Elle possède la plus jeune flotte du monde avec un âge moyenne de 6,5 ans (180 Airbus et Boeing) et dessert prés de 250 destinations filiales comprises. Lors de leur déplacement en Turquie, précisément à Istanbul, les journalistes algériens invités par Turkish Airlines tout autant que leurs confrères des autres pays arabes, ont eu droit à une conférence de presse animée par le Dr Temel Kotil, president et CEO de la Turkish Airlines en personne. Une occasion précieuse que les professionnels des medias n'ont pas omis de mettre à profit à travers moult questions inhérentes aux ambitions et à la stratégie de la compagnie. Le fait saillant, qui intéresse l'Algérie, réside sans nul doute dans cette annonce faite par le P-dg révélant la volonté des Turcs de vouloir desservir six villes algériennes dont Oran et Constantine. «Jusqu'à maintenant nous n'avons essuyé que des refus» a déploré l'orateur rappelant au passage les rapports cordiaux qui lient les deux pays. «Nous sommes frères » insiste-t-il indiquant que la Turquie souhaite développer des relations plus approfondies dans le domaine aérien allant jusqu'au partage des codes (codes Share). Chose qui est loin d'être aisée dans la mesure où l'Algérie se débat encore dans son confinement se refusant l'Open Sky et tout mode d'alliance avec les autres compagnies. En attendant le changement, les besoins du marché notamment vers certaines destinations, à l'image de la Turquie se fait ressentir de plus en plus influant sur la tarification et la disponibilité des titres de transports, particulièrement en période de grande affluence telles que la saison estivale ou encore les périodes de pèlerinage. Une situation pénalisante pour les clients algériens sans que cela ne semble émouvoir d'une quelconque façon les pouvoirs algériens. Temil Kotil qui a confirmé une croissance en mode crescendo parlera aussi de la stratégie menée sur tout le continent africain. «Nous desservirons tous les pays africains qui nous donneront leurs accord pour y être présents» dira-t-il avec force révélant l'agressivité affichée par la compagnie depuis quelques années. Il n'est d'ailleurs un secret pour personne que Turkish Airlines, qui offre des prestations d'une qualité de plus en plus appréciable, nourrit des ambitions de figurer parmi les leaders du monde aérien encouragée par une situation géographique des plus stratégiques en étant située à l'ouest de l'Est et à l'Est de l'ouest, aux portes du Proche-Orient, non loin de l'Afrique et de la Russie. Pour ce faire, la compagnie ne ménage aucun effort, aussi bien en termes de managing que sur le plan technique, formation, acquisition de nouveaux appareils (de nombreux avions commandés chez Airbus et Boeing) et surtout en scellant des alliances ou achat de parts. Tous ces aspects ont été passés au peigne fin par les journalistes dont les nombreuses questions ont englobés « vision et perspective». « Voler coûte-que-coûte et partout» semble être les maîtres mots de Turkish Airlines dont le 1er responsable a soutenu que «le monde aérien a changé de visage. Les grandes compagnies n'ont plus le monopole du ciel» martèlera-t-il croyant dur comme fer que la compagnie turque a tous les atouts pour jouer dans la cour des grands. 18.000 employés travaillent pour la compagnie à Istanbul, qui a transporté 32,9 millions de passagers l'an dernier contre 12 millions en l'an 2000. Il n'est donc pas fortuit d'apprendre que la compagnie turque a été élue meilleure compagnie aérienne européenne en 2011 et 2012 (Skytrax Award) et meilleure compagnie mondiale pour la restauration à bord (Skytrax World Airline Awards). Elle possède la plus jeune flotte du monde avec un âge moyenne de 6,5 ans (180 Airbus et Boeing) et dessert prés de 250 destinations filiales comprises.