Dans un rapport rendu public des experts occidentaux ont rendu un vibrant hommage aux efforts déployés par l'Algérie en matière de lutte contre le phénomène du terrorisme. Ce document de plusieurs pages indique que l'effectif du GSPC devenu Aqmi est passé de 20.000 à moins de 500 terroristes, cela grâce au plan de lutte antiterroriste menée par l'Algérie Dans un rapport rendu public des experts occidentaux ont rendu un vibrant hommage aux efforts déployés par l'Algérie en matière de lutte contre le phénomène du terrorisme. Ce document de plusieurs pages indique que l'effectif du GSPC devenu Aqmi est passé de 20.000 à moins de 500 terroristes, cela grâce au plan de lutte antiterroriste menée par l'Algérie Sur un autre plan, ces experts occidentaux indiquent que le plan proposé par les pays du Champ (Algérie, Mali, Niger et Mauritanie) est exemplaire en ce qui concerne la gestion de la crise malienne. Aussi, le rapport a rendu hommage aux efforts déployés par l'Union de fusion et de liaison (UFL) et le Comité des états-majors opérationnel conjoint (Cémoc) qui, demeurent les meilleurs outils de lutte contre le terrorisme. Soutenant vivement les efforts fournis par les pays du Champ en matière de lutte contre le phénomène du terrorisme, ce rapport d'experts occidentaux rend ainsi un vibrant hommage aux efforts déployés par les pays du Champ, à leur tête l'Algérie, qui demeure la tête de proue en termes de lutte antiterrorisme dans la sous-région du Sahel. Mieux, les experts occidentaux ayant établi ce rapport de plusieurs pages ont appelé les passances mondiales à soutenir les efforts des pays du Champ, contrairement à ceux qui sèment le doute et appellent à une intervention militaire des forces étrangères au nord du Mali. Tout en appuyant les démarches déployées par l'Algérie, la Mauritanie, le Niger et le Mali, dans le cadre du Cémoc et l'UFL, ces experts occidentaux ont appelé les Etats-Unis et l'Europe à s'inspirer de ce modèle pour combattre les groupes islamistes armés au Sahel. L'approche sécuritaire adoptée par les pays du Champ, expliquent les experts étrangers, a pu convaincre la communauté internationale de la nécessité d'encourager une solution pacifique à la crise malienne. Une approche, selon ces experts, qui peuvent éviter la création d'un bastion de tension politico-sécuritaire et permettre aux parties antagonistes au Mali de trouver une issue pacifique à leurs divergences, pour isoler les groupes terroristes. Le même document ajoute que « des puissances étrangères ont un rôle à jouer dans la crise au Mali, en particulier en matière de formation et d'appui logistique ». « La lutte contre Al-Qaïda au Maghreb Islamique ainsi que les autres organisations terroristes existant au nord du Mali relève avant tout des Etats sahéliens », ajoutent les experts occidentaux. Ces derniers expliquent : « Les pays du Sahel connaissent mieux le terrain et c'est leur responsabilité première de s'opposer aux katibats qui, à partir de leurs territoires, commettent des actes terroristes ». Convaincus du plan de lutte contre le terrorisme et le crime organisé adopté par les pays du Sahel, les experts occidentaux confirment et appuient le plan de lutte des pays du Champ. «Aqmi doit d'abord être combattue au niveau régional car toute intervention régionale d'Etats étrangers à la région confortera la mouvance terroriste dans sa rhétorique anti-occidentale et accroîtra l'instabilité », estime le rapport. Ainsi, les rédacteurs du rapport reconnaissent l'efficacité de l'approche globale (sécurité et développement) des pays du Champ pour prévenir et faire face à la propagation des activités terroristes dans la région. Sur ce registre, il est important de rappeler les mises en garde de l'UFL à l'égard des huit pays du Sahel avant même que la situation sécuritaire ne se dégrade au nord du Mali. L'UFL avait, à maintes reprises, préconisé une dégradation de la question sécuritaire au Sahel, qui favorise la montée des terroristes permettant à ces derniers de mieux s'organiser et de restructurer leurs rangs pour rebondir suite à la crise malienne. Les experts occidentaux rendent hommage à l'expérience de l'Algérie en matière de lutte anti-terrorisme Le rapport des experts occidentaux fait l'éloge des opérations anti-terroriste menées par les pays du Champ. En effet, il a reconnu que l'Algérie est parvenue, à travers sa longue expérience en la matière, à atomiser la capacité de nuisance du GSPC devenu Aqmi. Ils disent, « L'Algérie avance, au rang de ses succès, la victoire remportée contre le terrorisme intérieur qui a fait des ravages dans les années 90. En effet, les effectifs de ce dernier sont passés de 20.000 à moins de 500 terroristes et le terrorisme est aujourd'hui moins répandu que par le passé », fait observer le rapport. Poursuivant leurs explications les experts occidentaux ont rendu hommage aux autres pays de la région, entre autres, le Niger, le Mali et la Mauritanie. Ces derniers ont beaucoup souffert des affres des terroristes d'Aqmi, suite aux rapts des occidentaux et, attentats suicides et autres embuscades perpétrées contre les forces de l'ordre. Revenant sur le rôle important de l'Algérie joué dans la lutte contre le terrorisme, le rapport fait l'éloge de la récente opération menée par les forces spéciales algériennes suite à l'arrestation d'un important cadre d'Aqmi, en l'occurrence Necib Tayeb, alias Abou Issehak Essoufi. Sur ce registre, le rapport indique, « En Algérie les services de sécurité ont arrêté trois dangereux terroristes, dont le chef de la « commission juridique » d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi), au niveau d'un barrage de contrôle dressé par les forces de sécurité à l'entrée de la ville de Berriane à Ghardaïa. Sur un autre plan, ces experts occidentaux indiquent que le plan proposé par les pays du Champ (Algérie, Mali, Niger et Mauritanie) est exemplaire en ce qui concerne la gestion de la crise malienne. Aussi, le rapport a rendu hommage aux efforts déployés par l'Union de fusion et de liaison (UFL) et le Comité des états-majors opérationnel conjoint (Cémoc) qui, demeurent les meilleurs outils de lutte contre le terrorisme. Soutenant vivement les efforts fournis par les pays du Champ en matière de lutte contre le phénomène du terrorisme, ce rapport d'experts occidentaux rend ainsi un vibrant hommage aux efforts déployés par les pays du Champ, à leur tête l'Algérie, qui demeure la tête de proue en termes de lutte antiterrorisme dans la sous-région du Sahel. Mieux, les experts occidentaux ayant établi ce rapport de plusieurs pages ont appelé les passances mondiales à soutenir les efforts des pays du Champ, contrairement à ceux qui sèment le doute et appellent à une intervention militaire des forces étrangères au nord du Mali. Tout en appuyant les démarches déployées par l'Algérie, la Mauritanie, le Niger et le Mali, dans le cadre du Cémoc et l'UFL, ces experts occidentaux ont appelé les Etats-Unis et l'Europe à s'inspirer de ce modèle pour combattre les groupes islamistes armés au Sahel. L'approche sécuritaire adoptée par les pays du Champ, expliquent les experts étrangers, a pu convaincre la communauté internationale de la nécessité d'encourager une solution pacifique à la crise malienne. Une approche, selon ces experts, qui peuvent éviter la création d'un bastion de tension politico-sécuritaire et permettre aux parties antagonistes au Mali de trouver une issue pacifique à leurs divergences, pour isoler les groupes terroristes. Le même document ajoute que « des puissances étrangères ont un rôle à jouer dans la crise au Mali, en particulier en matière de formation et d'appui logistique ». « La lutte contre Al-Qaïda au Maghreb Islamique ainsi que les autres organisations terroristes existant au nord du Mali relève avant tout des Etats sahéliens », ajoutent les experts occidentaux. Ces derniers expliquent : « Les pays du Sahel connaissent mieux le terrain et c'est leur responsabilité première de s'opposer aux katibats qui, à partir de leurs territoires, commettent des actes terroristes ». Convaincus du plan de lutte contre le terrorisme et le crime organisé adopté par les pays du Sahel, les experts occidentaux confirment et appuient le plan de lutte des pays du Champ. «Aqmi doit d'abord être combattue au niveau régional car toute intervention régionale d'Etats étrangers à la région confortera la mouvance terroriste dans sa rhétorique anti-occidentale et accroîtra l'instabilité », estime le rapport. Ainsi, les rédacteurs du rapport reconnaissent l'efficacité de l'approche globale (sécurité et développement) des pays du Champ pour prévenir et faire face à la propagation des activités terroristes dans la région. Sur ce registre, il est important de rappeler les mises en garde de l'UFL à l'égard des huit pays du Sahel avant même que la situation sécuritaire ne se dégrade au nord du Mali. L'UFL avait, à maintes reprises, préconisé une dégradation de la question sécuritaire au Sahel, qui favorise la montée des terroristes permettant à ces derniers de mieux s'organiser et de restructurer leurs rangs pour rebondir suite à la crise malienne. Les experts occidentaux rendent hommage à l'expérience de l'Algérie en matière de lutte anti-terrorisme Le rapport des experts occidentaux fait l'éloge des opérations anti-terroriste menées par les pays du Champ. En effet, il a reconnu que l'Algérie est parvenue, à travers sa longue expérience en la matière, à atomiser la capacité de nuisance du GSPC devenu Aqmi. Ils disent, « L'Algérie avance, au rang de ses succès, la victoire remportée contre le terrorisme intérieur qui a fait des ravages dans les années 90. En effet, les effectifs de ce dernier sont passés de 20.000 à moins de 500 terroristes et le terrorisme est aujourd'hui moins répandu que par le passé », fait observer le rapport. Poursuivant leurs explications les experts occidentaux ont rendu hommage aux autres pays de la région, entre autres, le Niger, le Mali et la Mauritanie. Ces derniers ont beaucoup souffert des affres des terroristes d'Aqmi, suite aux rapts des occidentaux et, attentats suicides et autres embuscades perpétrées contre les forces de l'ordre. Revenant sur le rôle important de l'Algérie joué dans la lutte contre le terrorisme, le rapport fait l'éloge de la récente opération menée par les forces spéciales algériennes suite à l'arrestation d'un important cadre d'Aqmi, en l'occurrence Necib Tayeb, alias Abou Issehak Essoufi. Sur ce registre, le rapport indique, « En Algérie les services de sécurité ont arrêté trois dangereux terroristes, dont le chef de la « commission juridique » d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi), au niveau d'un barrage de contrôle dressé par les forces de sécurité à l'entrée de la ville de Berriane à Ghardaïa.