L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et l'Iran ont repris vendredi leurs discussions sur le programme nucléaire controversé de Téhéran avec l'objectif d'avancer sur un accord permettant à l'agence d'avoir un accès plus large à des sites iraniens. "Nous attendons des progrès lors de cette réunion", a déclaré l'ambassadeur iranien auprès de l'AIEA Ali Asghar Soltanieh à son arrivée à la représentation iranienne, où la rencontre a lieu. Les attentes concernant la rencontre de ce jour sont toutefois modestes. Le directeur général de l'AIEA Yukiya Amano avait d'ores et déjà indiqué mercredi ne pas être "optimiste" quant à son issue. Le chef des inspecteurs de l'AIEA Herman Nackaerts s'est lui aussi montré réservé. "Nous allons demander aux Iraniens où ils en sont dans leurs réponses à nos requêtes concernant l'accès à (la base militaire de) Parchin (...)", a-t-il indiqué à son arrivée à la réprésentation iranienne. La rencontre doit permettre selon l'AIEA "de nouvelles discussions sur une approche structurée visant à résoudre des questions en suspens relatives au programme nucléaire de l'Iran". Un des points centraux concerne un accès sans conditions à certains sites considérés comme suspects par l'agence dans son rapport très critique de novembre dernier, en particulier la base militaire de Parchin. Les Occidentaux et Israël accusent la République islamique d'Iran de mener clandestinement, sous couvert d'un programme nucléaire civil, des activités visant à se doter de l'arme atomique. Téhéran affirme en revanche que son programme a des objectifs purement pacifiques. La réunion intervient aussi alors que le nouveau rapport trimestriel de l'AIEA sur l'Iran est attendu la semaine prochaine. Le document, qui sera à l'ordre du jour du conseil des gouverneurs débutant le 10 septembre, devrait montrer, selon des experts, que l'Iran continue à étendre ses activités nucléaires malgré les sanctions internationales sans précédent dont le pays est l'objet. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et l'Iran ont repris vendredi leurs discussions sur le programme nucléaire controversé de Téhéran avec l'objectif d'avancer sur un accord permettant à l'agence d'avoir un accès plus large à des sites iraniens. "Nous attendons des progrès lors de cette réunion", a déclaré l'ambassadeur iranien auprès de l'AIEA Ali Asghar Soltanieh à son arrivée à la représentation iranienne, où la rencontre a lieu. Les attentes concernant la rencontre de ce jour sont toutefois modestes. Le directeur général de l'AIEA Yukiya Amano avait d'ores et déjà indiqué mercredi ne pas être "optimiste" quant à son issue. Le chef des inspecteurs de l'AIEA Herman Nackaerts s'est lui aussi montré réservé. "Nous allons demander aux Iraniens où ils en sont dans leurs réponses à nos requêtes concernant l'accès à (la base militaire de) Parchin (...)", a-t-il indiqué à son arrivée à la réprésentation iranienne. La rencontre doit permettre selon l'AIEA "de nouvelles discussions sur une approche structurée visant à résoudre des questions en suspens relatives au programme nucléaire de l'Iran". Un des points centraux concerne un accès sans conditions à certains sites considérés comme suspects par l'agence dans son rapport très critique de novembre dernier, en particulier la base militaire de Parchin. Les Occidentaux et Israël accusent la République islamique d'Iran de mener clandestinement, sous couvert d'un programme nucléaire civil, des activités visant à se doter de l'arme atomique. Téhéran affirme en revanche que son programme a des objectifs purement pacifiques. La réunion intervient aussi alors que le nouveau rapport trimestriel de l'AIEA sur l'Iran est attendu la semaine prochaine. Le document, qui sera à l'ordre du jour du conseil des gouverneurs débutant le 10 septembre, devrait montrer, selon des experts, que l'Iran continue à étendre ses activités nucléaires malgré les sanctions internationales sans précédent dont le pays est l'objet.