L'ex-ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a fait hier sa première apparition publique en tant que président du parti qu'il vient de créer Tajamoua Amal El Djazair (TAJ). Devant des centaines de militants de ce parti, réunis hier à l'hôtel Sheraton à l'occasion de la conférence nationale préparatoire au congrès constitutif de ce nouveau-né de la scène politique nationale, ce dissident du Mouvement de la société pour la paix (MSP)a affiché ses ambitions. L'ex-ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a fait hier sa première apparition publique en tant que président du parti qu'il vient de créer Tajamoua Amal El Djazair (TAJ). Devant des centaines de militants de ce parti, réunis hier à l'hôtel Sheraton à l'occasion de la conférence nationale préparatoire au congrès constitutif de ce nouveau-né de la scène politique nationale, ce dissident du Mouvement de la société pour la paix (MSP)a affiché ses ambitions. Celle en particulier de faire de TAJ un acteur incontournable de l'échiquier politique nationale. "Nous ambitionnons de construire un grand parti", a-t-il en effet indiqué lors d'un point de presse tout en refusant de faire le moindre commentaire sur son ancien parti, le MSP, se bornant juste à indiquer que l'idée de lancer un parti remonte à l'année 2002. Amar Ghoul, qui a rendu un vibrant hommage au président de la République lors de son discours notamment s'agissant de sa politique de réconciliation nationale qui "doit se poursuivre afin de ne plus revenir à la destruction et au sang", a une nouvelle fois confirmé qu'il est amplement favorable à l'option participationniste."Nous sommes pour une participation constructive", a-t-il précisé lorsqu'il a été interpellé sur l'éventualité de la participation de son parti à au prochain gouvernement, avant d'ajouter que : " J'étais et je resterai toujours au service de mon pays quel que soit la position dans laquelle je me trouve". Amar Ghoul a, pour rappel, quitté le MSP lorsque ce dernier a décidé de ne pas participer au prochain gouvernement. Sur le ralliement à son parti de nombreux cadres et militants dissidents d'autres formations politiques le député d'Alger a indiqué que "ces personnes appartenaient à différentes sensibilités politiques, ont été convaincues par nos idées". Des dissidents du FNA, du FFS, du RND et d'autres partis politiques ont, en effet, annoncé avoir rejoint le parti de Amar Ghoul. Cela outre, à l'évidence, ceux qui ont déserté les rangs du MSP et qui constituent la composante essentielle de TAJ. Hier, ainsi, beaucoup d'ex-hauts responsables, de députés ou de cadres du MSP étaient présents dans la salle de conférence de l'hôtel Sheraton. Ghoul, qui a été tête de liste de l'alliance de l'Algérie verte a réussi à remporter 13 sièges à l'APN lors des législatives du 10 mai dernier, a cependant refusé d'avancer le moindre chiffre relatif aux députés qui ont rejoint son parti. Il a aussi clairement laissé entendre que son parti participera aux élections locales du 29 novembre même s'il a précisé que "la décision finale appartient aux instances du parti". Dans on discours devant des centaines de militants, Amar Ghoul a plaidé pour la coexistence de l'ensemble des forces politiques en soutenant qu'"en Algérie il y a de la place pur tous. J'aime l'Algérie dans sa diversité car la diversité, qui est un acquis qu'il faut préserver, est un facteur positif".D'ailleurs, à ce titre, il a souligné "que nous travaillons et nous collaborons avec tous pour l'intérêt de l'Algérie car nous considérons que tout ce qui est en Algérie est un partenaire" ajoutant que "nous n'avons pas d'ennemis et d'adversaires en Algérie . Nous tendons la main à tous les Algériens". Poursuivant l'explication de sa démarche, il dira que son parti œuvrera afin que "la démocratie soit constructive et profitable à tous et ce sans exclusion et loin de toute idée de monopole afin de favoriser l'alternance pacifique".Ghoul a fait un clin d'œil aux jeunes qui représentent la véritable richesse du pays après le pétrole et a affirmé qu'il aspire à une Algérie stable, sécurisée, forte et développée. Notons qu'en plus des figures connues du MSP qui ont rejoint ce nouveau parti l'on a aussi remarqué la présence de Habib Yousfi,président la CGEOA, une organisation patronale, et de Me Abdelmadjid Selini, président du barreau d'Alger. Celle en particulier de faire de TAJ un acteur incontournable de l'échiquier politique nationale. "Nous ambitionnons de construire un grand parti", a-t-il en effet indiqué lors d'un point de presse tout en refusant de faire le moindre commentaire sur son ancien parti, le MSP, se bornant juste à indiquer que l'idée de lancer un parti remonte à l'année 2002. Amar Ghoul, qui a rendu un vibrant hommage au président de la République lors de son discours notamment s'agissant de sa politique de réconciliation nationale qui "doit se poursuivre afin de ne plus revenir à la destruction et au sang", a une nouvelle fois confirmé qu'il est amplement favorable à l'option participationniste."Nous sommes pour une participation constructive", a-t-il précisé lorsqu'il a été interpellé sur l'éventualité de la participation de son parti à au prochain gouvernement, avant d'ajouter que : " J'étais et je resterai toujours au service de mon pays quel que soit la position dans laquelle je me trouve". Amar Ghoul a, pour rappel, quitté le MSP lorsque ce dernier a décidé de ne pas participer au prochain gouvernement. Sur le ralliement à son parti de nombreux cadres et militants dissidents d'autres formations politiques le député d'Alger a indiqué que "ces personnes appartenaient à différentes sensibilités politiques, ont été convaincues par nos idées". Des dissidents du FNA, du FFS, du RND et d'autres partis politiques ont, en effet, annoncé avoir rejoint le parti de Amar Ghoul. Cela outre, à l'évidence, ceux qui ont déserté les rangs du MSP et qui constituent la composante essentielle de TAJ. Hier, ainsi, beaucoup d'ex-hauts responsables, de députés ou de cadres du MSP étaient présents dans la salle de conférence de l'hôtel Sheraton. Ghoul, qui a été tête de liste de l'alliance de l'Algérie verte a réussi à remporter 13 sièges à l'APN lors des législatives du 10 mai dernier, a cependant refusé d'avancer le moindre chiffre relatif aux députés qui ont rejoint son parti. Il a aussi clairement laissé entendre que son parti participera aux élections locales du 29 novembre même s'il a précisé que "la décision finale appartient aux instances du parti". Dans on discours devant des centaines de militants, Amar Ghoul a plaidé pour la coexistence de l'ensemble des forces politiques en soutenant qu'"en Algérie il y a de la place pur tous. J'aime l'Algérie dans sa diversité car la diversité, qui est un acquis qu'il faut préserver, est un facteur positif".D'ailleurs, à ce titre, il a souligné "que nous travaillons et nous collaborons avec tous pour l'intérêt de l'Algérie car nous considérons que tout ce qui est en Algérie est un partenaire" ajoutant que "nous n'avons pas d'ennemis et d'adversaires en Algérie . Nous tendons la main à tous les Algériens". Poursuivant l'explication de sa démarche, il dira que son parti œuvrera afin que "la démocratie soit constructive et profitable à tous et ce sans exclusion et loin de toute idée de monopole afin de favoriser l'alternance pacifique".Ghoul a fait un clin d'œil aux jeunes qui représentent la véritable richesse du pays après le pétrole et a affirmé qu'il aspire à une Algérie stable, sécurisée, forte et développée. Notons qu'en plus des figures connues du MSP qui ont rejoint ce nouveau parti l'on a aussi remarqué la présence de Habib Yousfi,président la CGEOA, une organisation patronale, et de Me Abdelmadjid Selini, président du barreau d'Alger.