Le président, Abdelaziz Bouteflika, serait mort. L'annonce de cette nouvelle, vendredi dernier en début de soirée a créé la panique à Alger. L'«information» livrée par un journaliste français, Alain Julles, a surpris les Algériens, officiels et citoyens qui n'ont pas manqué de s'interroger sur la « véracité» de cette information qui a été relayée immédiatement par de nombreux sites et réseaux sociaux sans en vérifier l'authenticité. Le président, Abdelaziz Bouteflika, serait mort. L'annonce de cette nouvelle, vendredi dernier en début de soirée a créé la panique à Alger. L'«information» livrée par un journaliste français, Alain Julles, a surpris les Algériens, officiels et citoyens qui n'ont pas manqué de s'interroger sur la « véracité» de cette information qui a été relayée immédiatement par de nombreux sites et réseaux sociaux sans en vérifier l'authenticité. Quelle mouche a donc piqué le journaliste français pour balancer une telle nouvelle qui s'est finalement avérée fausse et dénuée de tout fondement? Pour quel but ? Le démenti apporté samedi, par Amar Belani, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, n'a pas réussi à calmer la rue algérienne et n'a pas convaincu grand monde. « Il s'agit de rumeurs malveillantes qui n'honorent pas leurs auteurs et qui ne méritent pas que l'on s'y attarde tant elles sont indignes et méprisables », a-t-il déclaré. Le porte-parole de la diplomatie algérienne s'est contenté d'apporter un démenti avec cette déclaration sans, toutefois, apporter la moindre précision concernant l'agenda et les activités du chef de l'Etat. Ce qui a eu pour effet d'alimenter davantage la rumeur qui s'est propagée telle une traînée de poudre à travers tout le pays en l'absence d'activités protocolaires du chef de l'Etat au moment où on l'attendait surtout avec le remaniement ministériel qu'il a opéré et le changement du Premier ministre. Les citoyens lambdas étaient convaincus qu'il se passait quelque chose. Est-ce l'état de santé du président de la République qui s'est subitement aggravé qui l'a empêché de présider les cérémonies telles que pratiquées traditionnellement en de pareilles occasions. Ou est-ce que cette funeste nouvelle est bien vraie ? Nul n'était en mesure de la confirmer ou de l'infirmer les premières heures. Les Algériens étaient restés dans l'attente toute la nuit du vendredi au samedi que quelqu'un veuille bien les rassurer. Il est venu bien tard le démenti du porte-parole du ministère des Affaires étrangères. L'intox a bien produit ses méfaits. Tout un pays était accroché a attendre que les officiels algériens parlent. Qu'ils infirment ou confirment cette rumeur qui n'a cessé de faire des vagues au sein de la population algérienne. Le flou qui a entouré la nomination du nouveau gouvernement, la nouvelle est tombée alors que nul ne l'attendait, a ajouté de l'eau au faiseur de la rumeur. Comment obtenir une « info » qui soit crédible. C'est la question restée sans réponse durant de longues heures qui a mis les nerfs des Algériens en boule. Cette fameuse réponse ne venait pas et cette absence de réaction des officiels algériens ajoutait davantage d'angoisse sur la santé du chef de l'Etat, jusqu'à cette «sortie» de Amar Belani qui a tenté de rassurer une opinion publique traumatisée et ne sachant vraiment pas de quoi il retournait. Un démenti de la présidence ou du gouvernement sur le champ aurait fait « l'affaire » et l'homme des médias français aurait mieux fait de retourner à son coin perdu. Les officiels n'ignorent pas que les nouvelles technologies de l'information et de la communication ont révolutionné le monde. Il suffit d'être connecté sur un réseau social, tel Facebook ou twitter pour savoir à la seconde près ce qui se passe dans le monde qui est devenu un gros village. Cependant, la frontière entre l'information et la désinformation est devenue floue. Ce qui a fait que ce monsieur a bénéficié d'une retentissante médiatisation de sa rumeur. La vérification d'une telle intox était difficile nstantanément. Les officiels algériens sont durs à la détente. L'information étant « tabou» et centralisée à un niveau où il est complexe de la diffuser. Alors, la rumeur du décès du président de la République a couru, couru jusqu'à atteindre les chaumières des coins les plus reculés du territoire national. Dimanche soir au journal de 20h de la TV algérienne, le président de la République, est apparu physiquement sur les écrans de l'ENTV et des autres chaînes. Il a reçu Frédéric Meurice, qui lui a présenté ses lettres de créance l'accréditant en sa qualité d'ambassadeur du Royaume de Belgique en Algérie et Pablo Romero, ambassadeur de la République du Chili qui lui a rendu une visite d'adieu, au terme de sa mission en Algérie. Une apparition qui met fin à la rumeur et du coup rassurer l'opinion publique sur l'Etat de santé du chef de l'Etat. Quelle mouche a donc piqué le journaliste français pour balancer une telle nouvelle qui s'est finalement avérée fausse et dénuée de tout fondement? Pour quel but ? Le démenti apporté samedi, par Amar Belani, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, n'a pas réussi à calmer la rue algérienne et n'a pas convaincu grand monde. « Il s'agit de rumeurs malveillantes qui n'honorent pas leurs auteurs et qui ne méritent pas que l'on s'y attarde tant elles sont indignes et méprisables », a-t-il déclaré. Le porte-parole de la diplomatie algérienne s'est contenté d'apporter un démenti avec cette déclaration sans, toutefois, apporter la moindre précision concernant l'agenda et les activités du chef de l'Etat. Ce qui a eu pour effet d'alimenter davantage la rumeur qui s'est propagée telle une traînée de poudre à travers tout le pays en l'absence d'activités protocolaires du chef de l'Etat au moment où on l'attendait surtout avec le remaniement ministériel qu'il a opéré et le changement du Premier ministre. Les citoyens lambdas étaient convaincus qu'il se passait quelque chose. Est-ce l'état de santé du président de la République qui s'est subitement aggravé qui l'a empêché de présider les cérémonies telles que pratiquées traditionnellement en de pareilles occasions. Ou est-ce que cette funeste nouvelle est bien vraie ? Nul n'était en mesure de la confirmer ou de l'infirmer les premières heures. Les Algériens étaient restés dans l'attente toute la nuit du vendredi au samedi que quelqu'un veuille bien les rassurer. Il est venu bien tard le démenti du porte-parole du ministère des Affaires étrangères. L'intox a bien produit ses méfaits. Tout un pays était accroché a attendre que les officiels algériens parlent. Qu'ils infirment ou confirment cette rumeur qui n'a cessé de faire des vagues au sein de la population algérienne. Le flou qui a entouré la nomination du nouveau gouvernement, la nouvelle est tombée alors que nul ne l'attendait, a ajouté de l'eau au faiseur de la rumeur. Comment obtenir une « info » qui soit crédible. C'est la question restée sans réponse durant de longues heures qui a mis les nerfs des Algériens en boule. Cette fameuse réponse ne venait pas et cette absence de réaction des officiels algériens ajoutait davantage d'angoisse sur la santé du chef de l'Etat, jusqu'à cette «sortie» de Amar Belani qui a tenté de rassurer une opinion publique traumatisée et ne sachant vraiment pas de quoi il retournait. Un démenti de la présidence ou du gouvernement sur le champ aurait fait « l'affaire » et l'homme des médias français aurait mieux fait de retourner à son coin perdu. Les officiels n'ignorent pas que les nouvelles technologies de l'information et de la communication ont révolutionné le monde. Il suffit d'être connecté sur un réseau social, tel Facebook ou twitter pour savoir à la seconde près ce qui se passe dans le monde qui est devenu un gros village. Cependant, la frontière entre l'information et la désinformation est devenue floue. Ce qui a fait que ce monsieur a bénéficié d'une retentissante médiatisation de sa rumeur. La vérification d'une telle intox était difficile nstantanément. Les officiels algériens sont durs à la détente. L'information étant « tabou» et centralisée à un niveau où il est complexe de la diffuser. Alors, la rumeur du décès du président de la République a couru, couru jusqu'à atteindre les chaumières des coins les plus reculés du territoire national. Dimanche soir au journal de 20h de la TV algérienne, le président de la République, est apparu physiquement sur les écrans de l'ENTV et des autres chaînes. Il a reçu Frédéric Meurice, qui lui a présenté ses lettres de créance l'accréditant en sa qualité d'ambassadeur du Royaume de Belgique en Algérie et Pablo Romero, ambassadeur de la République du Chili qui lui a rendu une visite d'adieu, au terme de sa mission en Algérie. Une apparition qui met fin à la rumeur et du coup rassurer l'opinion publique sur l'Etat de santé du chef de l'Etat.