La troïka des créanciers de la Grèce travaille "jour et nuit" avec le gouvernement en vue de l'élaboration de son rapport très attendu sur le redressement du pays, mais les deux parties ont "encore du chemin à parcourir", a déclaré dimanche une source gouvernementale grecque. "Nous avons encore du chemin à parcourir, nous n'avons rien bouclé, nous avons parlé en général" a indiqué cette source dimanche, à l'issue de deux heures de rencontre entre les trois représentants de la troïka UE-BCE-FMI et le ministre grec des Finances, Yannis Stournaras, portant sur le nouveau plan bi-annuel d'économies destiné à ouvrir la voie au maintien du pays à flot et dans la zone euro. Une nouvelle rencontre, cette fois avec le Premier ministre, Antonis Samaras, est prévue lundi pour les membres de la troïka, l'Allemand Matthias Mors, représentant la Commission européenne, son compatriote Klaus Masuch, à la tête de l'équipe de la BCE, et le Danois Poul Thomsen pour le FMI. Entre-temps, les trois chefs de parti représentés dans la coalition gouvernementale vont se réunir pour tenter de trouver un accord sur les mesures prévues. La source gouvernementale a confirmé que la troïka avait "exprimé des réserves" sur certains aspects de l'avant-projet grec, centré sur de nouvelles coupes dans les salaires du public, une compression des budgets sociaux et de santé, et des baisses supplémentaires des pensions. Partenaires et prêteurs maintiennent aussi la pression pour une répression efficace de la fraude fiscale et "veulent voir une hausse des recettes fiscales", a indiqué un autre haut responsable du gouvernement. L'accélération des privatisations, toujours à la traîne, et la poursuite de la dérégulation du marché du travail restent aussi des chantiers où la Grèce doit faire ses preuves. Les trois représentants vont rester "assez de temps" à Athènes et ils doivent accompagner la partie grecque à la réunion informelle des ministres des Finances de la zone euro de Nicosie le 14 septembre, a indiqué cette source, qualifiant le climat de la réunion de "meilleur qu'avant". La troïka des créanciers de la Grèce travaille "jour et nuit" avec le gouvernement en vue de l'élaboration de son rapport très attendu sur le redressement du pays, mais les deux parties ont "encore du chemin à parcourir", a déclaré dimanche une source gouvernementale grecque. "Nous avons encore du chemin à parcourir, nous n'avons rien bouclé, nous avons parlé en général" a indiqué cette source dimanche, à l'issue de deux heures de rencontre entre les trois représentants de la troïka UE-BCE-FMI et le ministre grec des Finances, Yannis Stournaras, portant sur le nouveau plan bi-annuel d'économies destiné à ouvrir la voie au maintien du pays à flot et dans la zone euro. Une nouvelle rencontre, cette fois avec le Premier ministre, Antonis Samaras, est prévue lundi pour les membres de la troïka, l'Allemand Matthias Mors, représentant la Commission européenne, son compatriote Klaus Masuch, à la tête de l'équipe de la BCE, et le Danois Poul Thomsen pour le FMI. Entre-temps, les trois chefs de parti représentés dans la coalition gouvernementale vont se réunir pour tenter de trouver un accord sur les mesures prévues. La source gouvernementale a confirmé que la troïka avait "exprimé des réserves" sur certains aspects de l'avant-projet grec, centré sur de nouvelles coupes dans les salaires du public, une compression des budgets sociaux et de santé, et des baisses supplémentaires des pensions. Partenaires et prêteurs maintiennent aussi la pression pour une répression efficace de la fraude fiscale et "veulent voir une hausse des recettes fiscales", a indiqué un autre haut responsable du gouvernement. L'accélération des privatisations, toujours à la traîne, et la poursuite de la dérégulation du marché du travail restent aussi des chantiers où la Grèce doit faire ses preuves. Les trois représentants vont rester "assez de temps" à Athènes et ils doivent accompagner la partie grecque à la réunion informelle des ministres des Finances de la zone euro de Nicosie le 14 septembre, a indiqué cette source, qualifiant le climat de la réunion de "meilleur qu'avant".