« Tous les travailleurs du complexe de la SNVI qui ont été piqués, à savoir 306 travailleurs à la date du 12 septembre soir, ont été auscultés et n'ont montré aucune altération de leur état de santé et aucun d'entre eux n'a nécessité une hospitalisation », a indiqué, hier, le ministère de la Santé dans un communiqué de presse. « Tous les travailleurs du complexe de la SNVI qui ont été piqués, à savoir 306 travailleurs à la date du 12 septembre soir, ont été auscultés et n'ont montré aucune altération de leur état de santé et aucun d'entre eux n'a nécessité une hospitalisation », a indiqué, hier, le ministère de la Santé dans un communiqué de presse. La prolifération du fameux moustique inconnu dans la ville de Rouiba à l'est de la capitale ne présente aucun danger pour les citoyens, a affirmé le ministère. Toutefois, les investigations menées par la commission chargée du dépistage et du suivi ont révélé que ces moustiques proviennent d'une zone de stagnation des eaux usées propice à leur prolifération, a-t-on précisé dans ce même document. Selon les informations recueillies, cette zone d'évacuation des eaux usées est alimentée, essentiellement, par les rejets liquides non traités provenant des usines situées dans la zone industrielle de Rouiba. Les déchets ménagers y sont également rejetés. Il s'avère également, que la propagation de cet insecte nuisible et aux effets indésirables est la conséquence directe du non curage de oued El Biar qui traverse cette zone sur une distance de plus d'un kilomètre. Aussitôt alertés, les services d'hygiène de la wilaya d'Alger ont déclenché des opérations de démoustication et d'éradication du foyer de prolifération. Des opérations d'inspection des installations du site concerné et des établissements avoisinants se poursuivent jusqu'à présent pour compléter cette enquête. En fait, cet incident, qui a suscité l' inquiétude de la population, suite, notamment, au transfert de centaines d'employés de la SNVI et de dizaines d'étudiantes résidentes à la cité U avoisinant ladite zone, vers l'établissement de la santé publique de Rouiba, a permis de dévoiler les conséquences désastreuses que peut engendrer le fléau de la pollution et dont le facteur humain est le principal auteur. La situation, qui prévaut dans cette zone à risque, interpelle aujourd'hui tous les acteurs, notamment les industriels, les citoyens et les collectivités et services compétents censés lutter contre la pollution et éradiquer les risques sanitaires de ce fléau. Le mauvais comportement des usagers et l'absence du suivi des services d'hygiène sont encore une fois pointés du doigt. Car en fait, cette situation désastreuse ne fait que confirmer davantage un parfait laisser- aller et d'une complète insensibilité dont font preuve toutes les parties, citoyennes, industrielles et responsables, sur la question de la préservation de l'environnement chez nous. Alger la Blanche qui faisait, autrefois, la fierté des Algériens, se retrouve, de nos jours, complètement submergée par toute sorte de détritus, liquides, solides et gazeux. Aujourd'hui, c'est la santé des citoyens qui est vulnérabilisée par l'insalubrité de notre environnement. Si les mentalités locales sont restées jusque-là inertes aux appels multipliés pour la préservation de notre environnement, faisant régner un manque de civisme flagrant, la grosse frayeur qui a frappé les habitants et travailleurs de la dite région, interpelle, plus que jamais, toutes les parties concernées. Celles-ci doivent, dorénavant, se partager la responsabilité de la dépollution du territoire, ne serait-ce que par l'adoption du geste civique et civilisé chez nos concitoyens. Les autres parties concernées, notamment, les industriels et les collectivités locales, ainsi que les administrations chargées de ce genre de mission sont appelées à s'impliquer davantage dans l'opération de dépollution et de préservation de l'environnement. Chez nous malheureusement, la non application des règles d'hygiène et le laisser-aller dont ont fait preuve certaines parties concernées ont fait que la pollution gagne de plus en plus du terrain au détriment de la santé publique et du confort des citoyens. Enfin, si le plan Orsec, déclenché par les compétences responsables, a permis de déceler les principales origines du phénomène de la prolifération du moustique inconnu, il faut dire que le nouveau gouvernement; qui prévoit une imminente campagne de « nettoyage des villes » aura du fil à retordre. En fait, l'éradication de l'ensemble des zones noires, dite polluées ne sera pas une mince affaire au vu de leur large propagation à travers le territoire national. La prolifération du fameux moustique inconnu dans la ville de Rouiba à l'est de la capitale ne présente aucun danger pour les citoyens, a affirmé le ministère. Toutefois, les investigations menées par la commission chargée du dépistage et du suivi ont révélé que ces moustiques proviennent d'une zone de stagnation des eaux usées propice à leur prolifération, a-t-on précisé dans ce même document. Selon les informations recueillies, cette zone d'évacuation des eaux usées est alimentée, essentiellement, par les rejets liquides non traités provenant des usines situées dans la zone industrielle de Rouiba. Les déchets ménagers y sont également rejetés. Il s'avère également, que la propagation de cet insecte nuisible et aux effets indésirables est la conséquence directe du non curage de oued El Biar qui traverse cette zone sur une distance de plus d'un kilomètre. Aussitôt alertés, les services d'hygiène de la wilaya d'Alger ont déclenché des opérations de démoustication et d'éradication du foyer de prolifération. Des opérations d'inspection des installations du site concerné et des établissements avoisinants se poursuivent jusqu'à présent pour compléter cette enquête. En fait, cet incident, qui a suscité l' inquiétude de la population, suite, notamment, au transfert de centaines d'employés de la SNVI et de dizaines d'étudiantes résidentes à la cité U avoisinant ladite zone, vers l'établissement de la santé publique de Rouiba, a permis de dévoiler les conséquences désastreuses que peut engendrer le fléau de la pollution et dont le facteur humain est le principal auteur. La situation, qui prévaut dans cette zone à risque, interpelle aujourd'hui tous les acteurs, notamment les industriels, les citoyens et les collectivités et services compétents censés lutter contre la pollution et éradiquer les risques sanitaires de ce fléau. Le mauvais comportement des usagers et l'absence du suivi des services d'hygiène sont encore une fois pointés du doigt. Car en fait, cette situation désastreuse ne fait que confirmer davantage un parfait laisser- aller et d'une complète insensibilité dont font preuve toutes les parties, citoyennes, industrielles et responsables, sur la question de la préservation de l'environnement chez nous. Alger la Blanche qui faisait, autrefois, la fierté des Algériens, se retrouve, de nos jours, complètement submergée par toute sorte de détritus, liquides, solides et gazeux. Aujourd'hui, c'est la santé des citoyens qui est vulnérabilisée par l'insalubrité de notre environnement. Si les mentalités locales sont restées jusque-là inertes aux appels multipliés pour la préservation de notre environnement, faisant régner un manque de civisme flagrant, la grosse frayeur qui a frappé les habitants et travailleurs de la dite région, interpelle, plus que jamais, toutes les parties concernées. Celles-ci doivent, dorénavant, se partager la responsabilité de la dépollution du territoire, ne serait-ce que par l'adoption du geste civique et civilisé chez nos concitoyens. Les autres parties concernées, notamment, les industriels et les collectivités locales, ainsi que les administrations chargées de ce genre de mission sont appelées à s'impliquer davantage dans l'opération de dépollution et de préservation de l'environnement. Chez nous malheureusement, la non application des règles d'hygiène et le laisser-aller dont ont fait preuve certaines parties concernées ont fait que la pollution gagne de plus en plus du terrain au détriment de la santé publique et du confort des citoyens. Enfin, si le plan Orsec, déclenché par les compétences responsables, a permis de déceler les principales origines du phénomène de la prolifération du moustique inconnu, il faut dire que le nouveau gouvernement; qui prévoit une imminente campagne de « nettoyage des villes » aura du fil à retordre. En fait, l'éradication de l'ensemble des zones noires, dite polluées ne sera pas une mince affaire au vu de leur large propagation à travers le territoire national.