La Société d'exploitation et de gestion des gares routières d'Algérie (Sogral), est devenue au bout de presque deux décennies d'activité un instrument incontournable dans le développement du secteur des transports terrestre de voyageurs. Créée en 1994 pour mieux gérer les infrastructures de transports de voyageurs et des activités annexes, la Sogral a connu une évolution importante de son réseau avec actuellement 19 gares routières, et une qualité de service qui vise à assurer les meilleures conditions de confort et de sécurité pour les voyageurs. La Sogral ne comptait à sa création que la gare routière du Caroubier, à l'est d'Alger (près d'El Harrach), la seule en 1994 et la première grande gare routière depuis l'Indépendance. Sa mission principale : valoriser le concept de gare routière qui diffère de celui d'une simple station de bus par la taille de cette structure et par les infrastructures d'accompagnement et d'appui (boutiques, restauration, cafétérias, pharmacies, agences postales, parking, etc.) qu'elle doit comprendre. Et au fil du temps, la Sogral a pu se développer et étoffer son réseau avec la prise en charge de nouvelles gares routières et en introduisant des moyens modernes de gestion. A cet égard, ces infrastructures disposent depuis 2007 d'un système de gestion intégrée avec la mise en place d'une billetterie automatique et le téléaffichage des destinations et horaires d'arrivées et départs des autocars. A la fin 2011, le réseau de la Sogral est constitué de 14 gares à Alger, Béjaïa, Jijel, Bouira, Sour El-Ghozlane, Hassi Messaoud, Djelfa, Aïn Oussera, Messad, Sidi Bel Abbès, Aïn Temouchent, Nâama, Mechria et Aïn Safra. Durant le premier semestre 2012, cinq nouvelles gares sont intégrées à son réseau. Il s'agit des gares de Biskra, Relizane, Touggourt et Tindouf. Quatre autres nouvelles gares sont en cours de réalisation et seront lancées avant la fin de l'année 2012 au niveau de Médéa, Bechar, Barika et Khenchela. L'objectif des pouvoirs publics est d'implanter une gare routière au niveau de chaque wilaya, et la Sogral se veut être un instrument dans la réalisation de cet objectif. Ainsi, l'Algérie sera maillée en 2015 par un ensemble de gares routières interwilayas modernes. Cette évolution a été accompagnée par une augmentation considérable du nombre de voyageurs transitant à travers ces gares routières. Selon les données de la Sogral, ce nombre est passé de 2.480 millions de voyageurs en 1994 à 3.589 millions en 2000, puis 4.489 millions en 2006 avant d'atteindre 12,858 millions en 2011. Le nombre de voyageurs devrait atteindre, "d'une manière certaine", plus de 20 millions en 2012, estime le directeur général de la Sogral, Mohamed Maloufi. Pour accueillir un tel flux, la Sogral mise sur la modernisation des systèmes de gestion afin d'assurer la satisfaction des voyageurs. La programmation préétablie et affichée d'avance, la billetterie automatique lancée en 2007 sont les fruits de ce nouveau système. Mais la Sogral ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, et veut poursuivre son ascension. Elle compte développer de nouvelles formules, notamment la réservation aller/retour, l'abonnement mensuel ou trimestriel et la réservation en ligne qui sera lancée avant la fin 2012, selon son directeur. Le voyageur pourra ainsi réserver à l'avance ses billets et pourra mieux organiser ses départs. Quant à la Sogral, ces nouveautés lui permettront de programmer efficacement la disponibilité des autocars. En se modernisant, elle ambitionne de devenir une société qui aura à gérer de manière efficiente les nouvelles gares routières et le maillage national des transports terrestres, en renforçant notamment sa capacité de prévisions de la demande en autocars La Société d'exploitation et de gestion des gares routières d'Algérie (Sogral), est devenue au bout de presque deux décennies d'activité un instrument incontournable dans le développement du secteur des transports terrestre de voyageurs. Créée en 1994 pour mieux gérer les infrastructures de transports de voyageurs et des activités annexes, la Sogral a connu une évolution importante de son réseau avec actuellement 19 gares routières, et une qualité de service qui vise à assurer les meilleures conditions de confort et de sécurité pour les voyageurs. La Sogral ne comptait à sa création que la gare routière du Caroubier, à l'est d'Alger (près d'El Harrach), la seule en 1994 et la première grande gare routière depuis l'Indépendance. Sa mission principale : valoriser le concept de gare routière qui diffère de celui d'une simple station de bus par la taille de cette structure et par les infrastructures d'accompagnement et d'appui (boutiques, restauration, cafétérias, pharmacies, agences postales, parking, etc.) qu'elle doit comprendre. Et au fil du temps, la Sogral a pu se développer et étoffer son réseau avec la prise en charge de nouvelles gares routières et en introduisant des moyens modernes de gestion. A cet égard, ces infrastructures disposent depuis 2007 d'un système de gestion intégrée avec la mise en place d'une billetterie automatique et le téléaffichage des destinations et horaires d'arrivées et départs des autocars. A la fin 2011, le réseau de la Sogral est constitué de 14 gares à Alger, Béjaïa, Jijel, Bouira, Sour El-Ghozlane, Hassi Messaoud, Djelfa, Aïn Oussera, Messad, Sidi Bel Abbès, Aïn Temouchent, Nâama, Mechria et Aïn Safra. Durant le premier semestre 2012, cinq nouvelles gares sont intégrées à son réseau. Il s'agit des gares de Biskra, Relizane, Touggourt et Tindouf. Quatre autres nouvelles gares sont en cours de réalisation et seront lancées avant la fin de l'année 2012 au niveau de Médéa, Bechar, Barika et Khenchela. L'objectif des pouvoirs publics est d'implanter une gare routière au niveau de chaque wilaya, et la Sogral se veut être un instrument dans la réalisation de cet objectif. Ainsi, l'Algérie sera maillée en 2015 par un ensemble de gares routières interwilayas modernes. Cette évolution a été accompagnée par une augmentation considérable du nombre de voyageurs transitant à travers ces gares routières. Selon les données de la Sogral, ce nombre est passé de 2.480 millions de voyageurs en 1994 à 3.589 millions en 2000, puis 4.489 millions en 2006 avant d'atteindre 12,858 millions en 2011. Le nombre de voyageurs devrait atteindre, "d'une manière certaine", plus de 20 millions en 2012, estime le directeur général de la Sogral, Mohamed Maloufi. Pour accueillir un tel flux, la Sogral mise sur la modernisation des systèmes de gestion afin d'assurer la satisfaction des voyageurs. La programmation préétablie et affichée d'avance, la billetterie automatique lancée en 2007 sont les fruits de ce nouveau système. Mais la Sogral ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, et veut poursuivre son ascension. Elle compte développer de nouvelles formules, notamment la réservation aller/retour, l'abonnement mensuel ou trimestriel et la réservation en ligne qui sera lancée avant la fin 2012, selon son directeur. Le voyageur pourra ainsi réserver à l'avance ses billets et pourra mieux organiser ses départs. Quant à la Sogral, ces nouveautés lui permettront de programmer efficacement la disponibilité des autocars. En se modernisant, elle ambitionne de devenir une société qui aura à gérer de manière efficiente les nouvelles gares routières et le maillage national des transports terrestres, en renforçant notamment sa capacité de prévisions de la demande en autocars