Plus de 4.000 ha de terres ont été versés dans le foncier urbain à Boumerdès depuis le lancement en 2007 de la révision des plans directeurs d'aménagement et d'urbanisme (PDAU) des communes de la wilaya, apprend-on auprès de la Direction locale de l'urbanisme et de la construction (DUC). Ce foncier a été destiné à l'implantation de plus de 1.300 projets publics, inscrits au titre des plans quinquennaux 2005-2010 et 2010-2014, a ajouté la même source, précisant que les projets en question portaient sur la réalisation, entre autres, de logements de différents types, des écoles, des équipements publics et diverses infrastructures de base, dont des routes et des réseaux d'assainissement, d'AEP, d'électricité et de gaz. La révision de ces PDAU a également permis la régularisation de la situation d'un foncier supplémentaire global de 1.500 ha en "l'intégrant aux périmètres urbains constructibles des localités concernées", est-il signalé. L'Assemblée populaire de la wilaya (APW) a adopté, à ce jour, 28 PDAU sur les 32 que compte la wilaya de Boumerdès (soit le nombre de ses communes). Les quatre restants seront achevés avant fin 2012, selon la même source. Dans le même sillage, la DUC signale le lancement "prochain" de l'élaboration de trois plans directeurs intercommunaux dans un souci, est-il souligné, "d'éviter des interférences entre les études portant sur des projets de développement à portée nationale et autres de dimension locale, comme c'est le cas pour les routes". Le premier PDAU intercommunal réunira les localités de Boumerdès, Corso et Tidjelabine, tandis que le second concernera celles de Boudouaou El-Bahri, Boudouaou et Keddara et le troisième les communes d'Ouled Moussa, Ouled Hedadj et Kharrouba. La réalisation de ces instruments urbains, dont la durée de validité est de 20 ans, selon la DUC, a pour objectif principal de "déterminer les mécanismes et moyens susceptibles d'aider à la ‘valorisation' du potentiel de chaque commune, tout en contribuant au lancement de plans étudiés de façon à répondre aux préoccupations nouvelles des citoyens et à la préservation du foncier local". Ces PDAU ont déjà permis la régularisation de la situation de nombreux projets implantés "dans l'urgence" sur un foncier agricole, au lendemain du séisme du 21 mai 2003, à cause du "déficit accusé, à l'époque, en matière de foncier constructible dans plusieurs localités de la région", est-il indiqué. Plus de 4.000 ha de terres ont été versés dans le foncier urbain à Boumerdès depuis le lancement en 2007 de la révision des plans directeurs d'aménagement et d'urbanisme (PDAU) des communes de la wilaya, apprend-on auprès de la Direction locale de l'urbanisme et de la construction (DUC). Ce foncier a été destiné à l'implantation de plus de 1.300 projets publics, inscrits au titre des plans quinquennaux 2005-2010 et 2010-2014, a ajouté la même source, précisant que les projets en question portaient sur la réalisation, entre autres, de logements de différents types, des écoles, des équipements publics et diverses infrastructures de base, dont des routes et des réseaux d'assainissement, d'AEP, d'électricité et de gaz. La révision de ces PDAU a également permis la régularisation de la situation d'un foncier supplémentaire global de 1.500 ha en "l'intégrant aux périmètres urbains constructibles des localités concernées", est-il signalé. L'Assemblée populaire de la wilaya (APW) a adopté, à ce jour, 28 PDAU sur les 32 que compte la wilaya de Boumerdès (soit le nombre de ses communes). Les quatre restants seront achevés avant fin 2012, selon la même source. Dans le même sillage, la DUC signale le lancement "prochain" de l'élaboration de trois plans directeurs intercommunaux dans un souci, est-il souligné, "d'éviter des interférences entre les études portant sur des projets de développement à portée nationale et autres de dimension locale, comme c'est le cas pour les routes". Le premier PDAU intercommunal réunira les localités de Boumerdès, Corso et Tidjelabine, tandis que le second concernera celles de Boudouaou El-Bahri, Boudouaou et Keddara et le troisième les communes d'Ouled Moussa, Ouled Hedadj et Kharrouba. La réalisation de ces instruments urbains, dont la durée de validité est de 20 ans, selon la DUC, a pour objectif principal de "déterminer les mécanismes et moyens susceptibles d'aider à la ‘valorisation' du potentiel de chaque commune, tout en contribuant au lancement de plans étudiés de façon à répondre aux préoccupations nouvelles des citoyens et à la préservation du foncier local". Ces PDAU ont déjà permis la régularisation de la situation de nombreux projets implantés "dans l'urgence" sur un foncier agricole, au lendemain du séisme du 21 mai 2003, à cause du "déficit accusé, à l'époque, en matière de foncier constructible dans plusieurs localités de la région", est-il indiqué.