La confection des listes électorales dans la wilaya de Boumerdès est caractérisée par des incidents au sein des formations politiques en lice pour les prochaines élections locales prévues pour le 29 novembre. L'ex-parti unique a été secoué récemment par des tensions qui ont failli déchirer la maison FLN dans cette région où il sera présent dans 31 communes des 32 que compte cette wilaya. Certains dossiers de candidats sont perdus à quelques heures seulement du délai de dépôt de liste, le 10 octobre dernier. Mais la tension a monté d'un cran suite à l'action de protestation organisée par des militants venus des différentes kasmates FLN devant le siège de la mouhafadha, pour protester contre la présentation d'un ancien sénateur, Khoudja Ziane, aux élections APW. Les manifestants se sont révoltés et ont exprimé leur soutien à l'actuel P/APW, d'obédience FLN, M. Boussaidi. En outre, faut-il le signaler, la liste FLN de l'APC de Boumerdès est conduite par notre confrère de Liberté, Ibaouni Hamoud. Des militants du plus vieux parti d'opposition, le FFS, se sont révoltés, également, contre les tentatives de changement des têtes de listes électorales dans les communes dont Timezrite où plusieurs militants avaient exprimé leur colère devant le siège de la fédération. L'ex-P/APC, Barrara Amar, selon un militant, «a été choisi par la base et les citoyens de la commune et ils n'ont qu'à respecter les directives du parti». Le parti d'Ait Ahmed est présent dans 31 communes. Même vent de contestation au RND où plusieurs militants ont claqué la porte pour rejoindre d'autres formations politiques suite à la présentation d'un sénateur dont le mandat expire en décembre prochain, et qui chapeautera la liste APW du parti. Les prochaines élections verront la faible participation des formations politiques nouvellement agréées dont le MPA. Cette faible présence est due à l'incapacité des partis politiques à trouver des candidats particulièrement les femmes. Le RCD sera présent uniquement dans sept communes et on constate son recul de plus en plus. Par ailleurs, le nomadisme politique fait rage dans cette partie du pays où des P/APC sortants et qui ont failli dans la gestion des affaires de la cité durant leurs mandats ont rejoint d'autres partis politiques nouvellement créés pour se lancer à nouveau dans l'activité politique. L'on se demande pourquoi cette volonté de revenir aux affaires alors qu'ils ont un bilan négatif. A titre d'exemple, le P/APC de Chabet El-Ameur, un ex-Rndiste qui vient de rejoindre le MPA, tente de revenir à la tête de l'APC au moment où ses adversaires des autres formations politiques l'accusent «d'utiliser les moyens de l'APC pour des besoins partisans ». La confection des listes électorales dans la wilaya de Boumerdès est caractérisée par des incidents au sein des formations politiques en lice pour les prochaines élections locales prévues pour le 29 novembre. L'ex-parti unique a été secoué récemment par des tensions qui ont failli déchirer la maison FLN dans cette région où il sera présent dans 31 communes des 32 que compte cette wilaya. Certains dossiers de candidats sont perdus à quelques heures seulement du délai de dépôt de liste, le 10 octobre dernier. Mais la tension a monté d'un cran suite à l'action de protestation organisée par des militants venus des différentes kasmates FLN devant le siège de la mouhafadha, pour protester contre la présentation d'un ancien sénateur, Khoudja Ziane, aux élections APW. Les manifestants se sont révoltés et ont exprimé leur soutien à l'actuel P/APW, d'obédience FLN, M. Boussaidi. En outre, faut-il le signaler, la liste FLN de l'APC de Boumerdès est conduite par notre confrère de Liberté, Ibaouni Hamoud. Des militants du plus vieux parti d'opposition, le FFS, se sont révoltés, également, contre les tentatives de changement des têtes de listes électorales dans les communes dont Timezrite où plusieurs militants avaient exprimé leur colère devant le siège de la fédération. L'ex-P/APC, Barrara Amar, selon un militant, «a été choisi par la base et les citoyens de la commune et ils n'ont qu'à respecter les directives du parti». Le parti d'Ait Ahmed est présent dans 31 communes. Même vent de contestation au RND où plusieurs militants ont claqué la porte pour rejoindre d'autres formations politiques suite à la présentation d'un sénateur dont le mandat expire en décembre prochain, et qui chapeautera la liste APW du parti. Les prochaines élections verront la faible participation des formations politiques nouvellement agréées dont le MPA. Cette faible présence est due à l'incapacité des partis politiques à trouver des candidats particulièrement les femmes. Le RCD sera présent uniquement dans sept communes et on constate son recul de plus en plus. Par ailleurs, le nomadisme politique fait rage dans cette partie du pays où des P/APC sortants et qui ont failli dans la gestion des affaires de la cité durant leurs mandats ont rejoint d'autres partis politiques nouvellement créés pour se lancer à nouveau dans l'activité politique. L'on se demande pourquoi cette volonté de revenir aux affaires alors qu'ils ont un bilan négatif. A titre d'exemple, le P/APC de Chabet El-Ameur, un ex-Rndiste qui vient de rejoindre le MPA, tente de revenir à la tête de l'APC au moment où ses adversaires des autres formations politiques l'accusent «d'utiliser les moyens de l'APC pour des besoins partisans ».