Le président français, François Hollande, se rendra au Liban, en Arabie Saoudite puis au Laos pour une rencontre Europe-Asie. Il effectuera dimanche une brève visite au Liban, où il rencontrera le président libanais Michel Sleimane. Le chef de l'Etat entame un marathon diplomatique qui le conduira ensuite en Arabie saoudite, puis au Laos pour le 9e sommet de l'Asem (rencontre Europe-Asie), avec en ligne de mire les chiffres mirobolants de croissance asiatiques face à une Europe au bord de la récession. Il s'agit pour le président français du premier voyage à Beyrouth depuis l'attentat du 19 octobre qui a couté la vie au chef des renseignements de la police, Wissam al-Hassan. Un geste politique qui se veut fort, "de soutien et d'appui à la souveraineté du Liban, à la préservation de son unité face aux risques de déstabilisation" provoqués par la crise syrienne. Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, avait estimé qu'il était "probable" qu'il porte la marque de la Syrie. 8 personnes ont été tuées et 86 blessées dans ce qui représente l'attentat le plus violent depuis 2005. Le président français rencontrera pour la première fois, le roi saoudien Abdallah, à Djeddah. Au menu de leurs entretiens, la question du nucléaire iranien sur laquelle l'Arabie saoudite se dit "extrèmement inquiète", et la Syrie dont elle se dit "proche" de l'analyse française. Le président français, François Hollande, se rendra au Liban, en Arabie Saoudite puis au Laos pour une rencontre Europe-Asie. Il effectuera dimanche une brève visite au Liban, où il rencontrera le président libanais Michel Sleimane. Le chef de l'Etat entame un marathon diplomatique qui le conduira ensuite en Arabie saoudite, puis au Laos pour le 9e sommet de l'Asem (rencontre Europe-Asie), avec en ligne de mire les chiffres mirobolants de croissance asiatiques face à une Europe au bord de la récession. Il s'agit pour le président français du premier voyage à Beyrouth depuis l'attentat du 19 octobre qui a couté la vie au chef des renseignements de la police, Wissam al-Hassan. Un geste politique qui se veut fort, "de soutien et d'appui à la souveraineté du Liban, à la préservation de son unité face aux risques de déstabilisation" provoqués par la crise syrienne. Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, avait estimé qu'il était "probable" qu'il porte la marque de la Syrie. 8 personnes ont été tuées et 86 blessées dans ce qui représente l'attentat le plus violent depuis 2005. Le président français rencontrera pour la première fois, le roi saoudien Abdallah, à Djeddah. Au menu de leurs entretiens, la question du nucléaire iranien sur laquelle l'Arabie saoudite se dit "extrèmement inquiète", et la Syrie dont elle se dit "proche" de l'analyse française.