Les bombardements de l'aviation israélienne sur Ghaza se sont poursuivis, hier, avec la même intensité que lors des précédents jours. Les bombardements de l'aviation israélienne sur Ghaza se sont poursuivis, hier, avec la même intensité que lors des précédents jours. Des raids qui ont fait d‘ailleurs de nouvelles victimes puisque le bilan arrêté en milieu de l‘après-midi d‘hier fait cas de la mort d‘au moins six Palestiniens parmi lesquels on dénombre des enfants et même des bébés. Cela dit des efforts sont déployés ça et là en vue d‘arrêter cette folie meurtrière de la soldatesque israélienne et de parvenir à une trêve. Les bonbardemenst de l‘aviation israélienne de la bande de Ghaza sont entrés hier dans leur cinquième jour alourdissant du coup le bilan des victimes déjà assez lourd. Ainsi, selon les services de santé du territoire palestinien gouverné par le Hamas, six Palestiniens, dont quatre enfants, ont été tués dans des raids de l‘aviation israélienne. Des raids qui ont ciblé plusieurs régions de la bande de Ghaza. Le porte-parole des services d‘urgence, Achraf al-Qoudra, a ainsi annoncé la mort d‘un homme et d‘une fillette dans le camp de Chati. Les deux tués sont Ahmad al-Nahal, 25 ans, et Tasnim al-Nahal, 13 ans. La fillette, a précisé la même source, est décédée de graves blessures liées à des éclats à la tête. Un peu plus tot, Iyad Abou Khoussa, un enfant de 18 mois, a été tué et ses deux frères âgés de 4 et 5 ans grièvement blessés dans un autre raid israélien ciblant cette fois ci dans le centre de la bande de Ghaza, a annoncé un autre porte-parole. Adham Abou Selmiya. La journée d‘hier semble avoir été fatale pour les enfants palestiniens car, auparavant un garçon, Tamer Abou Saeifane, 3 ans et sa soeur Joumana, un an, avaient péri dans des raids israéliens sur le nord de l‘enclave palestinienne. Par ailleurs, des sources médicales palestiniennes ont annoncé que le corps d‘une femme de 52 ans, a été retrouvé sous les décombres d‘une maison dans l‘est de la ville de Ghaza. Le bilan de ces attaques de l‘aviation israélienne est lourd. Depuis mercredi, le jour ou a été lancée l‘opération israélienne «Pilier de défense», 52 Palestiniens ont été tués, dont la majorité, estiment des sources palestiniennes ne sont pas des combattants. Le comble c‘est que rien n‘indique que cette barbarie est sur le point de s‘arrêter. Au contraire l‘Etat hébreu pense même étendre cette opération militaire. «L‘armée israélienne est prête à étendre significativement son opération militaire contre les groupes armés palestiniens à Ghaza», a déclaré hier le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. Il faut préciser qu‘Israël a déjà positionné des milliers de réservistes, des transports de troupes blindés, des bulldozers et des chars près de la barrière à la frontière entre Israël et la bande de Ghaza.75 000 réservistes ont été par ailleurs mobilisés à cette fin. C‘est dire qu‘Israël ne lésine pas sur les moyens pour massacrer un peuple sans défense avec , en plus , la complicité des grandes puissances occidentales, les Etats-Unis en tête ; le président américain , Barak Obama, a réitéré hier son soutien à Tel Aviv . Il a en effet estimé hier que les tirs de roquettes lancées en direction d‘Israël avaient précipité la crise à Gaza, où l‘armée israélienne a effectué dimanche de nouveaux raids. "Les Etats-Unis soutiennent complètement le droit d‘Israël de se défendre", a-t-il déclaré. Pendant ce temps des efforts sont déployés pour parvenir à une trêve et l‘arrêt des hostilités. «Nous sommes parvenus à des arrangements importants mais nous avons encore un peu de chemin à faire afin de parvenir à un accord de trêve qui vise à assurer la sécurité et la stabilité et (...) faire en sorte que cela ne se reproduise plus», a déclaré hier, un responsable palestinien sous couvert d‘anonymat. Ces déclarations ont été confirmées par une source égyptienne qui a déclaré que «depuis l‘aube, l‘Egypte a continué les réunions et les contacts intensifs avec toutes les parties pour parvenir à une trêve aussi vite que possible». C‘est sans doute dans ce sens qu‘il faut interpréter la visite du chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, dans la région. "Notre soutien à la cause palestinienne n‘est pas contesté et en même temps, nous avons des contacts avec les Israéliens. Nous sommes presque les seuls dans cette position-là. Nous parlons aux uns et aux autres, nous sommes reconnus par les uns et par les autres, et nous voulons la paix", a-t-il déclaré hier. Des efforts qui tendent aussi à dissuader Israël de lancer une offensive terrestre. Le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague a d‘ailleurs averti Israël qu‘une opération terrestre à pourrait «coûter à l‘Etat hébreu qui perdrait une grande partie de son soutien international, (...) l‘invasion terrestre est beaucoup plus difficile à soutenir pour la communauté internationale». Des raids qui ont fait d‘ailleurs de nouvelles victimes puisque le bilan arrêté en milieu de l‘après-midi d‘hier fait cas de la mort d‘au moins six Palestiniens parmi lesquels on dénombre des enfants et même des bébés. Cela dit des efforts sont déployés ça et là en vue d‘arrêter cette folie meurtrière de la soldatesque israélienne et de parvenir à une trêve. Les bonbardemenst de l‘aviation israélienne de la bande de Ghaza sont entrés hier dans leur cinquième jour alourdissant du coup le bilan des victimes déjà assez lourd. Ainsi, selon les services de santé du territoire palestinien gouverné par le Hamas, six Palestiniens, dont quatre enfants, ont été tués dans des raids de l‘aviation israélienne. Des raids qui ont ciblé plusieurs régions de la bande de Ghaza. Le porte-parole des services d‘urgence, Achraf al-Qoudra, a ainsi annoncé la mort d‘un homme et d‘une fillette dans le camp de Chati. Les deux tués sont Ahmad al-Nahal, 25 ans, et Tasnim al-Nahal, 13 ans. La fillette, a précisé la même source, est décédée de graves blessures liées à des éclats à la tête. Un peu plus tot, Iyad Abou Khoussa, un enfant de 18 mois, a été tué et ses deux frères âgés de 4 et 5 ans grièvement blessés dans un autre raid israélien ciblant cette fois ci dans le centre de la bande de Ghaza, a annoncé un autre porte-parole. Adham Abou Selmiya. La journée d‘hier semble avoir été fatale pour les enfants palestiniens car, auparavant un garçon, Tamer Abou Saeifane, 3 ans et sa soeur Joumana, un an, avaient péri dans des raids israéliens sur le nord de l‘enclave palestinienne. Par ailleurs, des sources médicales palestiniennes ont annoncé que le corps d‘une femme de 52 ans, a été retrouvé sous les décombres d‘une maison dans l‘est de la ville de Ghaza. Le bilan de ces attaques de l‘aviation israélienne est lourd. Depuis mercredi, le jour ou a été lancée l‘opération israélienne «Pilier de défense», 52 Palestiniens ont été tués, dont la majorité, estiment des sources palestiniennes ne sont pas des combattants. Le comble c‘est que rien n‘indique que cette barbarie est sur le point de s‘arrêter. Au contraire l‘Etat hébreu pense même étendre cette opération militaire. «L‘armée israélienne est prête à étendre significativement son opération militaire contre les groupes armés palestiniens à Ghaza», a déclaré hier le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. Il faut préciser qu‘Israël a déjà positionné des milliers de réservistes, des transports de troupes blindés, des bulldozers et des chars près de la barrière à la frontière entre Israël et la bande de Ghaza.75 000 réservistes ont été par ailleurs mobilisés à cette fin. C‘est dire qu‘Israël ne lésine pas sur les moyens pour massacrer un peuple sans défense avec , en plus , la complicité des grandes puissances occidentales, les Etats-Unis en tête ; le président américain , Barak Obama, a réitéré hier son soutien à Tel Aviv . Il a en effet estimé hier que les tirs de roquettes lancées en direction d‘Israël avaient précipité la crise à Gaza, où l‘armée israélienne a effectué dimanche de nouveaux raids. "Les Etats-Unis soutiennent complètement le droit d‘Israël de se défendre", a-t-il déclaré. Pendant ce temps des efforts sont déployés pour parvenir à une trêve et l‘arrêt des hostilités. «Nous sommes parvenus à des arrangements importants mais nous avons encore un peu de chemin à faire afin de parvenir à un accord de trêve qui vise à assurer la sécurité et la stabilité et (...) faire en sorte que cela ne se reproduise plus», a déclaré hier, un responsable palestinien sous couvert d‘anonymat. Ces déclarations ont été confirmées par une source égyptienne qui a déclaré que «depuis l‘aube, l‘Egypte a continué les réunions et les contacts intensifs avec toutes les parties pour parvenir à une trêve aussi vite que possible». C‘est sans doute dans ce sens qu‘il faut interpréter la visite du chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, dans la région. "Notre soutien à la cause palestinienne n‘est pas contesté et en même temps, nous avons des contacts avec les Israéliens. Nous sommes presque les seuls dans cette position-là. Nous parlons aux uns et aux autres, nous sommes reconnus par les uns et par les autres, et nous voulons la paix", a-t-il déclaré hier. Des efforts qui tendent aussi à dissuader Israël de lancer une offensive terrestre. Le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague a d‘ailleurs averti Israël qu‘une opération terrestre à pourrait «coûter à l‘Etat hébreu qui perdrait une grande partie de son soutien international, (...) l‘invasion terrestre est beaucoup plus difficile à soutenir pour la communauté internationale».