L‘Otan considérera comme "prioritaire" une éventuelle demande de la Turquie d‘un déploiement de missiles Patriot à la frontière turco-syrienne, a déclaré lundi le secrétaire général de l‘Otan, Anders Fogh Rasmussen. "La Turquie n‘a pas déposé de demande formelle (pour le déploiement de missiles) mais si elle le fait, elle sera considérée comme prioritaire", a dit M. Rasmussen en marge d‘une réunion des ministres européens de la Défense à Bruxelles. "La situation le long de la frontière entre la Syrie et la Turquie est un sujet de grande inquiétude. Nous avons tous les plans nécessaires pour défendre la Turquie si nécessaire, et ces plans seront ajustés si nécessaire afin d‘assurer une défense et une protection efficaces de la Turquie", a insisté le secrétaire général de l‘Alliance-Atlantique. "Si nous recevons une demande formelle de la Turquie d‘assurer une telle défense et protection efficace, cette demande sera considérée comme une urgence", a-t-il ajouté. L‘Allemagne s‘attend à une demande officielle de la Turquie auprès de l‘Otan ce lundi pour le déploiement de missiles Patriot à la frontière turco-syrienne, avait auparavant déclaré le ministre allemand de la Défense, Thomas de Maizière. L‘Allemagne allait "évaluer" cette demande de manière "ouverte et solidaire" avec la Turquie, avait-il ajouté. M. Rasmussen avait déjà annoncé la semaine dernière que l‘alliance était prête à fournir une assistance à la Turquie, pays membre de l‘Otan, au cas où le conflit en Syrie se rapprocherait de son territoire. L‘Allemagne et les Pays-Bas sont les deux principaux pays européens de l‘Otan à disposer de missiles Patriot de défense anti-aérienne, qui avaient déjà été déployés en Turquie en 1991, pendant la guerre du Golfe, puis en 2003 lors de la guerre contre l‘Irak. L‘Otan considérera comme "prioritaire" une éventuelle demande de la Turquie d‘un déploiement de missiles Patriot à la frontière turco-syrienne, a déclaré lundi le secrétaire général de l‘Otan, Anders Fogh Rasmussen. "La Turquie n‘a pas déposé de demande formelle (pour le déploiement de missiles) mais si elle le fait, elle sera considérée comme prioritaire", a dit M. Rasmussen en marge d‘une réunion des ministres européens de la Défense à Bruxelles. "La situation le long de la frontière entre la Syrie et la Turquie est un sujet de grande inquiétude. Nous avons tous les plans nécessaires pour défendre la Turquie si nécessaire, et ces plans seront ajustés si nécessaire afin d‘assurer une défense et une protection efficaces de la Turquie", a insisté le secrétaire général de l‘Alliance-Atlantique. "Si nous recevons une demande formelle de la Turquie d‘assurer une telle défense et protection efficace, cette demande sera considérée comme une urgence", a-t-il ajouté. L‘Allemagne s‘attend à une demande officielle de la Turquie auprès de l‘Otan ce lundi pour le déploiement de missiles Patriot à la frontière turco-syrienne, avait auparavant déclaré le ministre allemand de la Défense, Thomas de Maizière. L‘Allemagne allait "évaluer" cette demande de manière "ouverte et solidaire" avec la Turquie, avait-il ajouté. M. Rasmussen avait déjà annoncé la semaine dernière que l‘alliance était prête à fournir une assistance à la Turquie, pays membre de l‘Otan, au cas où le conflit en Syrie se rapprocherait de son territoire. L‘Allemagne et les Pays-Bas sont les deux principaux pays européens de l‘Otan à disposer de missiles Patriot de défense anti-aérienne, qui avaient déjà été déployés en Turquie en 1991, pendant la guerre du Golfe, puis en 2003 lors de la guerre contre l‘Irak.