Le retour à la création d'emplois en Espagne devrait se faire au quatrième trimestre 2013, a indiqué mardi le ministre de l'Economie espagnol, Luis de Guindos. "Je pense que 2013 sera meilleur que 2012", a affirmé le ministre à la radio Cadena Ser, alors que le gouvernement table sur un recul du PIB de 1,5% en 2012 et de 0,5% en 2013. Quant au chômage, qui frappe plus d'un actif sur quatre dans le pays, "les bases sont en train de se mettre en place pour qu'au quatrième trimestre de cette année, on commence à voir des taux de croissance positifs de l'emploi", a-t-il assuré. Le taux de chômage a franchi au troisième trimestre la barre historique des 25%, avec 25,02%, le niveau le plus élevé, après la Grèce, dans l'ensemble du monde industrialisé, selon l'Institut de statistiques national. Selon le ministre, le quatrième trimestre 2012 devrait connaître une "chute plus intense" du PIB qu'au troisième trimestre où l'activité du pays a reculé de 0,3%. Et "nous espérons qu'au troisième trimestre de cette année, nous aurons des taux de croissance positifs", a-t-il poursuivi. La quatrième économie de la zone euro est engluée dans la récession, avec laquelle elle a renoué fin 2011, moins de deux ans après en être sortie. Le chef du gouvernement conservateur, Mariano Rajoy, a dit la semaine dernière s'attendre à une année 2013 "très difficile" pour son pays, voyant la reprise et la création d'emplois en 2014. Les prévisions gouvernementales de recul de 0,5% du PIB cette année sont contredites par celles de nombreux analystes et institutions. L'Union européenne et l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) estiment, notamment, que le PIB de l'Espagne chutera de 1,4% en 2013. La reprise sera d'autant plus difficile que le pays est engagé dans une cure d'austérité historique visant à réduire son déficit public, qui après avoir atteint 9,4% du PIB en 2011, devrait être ramené à 6,3% du PIB en 2012 et à 3% en 2014. Le retour à la création d'emplois en Espagne devrait se faire au quatrième trimestre 2013, a indiqué mardi le ministre de l'Economie espagnol, Luis de Guindos. "Je pense que 2013 sera meilleur que 2012", a affirmé le ministre à la radio Cadena Ser, alors que le gouvernement table sur un recul du PIB de 1,5% en 2012 et de 0,5% en 2013. Quant au chômage, qui frappe plus d'un actif sur quatre dans le pays, "les bases sont en train de se mettre en place pour qu'au quatrième trimestre de cette année, on commence à voir des taux de croissance positifs de l'emploi", a-t-il assuré. Le taux de chômage a franchi au troisième trimestre la barre historique des 25%, avec 25,02%, le niveau le plus élevé, après la Grèce, dans l'ensemble du monde industrialisé, selon l'Institut de statistiques national. Selon le ministre, le quatrième trimestre 2012 devrait connaître une "chute plus intense" du PIB qu'au troisième trimestre où l'activité du pays a reculé de 0,3%. Et "nous espérons qu'au troisième trimestre de cette année, nous aurons des taux de croissance positifs", a-t-il poursuivi. La quatrième économie de la zone euro est engluée dans la récession, avec laquelle elle a renoué fin 2011, moins de deux ans après en être sortie. Le chef du gouvernement conservateur, Mariano Rajoy, a dit la semaine dernière s'attendre à une année 2013 "très difficile" pour son pays, voyant la reprise et la création d'emplois en 2014. Les prévisions gouvernementales de recul de 0,5% du PIB cette année sont contredites par celles de nombreux analystes et institutions. L'Union européenne et l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) estiment, notamment, que le PIB de l'Espagne chutera de 1,4% en 2013. La reprise sera d'autant plus difficile que le pays est engagé dans une cure d'austérité historique visant à réduire son déficit public, qui après avoir atteint 9,4% du PIB en 2011, devrait être ramené à 6,3% du PIB en 2012 et à 3% en 2014.