L'adolescente a été kidnappée par des inconnus à la sortie du lycée à 17h le premier jour même de la reprise des cours après les vacances d'hiver. L'adolescente a été kidnappée par des inconnus à la sortie du lycée à 17h le premier jour même de la reprise des cours après les vacances d'hiver. L'intervention rapide des gendarmes, suite à l'alerte donnée par la mère d'une lycéenne enlevée par des inconnus, a permis de libérer la jeune fille. Toutefois, les ravisseurs sont toujours en cavale, explique le communiqué de la Gendarmerie nationale. Tout est parti de l'alerte donnée aux gendarmes par G. M sur l'enlèvement de sa fille, âgée de 18 ans. L'adolescente a été kidnappée par des inconnus à la sortie du lycée à 17h le premier jour même de la reprise des cours après les vacances d'hiver. Les gendarmes ont passé au peigne fin toute la zone s'étendant de Oued S'mar à Birkhadem en faisant appel à des renforts venus de la brigade territoriale de Birkhadem. Mieux, les gendarmes de la section de sécurité et d'intervention ont été appelés au renfort pour assurer une bonne couverture, lors des recherches de la lycéenne. Ce n'est qu'à 21h40 qu'une patrouille de la Gendarmerie nationale qui sillonnait l'un des quartiers "difficiles" de Oued S'mar, notamment près d'un bidonville que la lycéenne a été enfin localisée. à la vue des gendarmes un individu a pris la fuite, ce dernier a certainement rejoint ses acolytes qui ont abandonné la jeune fille avant de prendre la fuite. Encore sous le choc la jeune O. S. s'en sort heureusement sans trop de mal même si elle aura besoin d'une assistance psychologique, elle n'a malheureusement pas réussi à identifier ses ravisseurs. Les recherches se poursuivent afin de mettre la main sur ces derniers. La série noire continue... En l'espace de moins d'un mois trois enfants âgés de 6 à 8 ans ont été enlevés, alors que deux d'entre-eux ont été sauvagement assassinés, respectivement à Mahelma et à Draria. La cadence des rapts d'enfants s'est poursuivie pour atteindre, cette fois, les villes de Tipaza et d'Alger là où la jeune Hadjira âgée de 14 printemps et la jeune lycéenne de Oued S'mar répondant aux initiales de O. S. ont été kidnappées, hier, par ses ravisseurs, apprend-on de sources sécuritaires. Les criminels semblent décidés à persister avec leurs plans diaboliques consistant à enlever des enfants et des mineurs défiant, ainsi, les services de sécurité. Le nouveau rapt de la jeune Hadjira de Tipaza est un signe révélateur de ce défi lancé par les criminels aux services de sécurité. Il intervient suite aux enlèvements des trois enfants Amira, Chaïma, Soundous. En effet, durant la soirée de vendredi passé, des individus au nombre indéterminé, se sont présentés au Douar El Guelil dans la wilaya de Tipaza. Les malfrats se sont introduits dans l'habitation de fortune dont réside la famille Charfaoui afin d'enlever la jeune Hadjira. Alertés les gendarmes se sont déplacés très vite sur le lieu de rapt et ont entamé des recherches afin de tenter de localiser la jeune captive. Après des heures de recherches, les éléments de la Gendarmerie nationale ont trouvé un foulard noir appartenent à Hadjira, cela en pleine forêt. Hormis le foulard, aucune trace de la mineure ni celle des ravisseurs n'a été localisée jusqu'à aujourd'hui. Toutefois, l'enquête ouverte par les gendarmes se poursuit toujours afin d'arrêter les ravisseurs et surtout libérer la jeune Hadjira, apprend-on de sources sécuritaires proches de cette affaire. Par ailleurs, cet énième rapt s'intervient au moment où les Algériens gardent toujours les séquelles des rapts d'Amira, Chaima et Soundous, tous enlevés dans les mêmes circonstances, hormis la jeune Soundous qui, elle, avait été froidement tuée par une proche pour des raisons familiales. Tout le monde est inquiet et l'inquiétude a gagné même la Forem (Fondation nationale pour la promotion et le développement de la recherche), dont le président est le professeur Khiati Mostefa qui a plaidé pour appliquer la peine de mort aux kidnappeurs d'enfants. Un appel soutenu par les Algériens qui exigent des peines sévères à la hauteur de l'acte criminel prémédité. Pourquoi toute cette violence ? Comment ces jeunes peuvent-ils assassiner froidement leurs victimes après avois assouvi leurs instincts bestiaux ? Même les spécialistes en psychologie restent sans réponse devant ces agissements étrangers à la société algérienne, même si ces derniers avancent que les criminels agissent sous l'effet de la drogue. Certes, la drogue joue un sérieux rôle dans les enlèvements, car ayant des effets néfastes sur le comportement, toutefois ces bandes s'inspirent également des films d'action très suivis parmi la jeunesse algérienne. Ces modèles d'enlèvements ont fini par créer un traumatisme sur les jeunes dont l'âge varie entre 17 et 28 ans. Ces derniers s'intéressent, du coup, à la criminalité et tentent de rééditer les rapts vus dans les films. Il s'agit là d'une explication donnée par les services de sécurité qui savent très bien comment les malfaiteurs réfléchissent. Il y a aussi d'autres facteurs ayant poussé à la multiplication des enlèvements en Algérie. Le recours de plus en plus aux boissons alcoolisées qui sont consommées, aujourd'hui, par des mineurs, faut-il le signaler. Agissant sous l'effet de l'alcool, les jeunes consommateurs deviennent très rapidement de nouveaux criminels après avoir participé au vol, agression, cambriolage ou rapt d'une victime. Ce qui est inquiétant, présentement, c'est la montée du phénomène des kidnappings en Algérie. Un phénomène bien qu'il ne soit pas nouveau, a toutefois pris des proportions alarmantes ces dernières semaines. L'intervention rapide des gendarmes, suite à l'alerte donnée par la mère d'une lycéenne enlevée par des inconnus, a permis de libérer la jeune fille. Toutefois, les ravisseurs sont toujours en cavale, explique le communiqué de la Gendarmerie nationale. Tout est parti de l'alerte donnée aux gendarmes par G. M sur l'enlèvement de sa fille, âgée de 18 ans. L'adolescente a été kidnappée par des inconnus à la sortie du lycée à 17h le premier jour même de la reprise des cours après les vacances d'hiver. Les gendarmes ont passé au peigne fin toute la zone s'étendant de Oued S'mar à Birkhadem en faisant appel à des renforts venus de la brigade territoriale de Birkhadem. Mieux, les gendarmes de la section de sécurité et d'intervention ont été appelés au renfort pour assurer une bonne couverture, lors des recherches de la lycéenne. Ce n'est qu'à 21h40 qu'une patrouille de la Gendarmerie nationale qui sillonnait l'un des quartiers "difficiles" de Oued S'mar, notamment près d'un bidonville que la lycéenne a été enfin localisée. à la vue des gendarmes un individu a pris la fuite, ce dernier a certainement rejoint ses acolytes qui ont abandonné la jeune fille avant de prendre la fuite. Encore sous le choc la jeune O. S. s'en sort heureusement sans trop de mal même si elle aura besoin d'une assistance psychologique, elle n'a malheureusement pas réussi à identifier ses ravisseurs. Les recherches se poursuivent afin de mettre la main sur ces derniers. La série noire continue... En l'espace de moins d'un mois trois enfants âgés de 6 à 8 ans ont été enlevés, alors que deux d'entre-eux ont été sauvagement assassinés, respectivement à Mahelma et à Draria. La cadence des rapts d'enfants s'est poursuivie pour atteindre, cette fois, les villes de Tipaza et d'Alger là où la jeune Hadjira âgée de 14 printemps et la jeune lycéenne de Oued S'mar répondant aux initiales de O. S. ont été kidnappées, hier, par ses ravisseurs, apprend-on de sources sécuritaires. Les criminels semblent décidés à persister avec leurs plans diaboliques consistant à enlever des enfants et des mineurs défiant, ainsi, les services de sécurité. Le nouveau rapt de la jeune Hadjira de Tipaza est un signe révélateur de ce défi lancé par les criminels aux services de sécurité. Il intervient suite aux enlèvements des trois enfants Amira, Chaïma, Soundous. En effet, durant la soirée de vendredi passé, des individus au nombre indéterminé, se sont présentés au Douar El Guelil dans la wilaya de Tipaza. Les malfrats se sont introduits dans l'habitation de fortune dont réside la famille Charfaoui afin d'enlever la jeune Hadjira. Alertés les gendarmes se sont déplacés très vite sur le lieu de rapt et ont entamé des recherches afin de tenter de localiser la jeune captive. Après des heures de recherches, les éléments de la Gendarmerie nationale ont trouvé un foulard noir appartenent à Hadjira, cela en pleine forêt. Hormis le foulard, aucune trace de la mineure ni celle des ravisseurs n'a été localisée jusqu'à aujourd'hui. Toutefois, l'enquête ouverte par les gendarmes se poursuit toujours afin d'arrêter les ravisseurs et surtout libérer la jeune Hadjira, apprend-on de sources sécuritaires proches de cette affaire. Par ailleurs, cet énième rapt s'intervient au moment où les Algériens gardent toujours les séquelles des rapts d'Amira, Chaima et Soundous, tous enlevés dans les mêmes circonstances, hormis la jeune Soundous qui, elle, avait été froidement tuée par une proche pour des raisons familiales. Tout le monde est inquiet et l'inquiétude a gagné même la Forem (Fondation nationale pour la promotion et le développement de la recherche), dont le président est le professeur Khiati Mostefa qui a plaidé pour appliquer la peine de mort aux kidnappeurs d'enfants. Un appel soutenu par les Algériens qui exigent des peines sévères à la hauteur de l'acte criminel prémédité. Pourquoi toute cette violence ? Comment ces jeunes peuvent-ils assassiner froidement leurs victimes après avois assouvi leurs instincts bestiaux ? Même les spécialistes en psychologie restent sans réponse devant ces agissements étrangers à la société algérienne, même si ces derniers avancent que les criminels agissent sous l'effet de la drogue. Certes, la drogue joue un sérieux rôle dans les enlèvements, car ayant des effets néfastes sur le comportement, toutefois ces bandes s'inspirent également des films d'action très suivis parmi la jeunesse algérienne. Ces modèles d'enlèvements ont fini par créer un traumatisme sur les jeunes dont l'âge varie entre 17 et 28 ans. Ces derniers s'intéressent, du coup, à la criminalité et tentent de rééditer les rapts vus dans les films. Il s'agit là d'une explication donnée par les services de sécurité qui savent très bien comment les malfaiteurs réfléchissent. Il y a aussi d'autres facteurs ayant poussé à la multiplication des enlèvements en Algérie. Le recours de plus en plus aux boissons alcoolisées qui sont consommées, aujourd'hui, par des mineurs, faut-il le signaler. Agissant sous l'effet de l'alcool, les jeunes consommateurs deviennent très rapidement de nouveaux criminels après avoir participé au vol, agression, cambriolage ou rapt d'une victime. Ce qui est inquiétant, présentement, c'est la montée du phénomène des kidnappings en Algérie. Un phénomène bien qu'il ne soit pas nouveau, a toutefois pris des proportions alarmantes ces dernières semaines.