Chaque année, Al Qaïda au Maghreb Islamique enregistre une perte de 20% de ses effectifs, avec plus de 500 terroristes blessés, arrêtés, éliminés ou qui se sont rendus aux autorités, dévoile un document exclusif sur Aqmi. Un document qui rapporte, en chiffres, les pertes humaines concédées par la nébuleuse suite aux opérations des services de sécurité algériens exécutées de 2007 à 2012. Chaque année, Al Qaïda au Maghreb Islamique enregistre une perte de 20% de ses effectifs, avec plus de 500 terroristes blessés, arrêtés, éliminés ou qui se sont rendus aux autorités, dévoile un document exclusif sur Aqmi. Un document qui rapporte, en chiffres, les pertes humaines concédées par la nébuleuse suite aux opérations des services de sécurité algériens exécutées de 2007 à 2012. L'Algérie est parmi les rares pays au monde à avoir réaliser de bons résultats contre le phénomène du terrorisme et cela avec la confirmation des pays puissants qui, aujourd'hui, recherchent l'expérience algérienne avec beaucoup d'intérêt. En six ans (janvier 2007-décembre 2012), les services de sécurité algériens ont réussi à éliminer 3.105 terroristes d'Al Qaïda au Maghreb Islamique, dévoile le document exclusif. La lutte sans relâche contre Al Qaïda au Maghreb Islamique depuis 2007, date à laquelle l'ex-GSPC avait décidé l'acte d'allégeance à Oussama Ben Laden alors chef d'Al Qaïda, a porté ses fruits. En effet, depuis janvier 2007 jusqu'au mois de décembre 2012, la nébuleuse Aqmi a perdu 3.105 membres, dont 1.509 ont été arrêtés par les forces de l'ordre, 1.365 autres ont été éliminés dans diverses opérations anti-terrorisme et enfin 231 ont choisi de se rendre aux autorités afin de bénéficier de la Charte nationale pour la paix et la réconciliation, rapporte le document. Six ans de traque et malgré cette importante saignée Aqmi garde ses capacités de nuisance et elle arrive tout de même, à recruter de nouveaux combattants, venus de tous les horizons. Revenons sur les chiffres dévoilés sur le document sur Al Qaida au Maghreb. En 2007, 280 terroristes ont été arrêtés par les services de sécurité, tandis que 299 autres ont été tués dans des opérations anti-terroriste, alors que 26 autres terroristes se sont rendus aux autorités militaires. L'année suivante, en 2008, le nombre des membres d'Aqmi arrêtés a augmenté pour atteindre 299, par contre, ceux abattus a connu une baisse pour concerner quelque 210 terroristes, tandis que 49 autres terroristes se sont rendu avec leurs armes aux services de sécurité, parmi eux des émirs. La traque d'Aqmi s'est poursuivie pour l'année 2009 d'où les opérations menées contre les sbires de Droukdel avaient connu une intensification, cela deux ans après les attentats suicides ayant frappé la capitale algéroise. Une traque ayant permis l'arrestation de 376 membres, la neutralisation de 260 autres et une traque ayant poussé 43 autres à se rendre. Une année 2009 qui reste l'une des périodes les plus efficaces depuis que l'ex-GSPC s'est converti en devenant Aqmi. En 2010, les services de sécurité algériens ont poursuivi leurs luttent sans relâche et c'est ce qui a donné un autre bon résultat sur le terrain. En effet, en 2010 la nébuleuse Aqmi a perdu 242 de ses membres, tandis que 289 autres ont été anéantis et enfin 24 terroristes ont décidé de se rendre, d'autant que l'étau s'est resserré davantage aux maquis. Les années passent et la lutte sans merci contre les acolytes d'Abou Mossaâb Abdelouadoud s'est poursuivie. C'était le cas en 2011. Durant l'année 2011, le nombre des terroristes abattus a enregistré une baisse sensible du aux plusieurs raisons. D'abord il faut parler en chiffres. En 2011, donc, 152 islamistes appartenant à Al Qaïda au Maghreb ont été arrêtés, 132 autres ont été, par ailleurs, anéantis, alors que 33 autres ont choisi de quitter la mouvance armée en optant pour la repentance pour pouvoir bénéficier de la Charte nationale pour la Paix et la réconciliation. Il convient de souligner qu'en 2011, la lutte contre le phénomène du terrorisme avait enregistré une baisse sensible sur le nombre des terroristes éliminés ou arrêtés. Parmi les raisons essentielles on peut noter à titre d'exemple que la plupart des terroristes activant sous la houlette de Droukdel avaient été envoyés vers le Nord-Mali, au lendemain de la rébellion qui a éclaté au Mali. Le chef national d'Al Qaïda au Maghreb, en l'occurrence Abdelmalek Droukdel a été l'initiateur de cette tactique. Cet émir le plus recherché en Algérie et au Sahel avait décidé d'envoyer des centaines d'hommes fortement armés pour prêter main forte à leurs acolytes, en activités au Sahel, pour les soutenir contre les rebelles du MNLA. Mais l'idée était d'occuper les villes maliennes et c'est ce qui s'est produit réellement après. Ce transfert en masse de terroristes de l'Algérie vers le Mali a, par conséquent, amoindri la "facture" des pertes humaines au sein des rangs d'Aqmi en 2011. Une année après, soit en 2012, Aqmi a perdu encore beaucoup d'hommes dans le cadre de plusieurs opérations menées par les forces de l'ordre algériens. Une année 2012 qui a permis l'arrestation de 112 terroristes, alors que 56 autres se sont rendus aux services de sécurité et, enfin, 222 ont été éliminés. Sofiane Fassila, Necib Tayeb, Nabil Mekhloufi, des «émirs» neutralisés En six ans l'Algérie a combattu avec férocité les terroristes d'Aqmi. Une lutte qui s'est consolidée par l'élimination de terroristes notoires, l'arrestation d'autres et la repentance de plusieurs émirs et leurs acolytes. En Kabylie tout comme aux frontières la lutte contre Al Qaïda au Maghreb a donné ses fruits. En six ans, rapporte le document sur Aqmi, la nébuleuse a perdu plus de 300 émirs, entre éliminés, arrêtés et repentis. Parmi ces émirs, Necib Tayeb (arrêté), Sofiane Fassila (éliminé), Nabil Mekhloufi (mort) et la liste est encore très longue. La plus importante de ces pertes reste incontestablement celles de deux émirs, Sofiane Fassila, abattu à Tizi-Ouzou et de l'émir de la phalange Al Ansar, connu sous le pseudonyme de Selmane et dont le vrai nom était Abbas Boubekeur. L'un des fondateurs du GSPC, Ahmed Zarabib, a trouvé la mort le 17 janvier 2006 au cours de violents affrontements avec les forces de l'ANP dans la région de Toudja. Les opérations menées contre les phalanges terroristes affiliées à Aqmi se sont poursuivies tout au long des années précédentes et c'est ce qui a permis l'arrestation de dangereux émirs. Faut-il le rappeler, le 15 août 2012, Necib Tayeb, alias Issehak Essoufi, chef de la commission juridique d'Aqmi a été capturé vivant par les forces spéciales algériennes, cela dans la région de Berriane à Ghardaïa. Une opération qualifiée de grand succès, laquelle a permis aux services de sécurité de "récolter" des renseignements très importants sur l'organisation terroriste d'Al Qaïda au Maghreb Islamique. Aqmi recrute ses nouveaux djihadistes dans les pays du Sahel Chaque année, Al Qaïda au Maghreb Islamique enregistre une perte d'une moyenne de 20% de ses effectifs, avec plus de 500 terroristes blessés, arrêtés, éliminés ou ceux qui se sont rendus aux autorités, révèle le document. Les pertes d'Al Qaïda au Maghreb supposent un renouvellement équivalent de l'ordre de 30 % des effectifs par an. Les données concernant les « nouvelles recrues » se déduisent à partir des documents internes de l'organisation (photos et vidéos), mais essentiellement pour les « Brigades du Sahara ». Fin 2009, les pays du Sahel fournissaient environ la moitié des membres de l'organisation, majoritairement composée de Mauritaniens (environ 150) et de Maliens (une centaine environ), le reste des djihadistes étant composé de Nigériens, de Tchadiens et de Burkinabais, sans oublier quelques transfuges somaliens, soudanais et nigérians. Pour la région Nord, les effectifs sont toujours davantage composés d'Algériens, mais il est quasiment impossible de déduire le nombre exact des membres issus du Maroc, de Tunisie et de Libye. Nous y reviendrons dans nos prochains éditions avec d'autres révélations sur Aqmi. L'Algérie est parmi les rares pays au monde à avoir réaliser de bons résultats contre le phénomène du terrorisme et cela avec la confirmation des pays puissants qui, aujourd'hui, recherchent l'expérience algérienne avec beaucoup d'intérêt. En six ans (janvier 2007-décembre 2012), les services de sécurité algériens ont réussi à éliminer 3.105 terroristes d'Al Qaïda au Maghreb Islamique, dévoile le document exclusif. La lutte sans relâche contre Al Qaïda au Maghreb Islamique depuis 2007, date à laquelle l'ex-GSPC avait décidé l'acte d'allégeance à Oussama Ben Laden alors chef d'Al Qaïda, a porté ses fruits. En effet, depuis janvier 2007 jusqu'au mois de décembre 2012, la nébuleuse Aqmi a perdu 3.105 membres, dont 1.509 ont été arrêtés par les forces de l'ordre, 1.365 autres ont été éliminés dans diverses opérations anti-terrorisme et enfin 231 ont choisi de se rendre aux autorités afin de bénéficier de la Charte nationale pour la paix et la réconciliation, rapporte le document. Six ans de traque et malgré cette importante saignée Aqmi garde ses capacités de nuisance et elle arrive tout de même, à recruter de nouveaux combattants, venus de tous les horizons. Revenons sur les chiffres dévoilés sur le document sur Al Qaida au Maghreb. En 2007, 280 terroristes ont été arrêtés par les services de sécurité, tandis que 299 autres ont été tués dans des opérations anti-terroriste, alors que 26 autres terroristes se sont rendus aux autorités militaires. L'année suivante, en 2008, le nombre des membres d'Aqmi arrêtés a augmenté pour atteindre 299, par contre, ceux abattus a connu une baisse pour concerner quelque 210 terroristes, tandis que 49 autres terroristes se sont rendu avec leurs armes aux services de sécurité, parmi eux des émirs. La traque d'Aqmi s'est poursuivie pour l'année 2009 d'où les opérations menées contre les sbires de Droukdel avaient connu une intensification, cela deux ans après les attentats suicides ayant frappé la capitale algéroise. Une traque ayant permis l'arrestation de 376 membres, la neutralisation de 260 autres et une traque ayant poussé 43 autres à se rendre. Une année 2009 qui reste l'une des périodes les plus efficaces depuis que l'ex-GSPC s'est converti en devenant Aqmi. En 2010, les services de sécurité algériens ont poursuivi leurs luttent sans relâche et c'est ce qui a donné un autre bon résultat sur le terrain. En effet, en 2010 la nébuleuse Aqmi a perdu 242 de ses membres, tandis que 289 autres ont été anéantis et enfin 24 terroristes ont décidé de se rendre, d'autant que l'étau s'est resserré davantage aux maquis. Les années passent et la lutte sans merci contre les acolytes d'Abou Mossaâb Abdelouadoud s'est poursuivie. C'était le cas en 2011. Durant l'année 2011, le nombre des terroristes abattus a enregistré une baisse sensible du aux plusieurs raisons. D'abord il faut parler en chiffres. En 2011, donc, 152 islamistes appartenant à Al Qaïda au Maghreb ont été arrêtés, 132 autres ont été, par ailleurs, anéantis, alors que 33 autres ont choisi de quitter la mouvance armée en optant pour la repentance pour pouvoir bénéficier de la Charte nationale pour la Paix et la réconciliation. Il convient de souligner qu'en 2011, la lutte contre le phénomène du terrorisme avait enregistré une baisse sensible sur le nombre des terroristes éliminés ou arrêtés. Parmi les raisons essentielles on peut noter à titre d'exemple que la plupart des terroristes activant sous la houlette de Droukdel avaient été envoyés vers le Nord-Mali, au lendemain de la rébellion qui a éclaté au Mali. Le chef national d'Al Qaïda au Maghreb, en l'occurrence Abdelmalek Droukdel a été l'initiateur de cette tactique. Cet émir le plus recherché en Algérie et au Sahel avait décidé d'envoyer des centaines d'hommes fortement armés pour prêter main forte à leurs acolytes, en activités au Sahel, pour les soutenir contre les rebelles du MNLA. Mais l'idée était d'occuper les villes maliennes et c'est ce qui s'est produit réellement après. Ce transfert en masse de terroristes de l'Algérie vers le Mali a, par conséquent, amoindri la "facture" des pertes humaines au sein des rangs d'Aqmi en 2011. Une année après, soit en 2012, Aqmi a perdu encore beaucoup d'hommes dans le cadre de plusieurs opérations menées par les forces de l'ordre algériens. Une année 2012 qui a permis l'arrestation de 112 terroristes, alors que 56 autres se sont rendus aux services de sécurité et, enfin, 222 ont été éliminés. Sofiane Fassila, Necib Tayeb, Nabil Mekhloufi, des «émirs» neutralisés En six ans l'Algérie a combattu avec férocité les terroristes d'Aqmi. Une lutte qui s'est consolidée par l'élimination de terroristes notoires, l'arrestation d'autres et la repentance de plusieurs émirs et leurs acolytes. En Kabylie tout comme aux frontières la lutte contre Al Qaïda au Maghreb a donné ses fruits. En six ans, rapporte le document sur Aqmi, la nébuleuse a perdu plus de 300 émirs, entre éliminés, arrêtés et repentis. Parmi ces émirs, Necib Tayeb (arrêté), Sofiane Fassila (éliminé), Nabil Mekhloufi (mort) et la liste est encore très longue. La plus importante de ces pertes reste incontestablement celles de deux émirs, Sofiane Fassila, abattu à Tizi-Ouzou et de l'émir de la phalange Al Ansar, connu sous le pseudonyme de Selmane et dont le vrai nom était Abbas Boubekeur. L'un des fondateurs du GSPC, Ahmed Zarabib, a trouvé la mort le 17 janvier 2006 au cours de violents affrontements avec les forces de l'ANP dans la région de Toudja. Les opérations menées contre les phalanges terroristes affiliées à Aqmi se sont poursuivies tout au long des années précédentes et c'est ce qui a permis l'arrestation de dangereux émirs. Faut-il le rappeler, le 15 août 2012, Necib Tayeb, alias Issehak Essoufi, chef de la commission juridique d'Aqmi a été capturé vivant par les forces spéciales algériennes, cela dans la région de Berriane à Ghardaïa. Une opération qualifiée de grand succès, laquelle a permis aux services de sécurité de "récolter" des renseignements très importants sur l'organisation terroriste d'Al Qaïda au Maghreb Islamique. Aqmi recrute ses nouveaux djihadistes dans les pays du Sahel Chaque année, Al Qaïda au Maghreb Islamique enregistre une perte d'une moyenne de 20% de ses effectifs, avec plus de 500 terroristes blessés, arrêtés, éliminés ou ceux qui se sont rendus aux autorités, révèle le document. Les pertes d'Al Qaïda au Maghreb supposent un renouvellement équivalent de l'ordre de 30 % des effectifs par an. Les données concernant les « nouvelles recrues » se déduisent à partir des documents internes de l'organisation (photos et vidéos), mais essentiellement pour les « Brigades du Sahara ». Fin 2009, les pays du Sahel fournissaient environ la moitié des membres de l'organisation, majoritairement composée de Mauritaniens (environ 150) et de Maliens (une centaine environ), le reste des djihadistes étant composé de Nigériens, de Tchadiens et de Burkinabais, sans oublier quelques transfuges somaliens, soudanais et nigérians. Pour la région Nord, les effectifs sont toujours davantage composés d'Algériens, mais il est quasiment impossible de déduire le nombre exact des membres issus du Maroc, de Tunisie et de Libye. Nous y reviendrons dans nos prochains éditions avec d'autres révélations sur Aqmi.