Après toutes ces années de lutte contre le phénomène du terrorisme, les services de sécurité algériens continuent leur combat contre les islamistes armés, tant que ces derniers n'auront pas renoncé à leurs crimes. Depuis janvier passé la lutte sans relâche contre les groupes sanguinaires a permis l'élimination de 110 terroristes, dont six émirs et l'arrestation de 10 autres, parmi eux des cadres de l'ex-GSPC devenu Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi). Après toutes ces années de lutte contre le phénomène du terrorisme, les services de sécurité algériens continuent leur combat contre les islamistes armés, tant que ces derniers n'auront pas renoncé à leurs crimes. Depuis janvier passé la lutte sans relâche contre les groupes sanguinaires a permis l'élimination de 110 terroristes, dont six émirs et l'arrestation de 10 autres, parmi eux des cadres de l'ex-GSPC devenu Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi). Le dernier coup sévère porté à la nébuleuse Aqmi remonte au jeudi passé, plus exactement dans la région de Boumerdès où dix terroristes affiliés à Aqmi ont été neutralisés par les forces de l'ordre suite à une opération anti-terroriste menée avec succès. Les dix terroristes débusqués par les forces de l'ordre ont tenté de s'échapper en prenant les maquis de Boumerdès, toutefois, leur tentative a fini par leur coûter cher. La saignée dans les rangs des groupes terroristes s'est succédé au fil de ces mois passés ; cette fois c'est dans la ville de Jijel où quatre dangereux membres d'Aqmi, parmi lesquels figure l'émir de cette zone, ont été abattus par les Sections d'intervention et celle de recherches relevant de la Gendarmerie nationale. La neutralisation des quatre terroristes s'est déroulée au plein centre-ville de Jijel là où les gendarmes ont mitraillé le véhicule de marque Clio à bord duquel les quatre terroristes se trouvaient. Ces derniers voulaient commettre un attentat spectaculaire à la veille de l'Aïd El-Fitr. Mais le plan diabolique des quatre activistes d'Aqmi est tombé à l'eau, cela grâce au travail de renseignements des gendarmes. La lutte contre les sbires d'Abdelmalek Droukdel, alias Abou Moussaâb Abdelouaddoud (émir national d'Aqmi), a donné ses fruits durant les mois écoulés de l'année en cours. La preuve, le chef de la commission juridique d'Aqmi, en l'occurrence Necib Tayeb, alias Abou Abderrahmane Ishak Essoufi, à savoir l'un des émirs les plus proches de Droukdel, a été arrêté en compagnie de deux de ses collaborateurs dans la wilaya de Ghardaïa. Cette opération a été dirigée par les forces spéciales de l'ANP ; ces derniers ont dressé un barrage de contrôle sur la route menant vers Berriane spécialement pour la prise d'Ishak Essoufi. Les trois terroristes ne s'attendaient pas à tomber nez-à-nez avec les forces de l'ordre, d'ailleurs, ils n'avaient même pas eu le temps d'utiliser leurs armes automatiques (PA) pour riposter et tenter de fuir des mains des forces de l'ANP. La réaction des groupes terroristes ne se fait pas attendre suite à cette prise. Ces derniers ont tenté de faire pression sur les autorités algériennes pour espérer une libération d'Ishak Essoufi, en utilisant la carte des quatre diplomates algériens, détenus par le Mujao (Mouvement pour l'Unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest). Ainsi, le Mujao a menacé d'exécuter un des quatre otages algériens si l'Algérie ne relâche pas Ishak Essoufi et deux de ses collaborateurs dans un délai de six jours fixé par les terroristes. Face à cette pression, l'Algérie a refusé de se plier au chantage du Mujao, ce groupe terroriste qui est derrière quatre attaques terroristes perpétrées cette année sur le territoire national. Parlons de ce nouveau groupe terroriste, le Mujao : ce dernier a déjà perdu 30 de ses éléments lors de différentes opérations menées par les services de sécurité algériens. Le dernier coup sévère porté à la nébuleuse Aqmi remonte au jeudi passé, plus exactement dans la région de Boumerdès où dix terroristes affiliés à Aqmi ont été neutralisés par les forces de l'ordre suite à une opération anti-terroriste menée avec succès. Les dix terroristes débusqués par les forces de l'ordre ont tenté de s'échapper en prenant les maquis de Boumerdès, toutefois, leur tentative a fini par leur coûter cher. La saignée dans les rangs des groupes terroristes s'est succédé au fil de ces mois passés ; cette fois c'est dans la ville de Jijel où quatre dangereux membres d'Aqmi, parmi lesquels figure l'émir de cette zone, ont été abattus par les Sections d'intervention et celle de recherches relevant de la Gendarmerie nationale. La neutralisation des quatre terroristes s'est déroulée au plein centre-ville de Jijel là où les gendarmes ont mitraillé le véhicule de marque Clio à bord duquel les quatre terroristes se trouvaient. Ces derniers voulaient commettre un attentat spectaculaire à la veille de l'Aïd El-Fitr. Mais le plan diabolique des quatre activistes d'Aqmi est tombé à l'eau, cela grâce au travail de renseignements des gendarmes. La lutte contre les sbires d'Abdelmalek Droukdel, alias Abou Moussaâb Abdelouaddoud (émir national d'Aqmi), a donné ses fruits durant les mois écoulés de l'année en cours. La preuve, le chef de la commission juridique d'Aqmi, en l'occurrence Necib Tayeb, alias Abou Abderrahmane Ishak Essoufi, à savoir l'un des émirs les plus proches de Droukdel, a été arrêté en compagnie de deux de ses collaborateurs dans la wilaya de Ghardaïa. Cette opération a été dirigée par les forces spéciales de l'ANP ; ces derniers ont dressé un barrage de contrôle sur la route menant vers Berriane spécialement pour la prise d'Ishak Essoufi. Les trois terroristes ne s'attendaient pas à tomber nez-à-nez avec les forces de l'ordre, d'ailleurs, ils n'avaient même pas eu le temps d'utiliser leurs armes automatiques (PA) pour riposter et tenter de fuir des mains des forces de l'ANP. La réaction des groupes terroristes ne se fait pas attendre suite à cette prise. Ces derniers ont tenté de faire pression sur les autorités algériennes pour espérer une libération d'Ishak Essoufi, en utilisant la carte des quatre diplomates algériens, détenus par le Mujao (Mouvement pour l'Unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest). Ainsi, le Mujao a menacé d'exécuter un des quatre otages algériens si l'Algérie ne relâche pas Ishak Essoufi et deux de ses collaborateurs dans un délai de six jours fixé par les terroristes. Face à cette pression, l'Algérie a refusé de se plier au chantage du Mujao, ce groupe terroriste qui est derrière quatre attaques terroristes perpétrées cette année sur le territoire national. Parlons de ce nouveau groupe terroriste, le Mujao : ce dernier a déjà perdu 30 de ses éléments lors de différentes opérations menées par les services de sécurité algériens.