Après avoir présidé plusieurs rencontres avec les élus du parti : à Ghardaïa avec les élus du sud du pays, Guelma avec les élus de l'est du pays, le 5 janvier 2013 à Oran avec les élus de l'Ouest, c'est avec les élus du Centre à Alger que Abdelaziz Belaïd a achevé les rencontres fixées dans son agenda. Après avoir présidé plusieurs rencontres avec les élus du parti : à Ghardaïa avec les élus du sud du pays, Guelma avec les élus de l'est du pays, le 5 janvier 2013 à Oran avec les élus de l'Ouest, c'est avec les élus du Centre à Alger que Abdelaziz Belaïd a achevé les rencontres fixées dans son agenda. Le président du Front El Moustakbal, qui s'est exprimé hier matin au cours du meeting tenu à la salle Atlas de Bab el-Oued, a précisé que le congrès du Front El Moustakbal se tiendra « en septembre ou en octobre de l'année courante ». Concernant les résultats obtenus lors des dernières élections locales par la jeune formation qu'il préside, Abdelaziz Belaïd les qualifiera d'«excellents». Le président de la «cinquième force politique du pays» a aussi exhorté les élus de son parti à «agir dans le respect des lois régissant l'action des assemblées locales» et à «honorer les promesses faites durant la campagne électorale». De même qu'il les a invités à «participer avec force au processus de restructuration du parti» qui, soutient-il, «consacrera des sections autonomes aux jeunes et aux femmes». Pour lui, l'ensemble des efforts de sa formation politique seront axés, durant la prochaine phase, autour des questions d'organisation et de structuration du parti. Le premier congrès national ordinaire d'El Moustakbal a pour but trois points essentiels : en premier lieu élaborer un programme, pour l'avenir plus spécialement en prévision de l'élection présidentielle de 2014. Deuxièmement permettre aux militants des différentes parties du pays de se concerter entre eux et enfin établir des liens entre les militants et les élus d'une part, et les élus et l'administration de l'autre. Abdelaziz Belaïd a relevé des points très importants, entre autres, la Constitution qui selon lui « est modifiée à la convenance des Présidents qui se sont succédé depuis l'indépendance. En Algérie la Constitution n'est plus faite pour le peuple c'est plutôt pour les Présidents », déplore-t-il. « Il est du devoir de tout Président de protéger et conserver la Constitution. Et nous en tant que parti politique on demande et on exige le respect de la Constitution » ajoute-t-il. Concernant le Mali, le docteur Belaïd a déclaré maintenir sa position « nous sommes contre toute intervention étrangère. C'est une arme que nous avons remis entre les mains des pays étrangers, car en tant que gouvernement, nous ne sommes pas arrivés à une vraie force politique avant la force militaire et un dialogue qui peut nous protéger contre nos voisins » déclare-t-il. « Il faut que le ministère des Affaires étrangères organise souvent des conférences afin de mieux informer les citoyens et pour qu'il ne soit pas induits en erreur par la presse étrangère. Et dans le but d'avoir un position claire et non complémentaire à notre gouvernement, il faut au minimum avoir une base de données » ajoute-t-il. Répondant à une question posée, concernant la limitation des mandats présidentiels, lors de la conférence de presse ayant suivi la rencontre, le numéro 1 du Front El Moustakbal a répondu : « Oui nous sommes pour et avec le retour de l'ancienne Constitution nous reviendrons automatiquement à deux mandats ». Quant à un éventuel quatrième mandat pour le président Abdelaziz Bouteflika le docteur Belaïd déclare ceci : « Je ne suis qu'un membre de ma composante politique, il faut organiser un congrès, je ne peux décider seul...». Pour rappel le Front El Moustakbal compte 33 présidents d'APC et plus de 700 élus, dont 678 au niveau des APC et 38 au niveau des APW. Parmi ces élus, figure une jeune universitaire de 23 ans, élue présidente de l'Assemblée communale de Saïda. Lors des dernières législatives du 10 mai 2012, ce jeune parti a décroché deux sièges. Agréé en février 2012, le Front El Moustakbal est parvenu à se frayer une place sur la scène politique nationale. Le Front El Moustakbal se dit s'inspirer de la Déclaration du 1er Novembre et milite «pour l'édification d'un Etat de droit, en favorisant les jeunes et les femmes». Le Front El Moustakbal est même arrivé à arracher un précieux siège au Sénat, ce qui est tout à l'honneur de ce jeune parti très dynamique résolument tourné vers l'avenir. Le président du Front El Moustakbal, qui s'est exprimé hier matin au cours du meeting tenu à la salle Atlas de Bab el-Oued, a précisé que le congrès du Front El Moustakbal se tiendra « en septembre ou en octobre de l'année courante ». Concernant les résultats obtenus lors des dernières élections locales par la jeune formation qu'il préside, Abdelaziz Belaïd les qualifiera d'«excellents». Le président de la «cinquième force politique du pays» a aussi exhorté les élus de son parti à «agir dans le respect des lois régissant l'action des assemblées locales» et à «honorer les promesses faites durant la campagne électorale». De même qu'il les a invités à «participer avec force au processus de restructuration du parti» qui, soutient-il, «consacrera des sections autonomes aux jeunes et aux femmes». Pour lui, l'ensemble des efforts de sa formation politique seront axés, durant la prochaine phase, autour des questions d'organisation et de structuration du parti. Le premier congrès national ordinaire d'El Moustakbal a pour but trois points essentiels : en premier lieu élaborer un programme, pour l'avenir plus spécialement en prévision de l'élection présidentielle de 2014. Deuxièmement permettre aux militants des différentes parties du pays de se concerter entre eux et enfin établir des liens entre les militants et les élus d'une part, et les élus et l'administration de l'autre. Abdelaziz Belaïd a relevé des points très importants, entre autres, la Constitution qui selon lui « est modifiée à la convenance des Présidents qui se sont succédé depuis l'indépendance. En Algérie la Constitution n'est plus faite pour le peuple c'est plutôt pour les Présidents », déplore-t-il. « Il est du devoir de tout Président de protéger et conserver la Constitution. Et nous en tant que parti politique on demande et on exige le respect de la Constitution » ajoute-t-il. Concernant le Mali, le docteur Belaïd a déclaré maintenir sa position « nous sommes contre toute intervention étrangère. C'est une arme que nous avons remis entre les mains des pays étrangers, car en tant que gouvernement, nous ne sommes pas arrivés à une vraie force politique avant la force militaire et un dialogue qui peut nous protéger contre nos voisins » déclare-t-il. « Il faut que le ministère des Affaires étrangères organise souvent des conférences afin de mieux informer les citoyens et pour qu'il ne soit pas induits en erreur par la presse étrangère. Et dans le but d'avoir un position claire et non complémentaire à notre gouvernement, il faut au minimum avoir une base de données » ajoute-t-il. Répondant à une question posée, concernant la limitation des mandats présidentiels, lors de la conférence de presse ayant suivi la rencontre, le numéro 1 du Front El Moustakbal a répondu : « Oui nous sommes pour et avec le retour de l'ancienne Constitution nous reviendrons automatiquement à deux mandats ». Quant à un éventuel quatrième mandat pour le président Abdelaziz Bouteflika le docteur Belaïd déclare ceci : « Je ne suis qu'un membre de ma composante politique, il faut organiser un congrès, je ne peux décider seul...». Pour rappel le Front El Moustakbal compte 33 présidents d'APC et plus de 700 élus, dont 678 au niveau des APC et 38 au niveau des APW. Parmi ces élus, figure une jeune universitaire de 23 ans, élue présidente de l'Assemblée communale de Saïda. Lors des dernières législatives du 10 mai 2012, ce jeune parti a décroché deux sièges. Agréé en février 2012, le Front El Moustakbal est parvenu à se frayer une place sur la scène politique nationale. Le Front El Moustakbal se dit s'inspirer de la Déclaration du 1er Novembre et milite «pour l'édification d'un Etat de droit, en favorisant les jeunes et les femmes». Le Front El Moustakbal est même arrivé à arracher un précieux siège au Sénat, ce qui est tout à l'honneur de ce jeune parti très dynamique résolument tourné vers l'avenir.