Le malaise continue au sein de plusieurs universités algériennes. Celles-ci vont de mal en pis et s'emblent s'enfoncer d'année en année dans un bourbier auquel les responsables du secteur, en premier lieu le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, n'y trouvent aucune issue. Le malaise continue au sein de plusieurs universités algériennes. Celles-ci vont de mal en pis et s'emblent s'enfoncer d'année en année dans un bourbier auquel les responsables du secteur, en premier lieu le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, n'y trouvent aucune issue. L'actualité ces jours-ci au sein de différentes universités du pays revient non pas pour être classée parmi les plus excellentes du monde mais pour revenir avec des grèves successives qui se comptent plus nombreuses que les cours dispensés pour les étudiants. C'est peu de le dire, puisque les maux sont nombreux et les différents acteurs se plaignent notamment de la corruption, des conditions désastreuses du logement des étudiants, des conditions lamentables de l'enseignement, falsification des notes, harcèlement sexuel, réorientations abusives...les problèmes ne manquent pas. Pour dénoncer ces attitudes de l'arbitraire plusieurs étudiants ont haussé le ton pour mettre à jour les lacunes auxquelles ils font face au quotidien. A l'instar de l'Université Abbès-Laghrour de Khenchela qui a été le théâtre d'une protestation d'étudiants pour faire écho auprès de l'administration de leur diverses revendications. Les étudiants s'estiment lésés dans le droit et boycottent les examens de la 1ere EMD jusqu'à la satisfaction complète de leur plateforme de revendications. Cette grève illimitée qui a débuté depuis dimanche passé a pour revendication unanimes des étudiants «la réhabilitation des salles des cours et des amphithéâtres ». Ils se plaignent d'un «déficit en matière de services pédagogiques, dont l'accès à l'Internet et la duplication des cours". Malheureusement en réponse à ces étudiants qui ne demandent pas en somme la mer à boire, le vice-recteur ladite université chargé des études considère les revendications des étudiants «exagérées ». Pour information, depuis le début de l'année plusieurs universités ont connu le même scénario et pour la plupart les revendications des étudiants sont semblables sur tout le territoire national. D'ailleurs le début du mois de janvier 2013, nous avons noté que d'Est en Ouest, diverses universités sont paralysées par des grèves à l'instar de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou, ou encore l'Université de Chlef qui a vécu une mini-révolution avec les étudiants en Sciences politiques qui ont décidé de mener une grève illimitée le 22 janvier pour protester contre les conditions d'enseignement. Du côté de Bordj El Kifan ce sont les étudiants de l'Institut supérieur des métiers, des arts du spectacle et de l'audio-visuel (ISMAS) qui ont entamé depuis le 20 janvier passé une grève illimitée pour des revendications qui datent depuis quelques années et que le ministère de la Culture continue d'ignorer . Aujourd'hui et encore une fois l'on revient sur les conditions lamentables auxquelles les étudiants font face depuis quelques décennies. Il en devient même redondant des les citer. Pour la plupart des syndicats du secteur, cette situation n'augure rien de bon pour l'avenir de la recherche ni pour le devenir des étudiants. D'ailleurs, ces derniers recourent à la fuite à l'étranger ou leur métrite est beaucoup plus reconnu. De fait, il semble plus que primordial pour les responsables d'affronter les conditions catastrophiques d'enseignements au lieu de pratiquer la politique de l'autruche ou celle de la fuite en avant. L'actualité ces jours-ci au sein de différentes universités du pays revient non pas pour être classée parmi les plus excellentes du monde mais pour revenir avec des grèves successives qui se comptent plus nombreuses que les cours dispensés pour les étudiants. C'est peu de le dire, puisque les maux sont nombreux et les différents acteurs se plaignent notamment de la corruption, des conditions désastreuses du logement des étudiants, des conditions lamentables de l'enseignement, falsification des notes, harcèlement sexuel, réorientations abusives...les problèmes ne manquent pas. Pour dénoncer ces attitudes de l'arbitraire plusieurs étudiants ont haussé le ton pour mettre à jour les lacunes auxquelles ils font face au quotidien. A l'instar de l'Université Abbès-Laghrour de Khenchela qui a été le théâtre d'une protestation d'étudiants pour faire écho auprès de l'administration de leur diverses revendications. Les étudiants s'estiment lésés dans le droit et boycottent les examens de la 1ere EMD jusqu'à la satisfaction complète de leur plateforme de revendications. Cette grève illimitée qui a débuté depuis dimanche passé a pour revendication unanimes des étudiants «la réhabilitation des salles des cours et des amphithéâtres ». Ils se plaignent d'un «déficit en matière de services pédagogiques, dont l'accès à l'Internet et la duplication des cours". Malheureusement en réponse à ces étudiants qui ne demandent pas en somme la mer à boire, le vice-recteur ladite université chargé des études considère les revendications des étudiants «exagérées ». Pour information, depuis le début de l'année plusieurs universités ont connu le même scénario et pour la plupart les revendications des étudiants sont semblables sur tout le territoire national. D'ailleurs le début du mois de janvier 2013, nous avons noté que d'Est en Ouest, diverses universités sont paralysées par des grèves à l'instar de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou, ou encore l'Université de Chlef qui a vécu une mini-révolution avec les étudiants en Sciences politiques qui ont décidé de mener une grève illimitée le 22 janvier pour protester contre les conditions d'enseignement. Du côté de Bordj El Kifan ce sont les étudiants de l'Institut supérieur des métiers, des arts du spectacle et de l'audio-visuel (ISMAS) qui ont entamé depuis le 20 janvier passé une grève illimitée pour des revendications qui datent depuis quelques années et que le ministère de la Culture continue d'ignorer . Aujourd'hui et encore une fois l'on revient sur les conditions lamentables auxquelles les étudiants font face depuis quelques décennies. Il en devient même redondant des les citer. Pour la plupart des syndicats du secteur, cette situation n'augure rien de bon pour l'avenir de la recherche ni pour le devenir des étudiants. D'ailleurs, ces derniers recourent à la fuite à l'étranger ou leur métrite est beaucoup plus reconnu. De fait, il semble plus que primordial pour les responsables d'affronter les conditions catastrophiques d'enseignements au lieu de pratiquer la politique de l'autruche ou celle de la fuite en avant.