Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, a plaidé en faveur du maintien du Conseil de la nation dans l'édifice institutionnel du pays. Abdelkader Bensalah a en effet mis en évidence le rôle joué par le sénat depuis sa création en critiquant ceux qui considèrent que la chambre haute du Parlement est juste intervenue pour pallier une situation politique conjoncturelle urgente. Le président du Conseil de la nation, qui s'exprimait lors de la séance de clôture de la session d'automne, a ajouté que «les jours et l'expérience vécus depuis sa création (le sénat , qui est entré en fonction au mois de janvier 1998, a été crée lors de la révision constitutionnelle de 1996 NDLR ) démontre les limites de cette thèse et la vision étroite des tenants de cette thèse,(...)Le Conseil de la nation a été effectivement une institution constitutionnelle utile qui a pleinement assumé son rôle. La mission qu'il a assumée depuis la date de sa création a aussi prouvé son utilité sur le plan politique et législatif, ce qui a contribué à la promotion de l'action parlementaire, à l'exercice pluraliste et à l'équilibre institutionnel et, partant, la stabilité des institutions constitutionnelles, voire même la stabilité du pays». Pour Bensalah, le Conseil n'a pas voulu être une chambre d'enregistrement comme il n'a pas voulu aussi être un mécanisme de blocage. D'aucuns se sont interrogés sur les motifs de ces propos de Bensalah à ce moment précis. Des propos qui ne semblent pas être anodins puisque ils interviennent au moment ou le pays s'apprête à réviser la Constitution en vigueur e tous les regards sont en effet braqués sur le président de la République. Abdelaziz Bouteflika a déjà annoncé son intention de procéder à la révision de la loi fondamentale. Une révision qui devrait intervenir dans le courant de cette année. Il faut dire que depuis la création du sénat, ce dernier n'a jamais eu les faveurs de certains cercles politiques qui sont allés jusqu'à demander son annulation lors de la révision de la Constitution. Une thèse qui ne semble pas, cependant, faire l'unanimité et tout porte à croire que le Conseil de la nation, qui ne légifère pas et se contente juste de dire oui ou non aux projets de lois qui lui sont soumis après leur approbation par l'APN, ne disparaîtra pas du paysage institutionnel du pays à la faveur de la révision constitutionnelle. Par ailleurs, Abdelkader Bensalah, qui a dressé un bilan positif de l'action du sénat lors de la session d'automne du Parlement, n'a pas manqué de revenir sur l'attaque terroriste du site gazier de Tiguentourine, à In Amenas dans la wilaya d'Illizi. Pour Bensalah, «cette attaque terroriste est un acte de guerre qu visait à tester les capacités de l'Algérie et sa résistance face au terrorisme. Mais la réponse ferme et rapide est venue du peuple algérien ainsi que des forces armées et des services de sécurité». Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Larbi Ould Khelifa, a lui aussi évoqué cet acte terroriste. « En évoquant notre Armée nationale populaire, je voudrais réitérer, en mon nom et au nom de mes collègues députés, l'expression de notre fierté quant au courage de notre armée et de nos services de sécurité. Ils méritent toute l'estime et le respect car ils ont réussi, dans ces moments critiques, à mettre en échec l'attentat criminel que le terrorisme transnational a planifié et tenté de perpétrer sur le site gazier d'In Amenas ». Il est à noter que le président de l'APN, a, dans son discours de clôture de la session d'automne de l'institution qu'il préside, dressé lui aussi un bilan positif de la session qui vient de s'achever. Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, a plaidé en faveur du maintien du Conseil de la nation dans l'édifice institutionnel du pays. Abdelkader Bensalah a en effet mis en évidence le rôle joué par le sénat depuis sa création en critiquant ceux qui considèrent que la chambre haute du Parlement est juste intervenue pour pallier une situation politique conjoncturelle urgente. Le président du Conseil de la nation, qui s'exprimait lors de la séance de clôture de la session d'automne, a ajouté que «les jours et l'expérience vécus depuis sa création (le sénat , qui est entré en fonction au mois de janvier 1998, a été crée lors de la révision constitutionnelle de 1996 NDLR ) démontre les limites de cette thèse et la vision étroite des tenants de cette thèse,(...)Le Conseil de la nation a été effectivement une institution constitutionnelle utile qui a pleinement assumé son rôle. La mission qu'il a assumée depuis la date de sa création a aussi prouvé son utilité sur le plan politique et législatif, ce qui a contribué à la promotion de l'action parlementaire, à l'exercice pluraliste et à l'équilibre institutionnel et, partant, la stabilité des institutions constitutionnelles, voire même la stabilité du pays». Pour Bensalah, le Conseil n'a pas voulu être une chambre d'enregistrement comme il n'a pas voulu aussi être un mécanisme de blocage. D'aucuns se sont interrogés sur les motifs de ces propos de Bensalah à ce moment précis. Des propos qui ne semblent pas être anodins puisque ils interviennent au moment ou le pays s'apprête à réviser la Constitution en vigueur e tous les regards sont en effet braqués sur le président de la République. Abdelaziz Bouteflika a déjà annoncé son intention de procéder à la révision de la loi fondamentale. Une révision qui devrait intervenir dans le courant de cette année. Il faut dire que depuis la création du sénat, ce dernier n'a jamais eu les faveurs de certains cercles politiques qui sont allés jusqu'à demander son annulation lors de la révision de la Constitution. Une thèse qui ne semble pas, cependant, faire l'unanimité et tout porte à croire que le Conseil de la nation, qui ne légifère pas et se contente juste de dire oui ou non aux projets de lois qui lui sont soumis après leur approbation par l'APN, ne disparaîtra pas du paysage institutionnel du pays à la faveur de la révision constitutionnelle. Par ailleurs, Abdelkader Bensalah, qui a dressé un bilan positif de l'action du sénat lors de la session d'automne du Parlement, n'a pas manqué de revenir sur l'attaque terroriste du site gazier de Tiguentourine, à In Amenas dans la wilaya d'Illizi. Pour Bensalah, «cette attaque terroriste est un acte de guerre qu visait à tester les capacités de l'Algérie et sa résistance face au terrorisme. Mais la réponse ferme et rapide est venue du peuple algérien ainsi que des forces armées et des services de sécurité». Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Larbi Ould Khelifa, a lui aussi évoqué cet acte terroriste. « En évoquant notre Armée nationale populaire, je voudrais réitérer, en mon nom et au nom de mes collègues députés, l'expression de notre fierté quant au courage de notre armée et de nos services de sécurité. Ils méritent toute l'estime et le respect car ils ont réussi, dans ces moments critiques, à mettre en échec l'attentat criminel que le terrorisme transnational a planifié et tenté de perpétrer sur le site gazier d'In Amenas ». Il est à noter que le président de l'APN, a, dans son discours de clôture de la session d'automne de l'institution qu'il préside, dressé lui aussi un bilan positif de la session qui vient de s'achever.