La Fédération algérienne des consommateurs (FAC) a accusé hier à Alger Renault Algérie de commercialiser des véhicules Master qui présentent des défaillances au niveau de leurs mécanismes, ce qui constitue selon cette association des consommateurs « un danger sur la sécurité routière ». Cette fédération accuse aussi la Maison Renault de ne pas pourvoir le marché de pièces de rechange nécessaires à la maintenance des véhicules sortis de ses usines. La FAC appelle l'ensemble des acquéreurs des Masters de l'année 2012 à se rapprocher de son bureau. Invitée en effet par le Centre de presse d'El Moudjahid pour exprimer ses « positions envers l'actualité liée à la consommation», la FAC a soutenu que « la majeure partie des plaintes qui nous parviennent au bureau, concernent les voitures ». Et d'expliquer : «La voiture en Algérie est considérée comme un capital très important, quand le citoyen estime que son capital est menacé il réagit ». « On a saisi les instances concernées et on leur a détaillé les différentes infractions », a indiqué Mustapha Zebdi, SG de la FAC. Et d'ajouter : « On a esté en justice certains concessionnaires, on a proposé l'amendement du décret exécutif 07-390, relatif à la vente des véhicules automobiles neufs, mais ce décret a-t-il ajouté n'a pas eu les résutats escomptés, cela persiste, de multiples infractions sont toujours commises». « Il y a des jeunes de l'ANSEJ, a-t-il ajouté, qui attendent la livraison de leur véhicule depuis une année, alors qu'il est sont tenus de rembourser leur banque, certains autres ont leur véhicule en panne depuis six ou neuf mois et de ce fait ils se trouvent contraints d'interrompre le service ». Et Mustapha Zebdi de regretter, « il y a certaines plaintes qui sont tojours sur la table auxquelles on n'est pas parvenu à trouver de solutions». Et d'asséner : "Il y a un opérateur en ce moment qui nous pose de grands problèmes, c'est Renault » Et d'ajouter : « Ces problèmes sont de nature à toucher la crédibilité de cet opérateur dont on avait loué par le passé les qualités, mais qui de par son attitude porte atteinte à l'intérêt de centaines de jeunes promoteurs d'une part, et à la sécurité routière de l'autre ». D'après l'orateur, « Renault commercialise des véhicules utilitaires genre Master de l'année 2012 qui présentent des défaillances dans leur mécanique ». « Les cas sont dénombrés par centaines », a-t-il indiqué. Selon lui «il y a un problème dans le système d'embrayage et le système de freinage». Le conférencier a illustré ses propos en projetant des diapositives donnant à voir des mécanismes rouillés. « Dix mille véhicules Renault Master ont été vendus en Algérie en 2012 » a-t-il précisé. « On a entamé des négociations avec Renault Algérie et on est tombé d'accord il y a plus de deux mois sur le fait il nous soit communiqué le nombre de pannes enregistrées pour savoir si cela néccesite un rappel de l'ensembe des véhicules écoulés sur le marché algérien » Et de déplorer le manque d'engagement de Renault "qui jusqu'à ce jour ne nous a pas transmis de réponse". « Ils (les responsables de Renault, NDLR) ne nous ont pas donné la liste des véhicules admis en atelier après-vente), Renault parle d'une trentaine de véhicules, or nous avons besoin de prendre connaissance de la liste nomintative des proritéaires de ces véhicules afin de la comparer avec celle que nous avons établie sur la base des requêtes introduites auprès de notre bureau par les plaignants». «Renault dit que les pièces incriminées ont été envoyées en France pour analyse, on a demandé a-t-il ajouté les résultats de ces analyses mais en vain ». Et de poursuivre : « On a eu ensuite des doutes, alors on a demandé à voir les talons de ces pièces, mais notre demande est restée sans réponse ». Et de regretter le fait que «la direction des mines ne soit pas habilitée à dire que les pièces de tels véhicules ne sont pas conformes aux normes même si ces pièces ne sont pas conformes». Mustapha Zebdi réfute la trentaine de véhicules défecteux avancé par Renault, insistant sur le fait qu'ils sont des centaines. « On a adressé une mise en demeure à Renault lui demandant de faire le rappel de l'ensemble des véhicules Master 2012, de réparer la défaillance et d'indemniser les jeunes promoteurs concernés », a-t-il ajouté . La Fédération algérienne des consommateurs (FAC) a accusé hier à Alger Renault Algérie de commercialiser des véhicules Master qui présentent des défaillances au niveau de leurs mécanismes, ce qui constitue selon cette association des consommateurs « un danger sur la sécurité routière ». Cette fédération accuse aussi la Maison Renault de ne pas pourvoir le marché de pièces de rechange nécessaires à la maintenance des véhicules sortis de ses usines. La FAC appelle l'ensemble des acquéreurs des Masters de l'année 2012 à se rapprocher de son bureau. Invitée en effet par le Centre de presse d'El Moudjahid pour exprimer ses « positions envers l'actualité liée à la consommation», la FAC a soutenu que « la majeure partie des plaintes qui nous parviennent au bureau, concernent les voitures ». Et d'expliquer : «La voiture en Algérie est considérée comme un capital très important, quand le citoyen estime que son capital est menacé il réagit ». « On a saisi les instances concernées et on leur a détaillé les différentes infractions », a indiqué Mustapha Zebdi, SG de la FAC. Et d'ajouter : « On a esté en justice certains concessionnaires, on a proposé l'amendement du décret exécutif 07-390, relatif à la vente des véhicules automobiles neufs, mais ce décret a-t-il ajouté n'a pas eu les résutats escomptés, cela persiste, de multiples infractions sont toujours commises». « Il y a des jeunes de l'ANSEJ, a-t-il ajouté, qui attendent la livraison de leur véhicule depuis une année, alors qu'il est sont tenus de rembourser leur banque, certains autres ont leur véhicule en panne depuis six ou neuf mois et de ce fait ils se trouvent contraints d'interrompre le service ». Et Mustapha Zebdi de regretter, « il y a certaines plaintes qui sont tojours sur la table auxquelles on n'est pas parvenu à trouver de solutions». Et d'asséner : "Il y a un opérateur en ce moment qui nous pose de grands problèmes, c'est Renault » Et d'ajouter : « Ces problèmes sont de nature à toucher la crédibilité de cet opérateur dont on avait loué par le passé les qualités, mais qui de par son attitude porte atteinte à l'intérêt de centaines de jeunes promoteurs d'une part, et à la sécurité routière de l'autre ». D'après l'orateur, « Renault commercialise des véhicules utilitaires genre Master de l'année 2012 qui présentent des défaillances dans leur mécanique ». « Les cas sont dénombrés par centaines », a-t-il indiqué. Selon lui «il y a un problème dans le système d'embrayage et le système de freinage». Le conférencier a illustré ses propos en projetant des diapositives donnant à voir des mécanismes rouillés. « Dix mille véhicules Renault Master ont été vendus en Algérie en 2012 » a-t-il précisé. « On a entamé des négociations avec Renault Algérie et on est tombé d'accord il y a plus de deux mois sur le fait il nous soit communiqué le nombre de pannes enregistrées pour savoir si cela néccesite un rappel de l'ensembe des véhicules écoulés sur le marché algérien » Et de déplorer le manque d'engagement de Renault "qui jusqu'à ce jour ne nous a pas transmis de réponse". « Ils (les responsables de Renault, NDLR) ne nous ont pas donné la liste des véhicules admis en atelier après-vente), Renault parle d'une trentaine de véhicules, or nous avons besoin de prendre connaissance de la liste nomintative des proritéaires de ces véhicules afin de la comparer avec celle que nous avons établie sur la base des requêtes introduites auprès de notre bureau par les plaignants». «Renault dit que les pièces incriminées ont été envoyées en France pour analyse, on a demandé a-t-il ajouté les résultats de ces analyses mais en vain ». Et de poursuivre : « On a eu ensuite des doutes, alors on a demandé à voir les talons de ces pièces, mais notre demande est restée sans réponse ». Et de regretter le fait que «la direction des mines ne soit pas habilitée à dire que les pièces de tels véhicules ne sont pas conformes aux normes même si ces pièces ne sont pas conformes». Mustapha Zebdi réfute la trentaine de véhicules défecteux avancé par Renault, insistant sur le fait qu'ils sont des centaines. « On a adressé une mise en demeure à Renault lui demandant de faire le rappel de l'ensemble des véhicules Master 2012, de réparer la défaillance et d'indemniser les jeunes promoteurs concernés », a-t-il ajouté .