Les gardes communaux reviennent à la charge. Une fois encore, en effet, ils ont menacé d'investir la rue et de marcher de nouveau sur Alger. Avant-hier à Boufarik, ils étaient des centaines, voire des milliers à avoir répondu présent à l'appel de la coordination nationale des gardes communaux. Mais les plans des gardes communaux ont été, finalement, contrecarrés puisque le rassemblement qui devait avoir lieu à Boufarik et à travers lequel les protestataires comptaient faire une démonstration de force, n'a pas eu lieu. En effet, la ville était entièrement bouclée par un impressionnant dispositif de sécurité. «Nous avons été surpris par ce dispositif et nous dénonçons les arrestations de nos collègues par les forces de l'ordre», nous a indiqué, hier un des membres de la coordination nationale des gardes communaux, Aliouat Lahlou. Notre interlocuteur, contacté hier, a dit ne pas comprendre ce déploiement des forces de l'ordre et cette vague d'arrestations, alors que « les gardes communaux n'avaient nullement l'intention de provoquer de affrontements avec eux» . Selon lui, 297 gardes communaux ont été arrêtés avant-hier non seulement dans la ville de Boufarik, mais dans plusieurs autres villes aussi. En effet, selon Aliouat Lahlou, des arrestations ont été aussi opérées à Tizi Ouzou, Médéa, Souk Ahras etc. Le but était d'empêcher l'arrivée massive des gardes communaux à Boufarik. «Nous avons donné un délai supplémentaire de quinze jours aux autorités en vue de répondre positivement à nos doléances, faute de quoi nous allons initier d'autres actions de protestations», dira, en outre Lahlou Aliouat. Décidément les gardes communaux ne baissent pas les bras. Car ce n'est pas la première fois qu'ils font parler d'eux en initiant des actions de protestations. La dernière en date, pour rappel, remonte au mois de juillet de l'année dernière. Des milliers de gardes communaux ont en effet, marché sur Alger à partir de Boufarik où ils avaient campé une quinzaine de jours durant en plein mois de Ramadhan. De cette ville, ils ont marché jusqu'aux portes d'Alger, la capitale, où ils furent stoppés au niveau de Birkhadem par un important dispositif de sécurité. Des affrontements avaient alors opposé les deux parties. Les gardes communaux voulaient organiser un rassemblement devant la présidence de la République et faire ainsi entendre leurs voix. Il semble que presque une année après, les autorités n'ont pas réglé entièrement les problèmes des gardes communaux, d'où ce retour à la protesta. Il en est ainsi de l'affectation des gardes communaux au sein des entreprises publiques. Les engagements des autorités, selon les responsables au sein de la coordination des gardes communaux, n'ont pas été tenus puisque très peu d'entre eux avaient effectivement rejoint les entreprises publiques. En outre, les gardes communaux contestent le classement des salaires et mettent en avant l'inssuffisnace du dispositif de la prise en charge sur le plan social. Les gardes communaux reviennent à la charge. Une fois encore, en effet, ils ont menacé d'investir la rue et de marcher de nouveau sur Alger. Avant-hier à Boufarik, ils étaient des centaines, voire des milliers à avoir répondu présent à l'appel de la coordination nationale des gardes communaux. Mais les plans des gardes communaux ont été, finalement, contrecarrés puisque le rassemblement qui devait avoir lieu à Boufarik et à travers lequel les protestataires comptaient faire une démonstration de force, n'a pas eu lieu. En effet, la ville était entièrement bouclée par un impressionnant dispositif de sécurité. «Nous avons été surpris par ce dispositif et nous dénonçons les arrestations de nos collègues par les forces de l'ordre», nous a indiqué, hier un des membres de la coordination nationale des gardes communaux, Aliouat Lahlou. Notre interlocuteur, contacté hier, a dit ne pas comprendre ce déploiement des forces de l'ordre et cette vague d'arrestations, alors que « les gardes communaux n'avaient nullement l'intention de provoquer de affrontements avec eux» . Selon lui, 297 gardes communaux ont été arrêtés avant-hier non seulement dans la ville de Boufarik, mais dans plusieurs autres villes aussi. En effet, selon Aliouat Lahlou, des arrestations ont été aussi opérées à Tizi Ouzou, Médéa, Souk Ahras etc. Le but était d'empêcher l'arrivée massive des gardes communaux à Boufarik. «Nous avons donné un délai supplémentaire de quinze jours aux autorités en vue de répondre positivement à nos doléances, faute de quoi nous allons initier d'autres actions de protestations», dira, en outre Lahlou Aliouat. Décidément les gardes communaux ne baissent pas les bras. Car ce n'est pas la première fois qu'ils font parler d'eux en initiant des actions de protestations. La dernière en date, pour rappel, remonte au mois de juillet de l'année dernière. Des milliers de gardes communaux ont en effet, marché sur Alger à partir de Boufarik où ils avaient campé une quinzaine de jours durant en plein mois de Ramadhan. De cette ville, ils ont marché jusqu'aux portes d'Alger, la capitale, où ils furent stoppés au niveau de Birkhadem par un important dispositif de sécurité. Des affrontements avaient alors opposé les deux parties. Les gardes communaux voulaient organiser un rassemblement devant la présidence de la République et faire ainsi entendre leurs voix. Il semble que presque une année après, les autorités n'ont pas réglé entièrement les problèmes des gardes communaux, d'où ce retour à la protesta. Il en est ainsi de l'affectation des gardes communaux au sein des entreprises publiques. Les engagements des autorités, selon les responsables au sein de la coordination des gardes communaux, n'ont pas été tenus puisque très peu d'entre eux avaient effectivement rejoint les entreprises publiques. En outre, les gardes communaux contestent le classement des salaires et mettent en avant l'inssuffisnace du dispositif de la prise en charge sur le plan social.