La générale de la pièce théâtrale Montserrat, de l'écrivain français Emmanuel Roblès, traduite par Mohamed Ferrah et mise en scène par Djamel Kermi, a été présentée, jeudi soir, par la coopérative culturelle "Port Saïd" d'Alger au théâtre régional de Batna (TRB) où elle a reçu un bel accueil de la part du public. Les férus du 4ème art qui ont rempli la salle du TRB se sont délectés des péripéties de cette pièce et de son personnage principal, Montserrat, un officier espagnol qui rallia les rangs des révolutionnaires vénézuéliens, sous l'occupation espagnole, convaincu de la justesse de leur cause. Le public, charmé par le rythme de la pièce et l'enchaînement des événements, a suivi avec attention le déroulement des événéments qui montrent la résistance de l'officier ibérique face aux multiples formes de torture qu'il subit de la part des Espagnols, sous le commandement du général Izquierdo, et comment ses tortionnaires entendaient lui faire avouer où se cachait Bolivar, le chef des révolutionnaires vénézuéliens, devenu le symbole de la liberté et de la lutte d'un peuple refusant de se soumettre. La représentation a réussi, malgré son caractère classique, à captiver le public grâce au jeu des acteurs qui se sont succédé sur scène, incarnant avec talent les différents personnages de ce chef-d'úuvre de Roblès, traduit dans plusieurs langues et repris depuis sa création en 1948, sur les plus grandes scènes de théâtre dans le monde. Montserrat a été présentée pour la première fois en Algérie dès 1948, au théâtre d'Oran (ville de naissance de Roblès), en présence de l'auteur, connu pour avoir soutenu la cause algérienne. L'artiste Tahar Laâmiri, qui y interpréta le rôle principal de Montserrat, est remonté sur scène à Batna, 65 ans après, pour camper cette fois, à l'âge de 86 ans, le rôle du père Coronil, le moine capucin. Cette pièce est programmée le 6 mars prochain au théâtre national Mahieddine Bachtarzi à Alger. Le choix de la capitale des Aurès, pour la présentation de la générale de cette pièce, a été encouragé par "l'extraordinaire engouement du public batnéen pour les planches", a indiqué le directeur de production, Mohamed Aouadi. "Un public qui s'est déplacé en nombre en dépit des mauvaises conditions climatiques", s'est-il réjoui. La générale de la pièce théâtrale Montserrat, de l'écrivain français Emmanuel Roblès, traduite par Mohamed Ferrah et mise en scène par Djamel Kermi, a été présentée, jeudi soir, par la coopérative culturelle "Port Saïd" d'Alger au théâtre régional de Batna (TRB) où elle a reçu un bel accueil de la part du public. Les férus du 4ème art qui ont rempli la salle du TRB se sont délectés des péripéties de cette pièce et de son personnage principal, Montserrat, un officier espagnol qui rallia les rangs des révolutionnaires vénézuéliens, sous l'occupation espagnole, convaincu de la justesse de leur cause. Le public, charmé par le rythme de la pièce et l'enchaînement des événements, a suivi avec attention le déroulement des événéments qui montrent la résistance de l'officier ibérique face aux multiples formes de torture qu'il subit de la part des Espagnols, sous le commandement du général Izquierdo, et comment ses tortionnaires entendaient lui faire avouer où se cachait Bolivar, le chef des révolutionnaires vénézuéliens, devenu le symbole de la liberté et de la lutte d'un peuple refusant de se soumettre. La représentation a réussi, malgré son caractère classique, à captiver le public grâce au jeu des acteurs qui se sont succédé sur scène, incarnant avec talent les différents personnages de ce chef-d'úuvre de Roblès, traduit dans plusieurs langues et repris depuis sa création en 1948, sur les plus grandes scènes de théâtre dans le monde. Montserrat a été présentée pour la première fois en Algérie dès 1948, au théâtre d'Oran (ville de naissance de Roblès), en présence de l'auteur, connu pour avoir soutenu la cause algérienne. L'artiste Tahar Laâmiri, qui y interpréta le rôle principal de Montserrat, est remonté sur scène à Batna, 65 ans après, pour camper cette fois, à l'âge de 86 ans, le rôle du père Coronil, le moine capucin. Cette pièce est programmée le 6 mars prochain au théâtre national Mahieddine Bachtarzi à Alger. Le choix de la capitale des Aurès, pour la présentation de la générale de cette pièce, a été encouragé par "l'extraordinaire engouement du public batnéen pour les planches", a indiqué le directeur de production, Mohamed Aouadi. "Un public qui s'est déplacé en nombre en dépit des mauvaises conditions climatiques", s'est-il réjoui.
