Les participants à une journée d'études sur "la dynamisation du rôle de la femme dans le domaine politique" ont appelé mardi à Alger à la coordination des efforts de tous les acteurs pour la prise en charge des préoccupations de la femme rurale et son association aux efforts de développement. Lors de cette rencontre organisée par l'APN à l'occasion de la Journée mondiale de la femme célébrée le 8 mars de chaque année, les participants ont souligné que la femme qui a contribué à la lutte contre le colonialisme et qui a fait face avec courage au terrorisme lors de la décennie noire mérite "tout l'intérêt pour l'amélioration de sa situation sociale et économique". Dans ce cadre, la représentante du Conseil de la nation, Leïla Tayeb a salué les sacrifices de la femme rurale durant la guerre de Libération nationale, en dépit de tous les problèmes auxquels elle était confrontée. Leila Tayeb a souligné "l'impératif de prendre en charge les problèmes de la femme rurale, à travers l'amélioration de sa situation sociale et économique, à travers la lutte contre la pauvreté, l'analphabétisme et les mentalités obsolètes". Elle a également rappelé les efforts consentis par les autorités publiques pour la promotion de la femme algérienne et son association aux efforts de développement du pays. Pour sa part, Kamel Rezag Bara, conseiller à la présidence de la République, a mis en exergue les objectifs du troisième millénaire qui soulignent dans leur ensemble la nécessité d'éradiquer la pauvreté, de promouvoir l'enseignement pour les deux sexes et d'améliorer les conditions de santé et socio-économiques pour toutes les franges de la société, en luttant contre le sida, le renforcement de l'égalité et la protection de la maternité et de l'enfance. Dans ce sens, M. Bara a indiqué que la législation algérienne consacre "l'égalité entre les deux sexes et la promotion des droits de la femme, rappelant l'article 31 bis de la constitution renforcée par une loi organique pour consacrer la présence de la femme dans les assemblées élues". M. Bara a ajouté que la promotion du rôle de la femme dans le domaine politique "ne devrait pas se limiter à l'Etat uniquement mais exige l'intérêt de toutes les catégories de la société y compris les partis politiques et la société civile". Pour sa part, la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la condition féminine, Souad Bendjaballah a salué "les résultats positifs réalisés par la femme algérienne dans divers domaines, notamment politique". Elle a en outre rappelé les efforts consentis pour lutter contre "les mentalités obsolètes qui ont empêché la femme d'occuper la place à laquelle elle aspire au sein de la société". Elle a salué notamment le rôle de la femme entrepreneur qui a investi "le domaine de l'investissement économique", soulignant que 10.000 projets féminins ont été enregistrés en 2012 dans le cadre de l'Agence nationale de l'emploi de jeunes (Ansej), au moment où 60 % de femmes ont bénéficié de crédits dans le cadre de l'Agence nationale de gestion du micro-crédit (Angem). Les participants à une journée d'études sur "la dynamisation du rôle de la femme dans le domaine politique" ont appelé mardi à Alger à la coordination des efforts de tous les acteurs pour la prise en charge des préoccupations de la femme rurale et son association aux efforts de développement. Lors de cette rencontre organisée par l'APN à l'occasion de la Journée mondiale de la femme célébrée le 8 mars de chaque année, les participants ont souligné que la femme qui a contribué à la lutte contre le colonialisme et qui a fait face avec courage au terrorisme lors de la décennie noire mérite "tout l'intérêt pour l'amélioration de sa situation sociale et économique". Dans ce cadre, la représentante du Conseil de la nation, Leïla Tayeb a salué les sacrifices de la femme rurale durant la guerre de Libération nationale, en dépit de tous les problèmes auxquels elle était confrontée. Leila Tayeb a souligné "l'impératif de prendre en charge les problèmes de la femme rurale, à travers l'amélioration de sa situation sociale et économique, à travers la lutte contre la pauvreté, l'analphabétisme et les mentalités obsolètes". Elle a également rappelé les efforts consentis par les autorités publiques pour la promotion de la femme algérienne et son association aux efforts de développement du pays. Pour sa part, Kamel Rezag Bara, conseiller à la présidence de la République, a mis en exergue les objectifs du troisième millénaire qui soulignent dans leur ensemble la nécessité d'éradiquer la pauvreté, de promouvoir l'enseignement pour les deux sexes et d'améliorer les conditions de santé et socio-économiques pour toutes les franges de la société, en luttant contre le sida, le renforcement de l'égalité et la protection de la maternité et de l'enfance. Dans ce sens, M. Bara a indiqué que la législation algérienne consacre "l'égalité entre les deux sexes et la promotion des droits de la femme, rappelant l'article 31 bis de la constitution renforcée par une loi organique pour consacrer la présence de la femme dans les assemblées élues". M. Bara a ajouté que la promotion du rôle de la femme dans le domaine politique "ne devrait pas se limiter à l'Etat uniquement mais exige l'intérêt de toutes les catégories de la société y compris les partis politiques et la société civile". Pour sa part, la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la condition féminine, Souad Bendjaballah a salué "les résultats positifs réalisés par la femme algérienne dans divers domaines, notamment politique". Elle a en outre rappelé les efforts consentis pour lutter contre "les mentalités obsolètes qui ont empêché la femme d'occuper la place à laquelle elle aspire au sein de la société". Elle a salué notamment le rôle de la femme entrepreneur qui a investi "le domaine de l'investissement économique", soulignant que 10.000 projets féminins ont été enregistrés en 2012 dans le cadre de l'Agence nationale de l'emploi de jeunes (Ansej), au moment où 60 % de femmes ont bénéficié de crédits dans le cadre de l'Agence nationale de gestion du micro-crédit (Angem).