Le vice-Premier ministre, Uhuru Kenyatta, est, selon le décompte provisoire de vendredi matin, en avance sur les autres candidats à l'élection présidentielle au Kenya. Un peu plus de 9,3 millions de bulletins, sur 14,3 millions d'inscrits, avaient été dépouillés et donnaient 4,7 millions de voix à M. Kenyatta, fils du premier président du pays, soit un peu moins de 700.000 suffrages d'avance sur son adversaire direct, le Premier ministre sortant Raila Odinga. Selon toute vraisemblence, M. Kenyatta pourra même de peu, franchir la barre des 50% des votants, requise pour une victoire au 1er tour, si les résultats du quart des circonscriptions restant suivait la même tendence. Le président de la Commission électorale indépendante (IEBC) Ahmed Issack Hassan a annoncé jeudi être en mesure de donner vendredi le résultat final du scrutin, qui s'est déroulé lundi. Les directeurs de scrutin d'une trentaine de circonscriptions n'étaient toujours pas arrivés au centre de collecte de l'IEBC à Nairobi où ils doivent remettre leurs procès-verbaux. L'IEBC est très critiquée en raison de sa lenteur dans la transmission des résultats, dans un pays marqué par les violences qui ont suivi l'annonce des résultats de la précédente présidentielle fin 2007, sur fond de soupçons de manipulation par la commission électorale de l'époque. M. Kenyatta est inculpé de crimes contre l'Humanité par la Cour pénale internationale pour sa participation présumée à une partie de ces violences. Le vice-Premier ministre, Uhuru Kenyatta, est, selon le décompte provisoire de vendredi matin, en avance sur les autres candidats à l'élection présidentielle au Kenya. Un peu plus de 9,3 millions de bulletins, sur 14,3 millions d'inscrits, avaient été dépouillés et donnaient 4,7 millions de voix à M. Kenyatta, fils du premier président du pays, soit un peu moins de 700.000 suffrages d'avance sur son adversaire direct, le Premier ministre sortant Raila Odinga. Selon toute vraisemblence, M. Kenyatta pourra même de peu, franchir la barre des 50% des votants, requise pour une victoire au 1er tour, si les résultats du quart des circonscriptions restant suivait la même tendence. Le président de la Commission électorale indépendante (IEBC) Ahmed Issack Hassan a annoncé jeudi être en mesure de donner vendredi le résultat final du scrutin, qui s'est déroulé lundi. Les directeurs de scrutin d'une trentaine de circonscriptions n'étaient toujours pas arrivés au centre de collecte de l'IEBC à Nairobi où ils doivent remettre leurs procès-verbaux. L'IEBC est très critiquée en raison de sa lenteur dans la transmission des résultats, dans un pays marqué par les violences qui ont suivi l'annonce des résultats de la précédente présidentielle fin 2007, sur fond de soupçons de manipulation par la commission électorale de l'époque. M. Kenyatta est inculpé de crimes contre l'Humanité par la Cour pénale internationale pour sa participation présumée à une partie de ces violences.