Dans le cadre d'une grosse enquête ouverte par les gendarmes de la Section de recherches de Skikda, sur plusieurs transferts illégaux de fonds vers des pays étrangers survenus dans diverses agences de la BEA (Banque extérieure Algérie), treize cadres de la BEA ainsi que deux soeurs viennent d'êtres interpellés et présentés, hier, devant le parquet de Skikda. Dans le cadre d'une grosse enquête ouverte par les gendarmes de la Section de recherches de Skikda, sur plusieurs transferts illégaux de fonds vers des pays étrangers survenus dans diverses agences de la BEA (Banque extérieure Algérie), treize cadres de la BEA ainsi que deux soeurs viennent d'êtres interpellés et présentés, hier, devant le parquet de Skikda. Les affaires de détournements et les scandales financiers ont défié, ces derniers jours, la chronique. Après le scandale de Sonatrach 2 et celui de la CNAN voilà le tour de la BEA (Banque extérieure d‘Algérie) de connaître le même scénario. En effet, un communiqué de la Gendarmerie nationale vient d‘annoncer l‘arrestation de 13 cadres de plusieurs agences relevant de la BEA, notamment des directeurs et des chefs de service pour des transferts illégaux d‘importantes sommes d‘argent vers l‘étranger. Le même communiqué ajoute que deux soeurs impliquées aussi dans cette affaire ont été à leur tour interpellées. Des arrestations à la pelle que les gendarmes de la Section de recherches de la Gendarmerie nationale de Skikda ont menées, durant plusieurs jours, à travers plusieurs agences de la BEA à l‘est du pays. On parle ici des agences situées à El Khroub (Constantine), Skikda et Annaba, dont les directeurs ont été arrêtés pour plusieurs chefs d‘inculpation, parmi lesquels, transfert de capitaux vers l‘étranger, faux et usage de faux, transfert illégal d‘argent, blanchiment d‘argent, abus de fonction, etc..., Des des sommes d‘argent dont il est impossible de situer le montant ont été détournées par ces banquiers. Il s‘agit donc d‘une grosse affaire reliée à plusieurs transferts illégaux de sommes d‘argent vers des pays étrangers enregistrés dans plusieurs agences de la BEA. Selon le communiqué de la cellule de communication de la Gendarmerie nationale, les quinze accusés, dont les 13 cadres de la Banque extérieure d‘Algérie ainsi que deux autres femmes (des soeurs) ont été arrêtés suite à une longue enquête menée par les éléments de la brigade de recherches de la GN de Skikda. Les quinze accusés dont des directeurs de plusieurs agences sont poursuivis pour blanchiment d‘argent et concomitance, fausse déclaration en matière de réglementation des changes et tranfert de capitaux, faux et usage de faux en écriture bancaire, violation des procédures en matière de change et mouvements de capitaux de et vers l‘étranger et abus de fonction. Cela dit, les 15 inculpés avaient transféré des sommes d‘argent en devises vers des banques étrangères sans aucune légalité. Ils y ont procédé avec l‘ouverture de plusieurs comptes bancaires sous leurs noms. Dans l‘agence de la BEA d‘Annaba tout comme celles d‘El Khroub ou Skikda, les directeurs ainsi que des cadres ont été arrêtés pour blanchiment d‘argent, transferts de capitaux et abus de fonction. Des montants qui restent inconnus mais l‘enquête permettra dans les jours qui viennent de faire la lumière sur ces aspects. Dix des mis en cause, dont les deux soeurs, ont été placés sous contrôle judiciaire et les autres ont été remis en liberté provisoire, conclut le communiqué de la Gendarmerie n:ationale. Affaire à suivre. Les affaires de détournements et les scandales financiers ont défié, ces derniers jours, la chronique. Après le scandale de Sonatrach 2 et celui de la CNAN voilà le tour de la BEA (Banque extérieure d‘Algérie) de connaître le même scénario. En effet, un communiqué de la Gendarmerie nationale vient d‘annoncer l‘arrestation de 13 cadres de plusieurs agences relevant de la BEA, notamment des directeurs et des chefs de service pour des transferts illégaux d‘importantes sommes d‘argent vers l‘étranger. Le même communiqué ajoute que deux soeurs impliquées aussi dans cette affaire ont été à leur tour interpellées. Des arrestations à la pelle que les gendarmes de la Section de recherches de la Gendarmerie nationale de Skikda ont menées, durant plusieurs jours, à travers plusieurs agences de la BEA à l‘est du pays. On parle ici des agences situées à El Khroub (Constantine), Skikda et Annaba, dont les directeurs ont été arrêtés pour plusieurs chefs d‘inculpation, parmi lesquels, transfert de capitaux vers l‘étranger, faux et usage de faux, transfert illégal d‘argent, blanchiment d‘argent, abus de fonction, etc..., Des des sommes d‘argent dont il est impossible de situer le montant ont été détournées par ces banquiers. Il s‘agit donc d‘une grosse affaire reliée à plusieurs transferts illégaux de sommes d‘argent vers des pays étrangers enregistrés dans plusieurs agences de la BEA. Selon le communiqué de la cellule de communication de la Gendarmerie nationale, les quinze accusés, dont les 13 cadres de la Banque extérieure d‘Algérie ainsi que deux autres femmes (des soeurs) ont été arrêtés suite à une longue enquête menée par les éléments de la brigade de recherches de la GN de Skikda. Les quinze accusés dont des directeurs de plusieurs agences sont poursuivis pour blanchiment d‘argent et concomitance, fausse déclaration en matière de réglementation des changes et tranfert de capitaux, faux et usage de faux en écriture bancaire, violation des procédures en matière de change et mouvements de capitaux de et vers l‘étranger et abus de fonction. Cela dit, les 15 inculpés avaient transféré des sommes d‘argent en devises vers des banques étrangères sans aucune légalité. Ils y ont procédé avec l‘ouverture de plusieurs comptes bancaires sous leurs noms. Dans l‘agence de la BEA d‘Annaba tout comme celles d‘El Khroub ou Skikda, les directeurs ainsi que des cadres ont été arrêtés pour blanchiment d‘argent, transferts de capitaux et abus de fonction. Des montants qui restent inconnus mais l‘enquête permettra dans les jours qui viennent de faire la lumière sur ces aspects. Dix des mis en cause, dont les deux soeurs, ont été placés sous contrôle judiciaire et les autres ont été remis en liberté provisoire, conclut le communiqué de la Gendarmerie n:ationale. Affaire à suivre.