Il est malheureux d'annoncer la nouvelle de la mort des deux enfants disparu le samedi dernier à Constantine. Ibrahim Hachiche (9 ans) et Haroun Boudaira (10 ans), deux bouts chou qui allongent la liste des enfants disparus et assassiné. D'après une source policière, Ibrahim et Haroun ont été retrouvé morts à proximité d'une unité de voisinage N°17. Une enquête est encours pour déterminer les circonstances de ce drame qui a jeté un profond émoi dans toute la région. Néanmoins à travers la toile, plusieurs sites d'informations annonce que les deux enfants «ont été retrouvés égorgés et leurs corps, enveloppés dans un sac de poubelles, gisaient dans la cave d'un immeuble voisin ». Pour trouver le commanditaire du double crime, les enquêteurs privilégie la piste d'un homme étranger à la cité qui aurai été aperçu par des témoins oculaires en compagnie des deux bambins. Que faut-il faire face à ce phénomène de kidnapping qui ne cesse de prendre de l'ampleur ? L'année 2012 a été celle durant laquelle le nombre de cas enregistré est le plus élevé avec 42 enlèvements d'enfants, comparativement aux années 2010 et 2011 où il a été dénombré respectivement 35 et 33 cas. Pour le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), Mustapha Khiati, la peine de mort doit « être appliquée» dans les cas d'enlèvements, d'agressions sexuelles et d'assassinats d'enfants, « Nous sommes parmi les gens qui disent qu'en cas d'enlèvements d'enfants suivis d'agressions sexuelles et d'assassinats, la peine de mort doit être rétablie, car dans ce genre de situations, c'est la société qui est ébranlée et ce sont ses fondements qui sont touchés ». Redoutant la récidive de ces criminels, M. Khiati avait déclaré a mainet reprise qu'« Il faut une mobilisation et un renouvèlement des moyens juridiques, il faut des structures juridiques adaptées pour la prise en charge des enfants victimes de maltraitance. Quelque part il y a défaillance, il existe très peu de centres spécialisées et le personnel n'est pas suffisamment formé pour ne pas dire pas formé du tout ». Il est malheureux d'annoncer la nouvelle de la mort des deux enfants disparu le samedi dernier à Constantine. Ibrahim Hachiche (9 ans) et Haroun Boudaira (10 ans), deux bouts chou qui allongent la liste des enfants disparus et assassiné. D'après une source policière, Ibrahim et Haroun ont été retrouvé morts à proximité d'une unité de voisinage N°17. Une enquête est encours pour déterminer les circonstances de ce drame qui a jeté un profond émoi dans toute la région. Néanmoins à travers la toile, plusieurs sites d'informations annonce que les deux enfants «ont été retrouvés égorgés et leurs corps, enveloppés dans un sac de poubelles, gisaient dans la cave d'un immeuble voisin ». Pour trouver le commanditaire du double crime, les enquêteurs privilégie la piste d'un homme étranger à la cité qui aurai été aperçu par des témoins oculaires en compagnie des deux bambins. Que faut-il faire face à ce phénomène de kidnapping qui ne cesse de prendre de l'ampleur ? L'année 2012 a été celle durant laquelle le nombre de cas enregistré est le plus élevé avec 42 enlèvements d'enfants, comparativement aux années 2010 et 2011 où il a été dénombré respectivement 35 et 33 cas. Pour le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), Mustapha Khiati, la peine de mort doit « être appliquée» dans les cas d'enlèvements, d'agressions sexuelles et d'assassinats d'enfants, « Nous sommes parmi les gens qui disent qu'en cas d'enlèvements d'enfants suivis d'agressions sexuelles et d'assassinats, la peine de mort doit être rétablie, car dans ce genre de situations, c'est la société qui est ébranlée et ce sont ses fondements qui sont touchés ». Redoutant la récidive de ces criminels, M. Khiati avait déclaré a mainet reprise qu'« Il faut une mobilisation et un renouvèlement des moyens juridiques, il faut des structures juridiques adaptées pour la prise en charge des enfants victimes de maltraitance. Quelque part il y a défaillance, il existe très peu de centres spécialisées et le personnel n'est pas suffisamment formé pour ne pas dire pas formé du tout ».