L'ancien attaquant international algérien Cherif Oudjani a estimé que Vahid Halilhodzic était l'entraîneur qu'il fallait pour les Verts, indiquant qu'il n'assumait pas la responsabilité de l'échec de la sélection nationale lors de la Coupe d'Afrique (CAN-2013) vu le niveau actuel du football algérien. "Je connais assez bien Halilhodzic pour avoir joué sous sa coupe à Beauvais au début des années 1990. C'est quelqu'un qui maîtrise parfaitement son sujet et je suis persuadé que les responsables du football algérien ont fait le bon choix en le nommant à la tête de la sélection nationale", a déclaré Oudjani dans un entretien à l'APS. Le buteur de la finale de la CAN-1990, rencontré au stade Zabana d'Oran en marge du Championnat d'Afrique des moins de 20 ans qui se poursuit actuellement dans l'ouest algérien, a ajouté que les Verts n'étaient jamais favoris pour le titre africain au cours du précédent rendez-vous continental en Afrique du Sud, et du coup, il n'y avait pas de raison pour pointer un doigt accusateur vers l'entraîneur. "Ce n'était que dans les têtes de certains joueurs et journalistes que l'Algérie était partie pour décrocher le sacre. La réalité du terrain est toute autre dans la mesure où notre sélection ne parvient pas à relever la tête de l'eau depuis plusieurs années déjà", a-t-il poursuivi. Pour celui qui a offert le seul titre continental à l'Algérie, l'entraîneur bosnien a réussi quand même à redonner une âme aux Verts, rappelant que ses résultats avant la CAN étaient très encourageants. "A présent, il faut le laisser travailler. Le parcours négatif de l'équipe en Afrique du Sud ne devrait pas le décourager. On a une belle chance pour renouer avec le succès en recevant le Bénin ce mardi (éliminatoires du Mondial, ndlr), dans un match où le faux pas est désormais interdit." L'ancien attaquant international algérien Cherif Oudjani a estimé que Vahid Halilhodzic était l'entraîneur qu'il fallait pour les Verts, indiquant qu'il n'assumait pas la responsabilité de l'échec de la sélection nationale lors de la Coupe d'Afrique (CAN-2013) vu le niveau actuel du football algérien. "Je connais assez bien Halilhodzic pour avoir joué sous sa coupe à Beauvais au début des années 1990. C'est quelqu'un qui maîtrise parfaitement son sujet et je suis persuadé que les responsables du football algérien ont fait le bon choix en le nommant à la tête de la sélection nationale", a déclaré Oudjani dans un entretien à l'APS. Le buteur de la finale de la CAN-1990, rencontré au stade Zabana d'Oran en marge du Championnat d'Afrique des moins de 20 ans qui se poursuit actuellement dans l'ouest algérien, a ajouté que les Verts n'étaient jamais favoris pour le titre africain au cours du précédent rendez-vous continental en Afrique du Sud, et du coup, il n'y avait pas de raison pour pointer un doigt accusateur vers l'entraîneur. "Ce n'était que dans les têtes de certains joueurs et journalistes que l'Algérie était partie pour décrocher le sacre. La réalité du terrain est toute autre dans la mesure où notre sélection ne parvient pas à relever la tête de l'eau depuis plusieurs années déjà", a-t-il poursuivi. Pour celui qui a offert le seul titre continental à l'Algérie, l'entraîneur bosnien a réussi quand même à redonner une âme aux Verts, rappelant que ses résultats avant la CAN étaient très encourageants. "A présent, il faut le laisser travailler. Le parcours négatif de l'équipe en Afrique du Sud ne devrait pas le décourager. On a une belle chance pour renouer avec le succès en recevant le Bénin ce mardi (éliminatoires du Mondial, ndlr), dans un match où le faux pas est désormais interdit."