Israël a bombardé la Syrie pour la deuxième fois en l'espace de quelques jours, menant à l'aube une série de frappes aériennes sur Damas. Une source appartenant au monde du renseignement occidental est à l'origine de l'information, Israël refusant pour sa part de confirmer. Israël a bombardé la Syrie pour la deuxième fois en l'espace de quelques jours, menant à l'aube une série de frappes aériennes sur Damas. Une source appartenant au monde du renseignement occidental est à l'origine de l'information, Israël refusant pour sa part de confirmer. L'Iran, tout comme l'Algérie ont condamné l'opération. Les médias syriens ont identifié le site bombardé par Israël comme étant le centre de recherches militaires de Jamraya, situé au nord de la capitale, Damas, celui-là même que les avions de Tsahal avaient frappé une première fois le 30 janvier. Jamraya, n'est qu'à 15 km de la frontière libanaise.Vendredi, Israël avait bombardé un entrepôt de l'aéroport de Damas censé abriter des missiles sol-sol Fateh-110 fabriqués en Iran, a indiqué le New York Times. Dimanche, des riverains du centre de Jamraya ont parlé d'explosions pendant plusieurs heures dans divers endroits près de Damas. "Il faisait jour en pleine nuit", a témoigné un homme. Les médias d'Etat syriens ont accusé Israël d'avoir attaqué en réponse aux récents succès des forces fidèles au président syrien Bachar al Assad contre les rebelles qui cherchent à renverser Bachar Al Assad depuis deux ans. Le nouveau raid israélien intervient alors que les Etats-unis s'interrogent sur l'utilisation d'armes chimiques par le pouvoir syrien et sur un soutien plus affirmé aux rebelles. Les Occidentaux ne voient toutefois pas d'un bon œil la présence de combattants islamistes anti-Occidentaux parmi les rebelles. Lors d'une apparition en public dimanche, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, n'a pas fait allusion aux derniers raids mais a évoqué avec insistance sa responsabilité quant à la protection de l'avenir d'Israël. Benjamin Netanyahu a maintenu son projet de déplacement en Chine - il doit s'envoler pour Pékin dans la journée -, ce qui semble montrer qu'il ne s'attend pas à d'importantes représailles de la part du président Assad. De source militaire israélienne, on indique toutefois que l'armée a déployé ces derniers jours des systèmes de défense antimissile supplémentaire près de la frontière Nord. L'Iran, tout comme l'Algérie ont condamné l'opération. Les médias syriens ont identifié le site bombardé par Israël comme étant le centre de recherches militaires de Jamraya, situé au nord de la capitale, Damas, celui-là même que les avions de Tsahal avaient frappé une première fois le 30 janvier. Jamraya, n'est qu'à 15 km de la frontière libanaise.Vendredi, Israël avait bombardé un entrepôt de l'aéroport de Damas censé abriter des missiles sol-sol Fateh-110 fabriqués en Iran, a indiqué le New York Times. Dimanche, des riverains du centre de Jamraya ont parlé d'explosions pendant plusieurs heures dans divers endroits près de Damas. "Il faisait jour en pleine nuit", a témoigné un homme. Les médias d'Etat syriens ont accusé Israël d'avoir attaqué en réponse aux récents succès des forces fidèles au président syrien Bachar al Assad contre les rebelles qui cherchent à renverser Bachar Al Assad depuis deux ans. Le nouveau raid israélien intervient alors que les Etats-unis s'interrogent sur l'utilisation d'armes chimiques par le pouvoir syrien et sur un soutien plus affirmé aux rebelles. Les Occidentaux ne voient toutefois pas d'un bon œil la présence de combattants islamistes anti-Occidentaux parmi les rebelles. Lors d'une apparition en public dimanche, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, n'a pas fait allusion aux derniers raids mais a évoqué avec insistance sa responsabilité quant à la protection de l'avenir d'Israël. Benjamin Netanyahu a maintenu son projet de déplacement en Chine - il doit s'envoler pour Pékin dans la journée -, ce qui semble montrer qu'il ne s'attend pas à d'importantes représailles de la part du président Assad. De source militaire israélienne, on indique toutefois que l'armée a déployé ces derniers jours des systèmes de défense antimissile supplémentaire près de la frontière Nord.