Entre un FLN qui s'illustre par ses guerres intestines et un RND plongé dans la léthargie, l'Alliance présidentielle se trouve en mode veille à un moment où les deux formations devraient se serrer les coudes pour soutenir les réformes politiques... Entre un FLN qui s'illustre par ses guerres intestines et un RND plongé dans la léthargie, l'Alliance présidentielle se trouve en mode veille à un moment où les deux formations devraient se serrer les coudes pour soutenir les réformes politiques... La guerre des clans au FLN s'éternise. Les redresseurs, qui ont fini par avoir la peau de Belkhadem, sont revenus à la case départ. Il n'y a toujours pas de consensus pour dégager un nom pour prendre les rênes du parti. Des noms sont avancés et à chacun d'eux, une frange de la composante du comité central crie au scandale. L'actuel coordinateur, Abderramane Belayat, a toutes les peines du monde à arbitrer un combat de gladiateurs dans l'arène FLN. Trois mois se sont écoulés depuis qu'Abdelaziz Belkhadem l'ex-SG a été « déposé » et le plus vieux parti n'a toujours pas de guide. L'absence du chef de l'Etat, parti à l'étranger pour une convalescence, président du parti de surcroît, ne l'oublions pas, n'arrange pas les affaires, et quand bien même certains exigent la tenue de la session du comité central, ses membres sont tenus, malgré tout à davantage de déférence vis-à-vis du président Boutelika. Entre-temps, on palabre pour se convaincre que le FLN n'est pas mort avec l'outrecuidance de disserter sur la révision de la Constitution et que soit institué un poste de vice-président « pour maintenir la continuité constitutionnelle et la stabilité de l'Etat en cas d'empêchement ou vacance du poste de la présidence ». Suivez mon regard ! Une autre pointure politique, le RND, fait face aux mêmes écueils. Le RND traverse des remous tout autant que son aîné, et l'ex-secrétaire général, Ahmed Ouyahia a, lui aussi, rendu son tablier laissant le parti naviguer à vue jusqu'au 20 juin prochain, date à laquelle le capitaine du bateau, Abdelkader Bensalah, devrait tenir la session extraordinaire du conseil national, In ch'Allah ! Pour l'heure, entre un FLN qui s'illustre par ses guerres intestines et un RND plongé dans la léthargie, l'Alliance présidentielle se trouve en mode veille à un moment où ces deux grandes formations devraient se serrer les coudes pour soutenir les réformes politiques initiées par le président de la République. Mais les batailles de leadership n'entendent point la voix de la raison. Quel dommage ! La guerre des clans au FLN s'éternise. Les redresseurs, qui ont fini par avoir la peau de Belkhadem, sont revenus à la case départ. Il n'y a toujours pas de consensus pour dégager un nom pour prendre les rênes du parti. Des noms sont avancés et à chacun d'eux, une frange de la composante du comité central crie au scandale. L'actuel coordinateur, Abderramane Belayat, a toutes les peines du monde à arbitrer un combat de gladiateurs dans l'arène FLN. Trois mois se sont écoulés depuis qu'Abdelaziz Belkhadem l'ex-SG a été « déposé » et le plus vieux parti n'a toujours pas de guide. L'absence du chef de l'Etat, parti à l'étranger pour une convalescence, président du parti de surcroît, ne l'oublions pas, n'arrange pas les affaires, et quand bien même certains exigent la tenue de la session du comité central, ses membres sont tenus, malgré tout à davantage de déférence vis-à-vis du président Boutelika. Entre-temps, on palabre pour se convaincre que le FLN n'est pas mort avec l'outrecuidance de disserter sur la révision de la Constitution et que soit institué un poste de vice-président « pour maintenir la continuité constitutionnelle et la stabilité de l'Etat en cas d'empêchement ou vacance du poste de la présidence ». Suivez mon regard ! Une autre pointure politique, le RND, fait face aux mêmes écueils. Le RND traverse des remous tout autant que son aîné, et l'ex-secrétaire général, Ahmed Ouyahia a, lui aussi, rendu son tablier laissant le parti naviguer à vue jusqu'au 20 juin prochain, date à laquelle le capitaine du bateau, Abdelkader Bensalah, devrait tenir la session extraordinaire du conseil national, In ch'Allah ! Pour l'heure, entre un FLN qui s'illustre par ses guerres intestines et un RND plongé dans la léthargie, l'Alliance présidentielle se trouve en mode veille à un moment où ces deux grandes formations devraient se serrer les coudes pour soutenir les réformes politiques initiées par le président de la République. Mais les batailles de leadership n'entendent point la voix de la raison. Quel dommage !