Plusieurs vieilles constructions ont été démolies ces derniers jours et ce, dans le cadre d'un plan visant à rénover et à embellir l'ancien centre-ville de Bouira. Plusieurs vieilles constructions ont été démolies ces derniers jours et ce, dans le cadre d'un plan visant à rénover et à embellir l'ancien centre-ville de Bouira. Le vieux bâti, qui continue de ternir l'image de l'ancien centre-ville de Bouira, est visé par une vaste opération d'éradication, a indiqué, dimanche dernier, le président de l'Assemblée populaire communale (APC), Oulmi Hakim. Plusieurs vieilles constructions ont été démolies ces derniers jours et ce, dans le cadre d'un plan visant à rénover et à embellir l'ancien centre-ville de Bouira, a fait savoir le premier responsable de la municipalité. "Cette opération est confrontée à des oppositions de certains propriétaires qui freinent son déroulement, en refusant qu'on détruise leurs constructions qui font l'objet de litiges d'héritage", a signalé M. Oulmi. Ce dernier a relevé, à cet égard, que "les autorités ne peuvent pas forcer ces propriétaires à rénover leurs anciennes maisons", observant que celles-ci "interviennent surtout pour sensibiliser davantage sur l'importance de cette opération afin de convaincre les récalcitrants", rapporte l'APS. S'agissant des terrains relevant de l'Etat, "nous les avons récupérés pour construire des édifices publics modernes afin de donner un autre visage à la ville", a-t-il indiqué. Prise en charge par la daïra de Bouira, cette opération est inscrite depuis 2008. Elle concerne essentiellement la démolition de plus d'une dizaine d'anciens haouchs et autres vieilles constructions, dont plusieurs menacent ruine, selon M. Oulmi. L'ancien centre-ville de Bouira est connu pour la vétusté de son tissu urbain, constitué, notamment, de cités construites durant la période coloniale. A l'Indépendance, toutes ces cités ont été occupées par des populations, venues pour certaines du monde rural et pour d'autres des régions limitrophes. L'extension urbaine, effectuée par la suite à travers les programmes et projets décidés par les pouvoirs publics, a donné lieu à un développement anarchique de l'urbanisation de la ville. Cette extension tentaculaire apparaît, aujourd'hui, en parfaite désharmonie avec les constructions périphériques et enlaidit le visage de la ville. Cette situation a soulevé, ces dernières années, un vrai débat au niveau des collectivités locales et des autorités de la wilaya qui, tout en voulant améliorer le cadre de vie des citoyens, se sont tracées l'objectif de mettre fin aux habitations précaires et autres bidonvilles qui enlaidissent l'environnement et le tissu urbain. Le vieux bâti, qui continue de ternir l'image de l'ancien centre-ville de Bouira, est visé par une vaste opération d'éradication, a indiqué, dimanche dernier, le président de l'Assemblée populaire communale (APC), Oulmi Hakim. Plusieurs vieilles constructions ont été démolies ces derniers jours et ce, dans le cadre d'un plan visant à rénover et à embellir l'ancien centre-ville de Bouira, a fait savoir le premier responsable de la municipalité. "Cette opération est confrontée à des oppositions de certains propriétaires qui freinent son déroulement, en refusant qu'on détruise leurs constructions qui font l'objet de litiges d'héritage", a signalé M. Oulmi. Ce dernier a relevé, à cet égard, que "les autorités ne peuvent pas forcer ces propriétaires à rénover leurs anciennes maisons", observant que celles-ci "interviennent surtout pour sensibiliser davantage sur l'importance de cette opération afin de convaincre les récalcitrants", rapporte l'APS. S'agissant des terrains relevant de l'Etat, "nous les avons récupérés pour construire des édifices publics modernes afin de donner un autre visage à la ville", a-t-il indiqué. Prise en charge par la daïra de Bouira, cette opération est inscrite depuis 2008. Elle concerne essentiellement la démolition de plus d'une dizaine d'anciens haouchs et autres vieilles constructions, dont plusieurs menacent ruine, selon M. Oulmi. L'ancien centre-ville de Bouira est connu pour la vétusté de son tissu urbain, constitué, notamment, de cités construites durant la période coloniale. A l'Indépendance, toutes ces cités ont été occupées par des populations, venues pour certaines du monde rural et pour d'autres des régions limitrophes. L'extension urbaine, effectuée par la suite à travers les programmes et projets décidés par les pouvoirs publics, a donné lieu à un développement anarchique de l'urbanisation de la ville. Cette extension tentaculaire apparaît, aujourd'hui, en parfaite désharmonie avec les constructions périphériques et enlaidit le visage de la ville. Cette situation a soulevé, ces dernières années, un vrai débat au niveau des collectivités locales et des autorités de la wilaya qui, tout en voulant améliorer le cadre de vie des citoyens, se sont tracées l'objectif de mettre fin aux habitations précaires et autres bidonvilles qui enlaidissent l'environnement et le tissu urbain.