Amnesty international a présenté jeudi dernier son rapport sur la situation des droits de l'Homme qui n'a ni fait de bond qualitatif ni reculé. Amnesty international a présenté jeudi dernier son rapport sur la situation des droits de l'Homme qui n'a ni fait de bond qualitatif ni reculé. Pour le président d'Amnesty international Algérie, Ali Yemloul, la situation est est « stable » comparativement aux années précédentes où l'Algérie s'est faite épinglée en soulevant le courroux des autorités algériennes. Le rapport mentionne qu'il reste des dépassements lors des rassemblements pacifiques, les forces de sécurité ont eu recours à une force excessive pour disperser certaines manifestations et réprimer des émeutes notamment dans le sud du pays rapporte un quotidien national dans son édition d'hier. Interdit d'organiser des sit in alors que l'Etat d'urgence a été levé en 2012 et autorise de facto tous les rassemblements. Des restrictions sévères sont maintenues sur la liberté d'expression, dans la liberté de constitution d'associations, cette dernière aujourd'hui est soumise à un régime d'autorisation préalable en remplacement du régime déclaratif qui sont manifestement contraires à l'esprit et à la lettre du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, ratifié par l'Algérie le 12 septembre 1989, Amnesty international préconise que ses dispositions de loi soient abandonnées. Ali Yemloul a fait savoir que des contacts ont été initiés avec les associations ans le cadre d'une « action de partenariat et d'aide » pour prendre en charge toutes les revendications qui ont trait aux droits de l'Homme. Il a également rencontré Farouk Ksentini président de la Commission consultative pour la promotion et la protection des droits de l'homme pour travailler ensemble. Farouk Ksentini avait soulevé auparavant qu'il fallait apporter des solutionsaux problèmes des populations en matière de droits sociaux et insisté sur la détention provisoire observant que celle-ci dérape vers une détention préventive dont on use et abuse. L'Algérie a ratifié le traité interdisant le commerce illégal des armes, un bon point pour notre pays qui connaît à ses dépends le revers de la médaille, j'ai nommé le terrorisme et le crime transnational. Un autre bon point est à inscrire au compte de l'Algérie, c'est la bonne représentation des femmes dans les assemblées élues, des discriminations à l'égard des femmes ont la dent dure et la violence à leur égard ne connaît pas encore d'arsenal juridique répressif pour atténuer le fléau. Les cas de tortures ont été signalés à l'organisation. Des informations qu'elle n'a pu vérifier et n'a donc pas rendu son rapport à ce sujet. La question de la peine de mort a aussi été évoqué par le président d'Amnesty international Algérie qui « va dans le sens de préserver et de défendre le droit à la vie ».Une position qui sera sans doute difficile de maintenir avec certaines situations de rapts d'enfants suivis de crimes et qui ont fait resurgir le débat sur la peine de mort. Cette dernière en Algérie n'est pas abolie mais elle n'est plus appliquée, la dernière condamnation remonte à 1993 et près de 700 prisonniers sont dans les couloirs de la mort . Pour le président d'Amnesty international Algérie, Ali Yemloul, la situation est est « stable » comparativement aux années précédentes où l'Algérie s'est faite épinglée en soulevant le courroux des autorités algériennes. Le rapport mentionne qu'il reste des dépassements lors des rassemblements pacifiques, les forces de sécurité ont eu recours à une force excessive pour disperser certaines manifestations et réprimer des émeutes notamment dans le sud du pays rapporte un quotidien national dans son édition d'hier. Interdit d'organiser des sit in alors que l'Etat d'urgence a été levé en 2012 et autorise de facto tous les rassemblements. Des restrictions sévères sont maintenues sur la liberté d'expression, dans la liberté de constitution d'associations, cette dernière aujourd'hui est soumise à un régime d'autorisation préalable en remplacement du régime déclaratif qui sont manifestement contraires à l'esprit et à la lettre du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, ratifié par l'Algérie le 12 septembre 1989, Amnesty international préconise que ses dispositions de loi soient abandonnées. Ali Yemloul a fait savoir que des contacts ont été initiés avec les associations ans le cadre d'une « action de partenariat et d'aide » pour prendre en charge toutes les revendications qui ont trait aux droits de l'Homme. Il a également rencontré Farouk Ksentini président de la Commission consultative pour la promotion et la protection des droits de l'homme pour travailler ensemble. Farouk Ksentini avait soulevé auparavant qu'il fallait apporter des solutionsaux problèmes des populations en matière de droits sociaux et insisté sur la détention provisoire observant que celle-ci dérape vers une détention préventive dont on use et abuse. L'Algérie a ratifié le traité interdisant le commerce illégal des armes, un bon point pour notre pays qui connaît à ses dépends le revers de la médaille, j'ai nommé le terrorisme et le crime transnational. Un autre bon point est à inscrire au compte de l'Algérie, c'est la bonne représentation des femmes dans les assemblées élues, des discriminations à l'égard des femmes ont la dent dure et la violence à leur égard ne connaît pas encore d'arsenal juridique répressif pour atténuer le fléau. Les cas de tortures ont été signalés à l'organisation. Des informations qu'elle n'a pu vérifier et n'a donc pas rendu son rapport à ce sujet. La question de la peine de mort a aussi été évoqué par le président d'Amnesty international Algérie qui « va dans le sens de préserver et de défendre le droit à la vie ».Une position qui sera sans doute difficile de maintenir avec certaines situations de rapts d'enfants suivis de crimes et qui ont fait resurgir le débat sur la peine de mort. Cette dernière en Algérie n'est pas abolie mais elle n'est plus appliquée, la dernière condamnation remonte à 1993 et près de 700 prisonniers sont dans les couloirs de la mort .