Le MSP appelle la classe politique à prendre ses responsabilités face aux multiples défis auxquels fait face le pays. Le MSP appelle la classe politique à prendre ses responsabilités face aux multiples défis auxquels fait face le pays. L'appel émane de la haute institution du mouvement, à savoir le conseil consultatif, qui a tenu, avant-hier vendredi, sa première session ordinaire après le 5e congres du mois de mai dernier. D'ailleurs le nouveau président du MSP, Abderrazak Mokri, a abondé dans cette même optique en plaidant, lui aussi, en faveur de la nécessité de l'implication de la classe politique en vue de trouver les solutions idoines. A ce titre il a annoncé, hier lors d'une conférence de presse tenue au siège du mouvement, l'entame d'une série de consultations avec les partis politiques. Le successeur d'Aboufdjerra Soltani a en effet déjà pris langue avec de nombreux leaders politiques, à l'exemple de Abdelmadjid Menasra, le président du front du changement, et Abdallah Djaballah, le président du front pour la justice et le développement. Le MSP, qui a quitté il y'a quelques mois l'Alliance présidentielle et a retiré ses ministres du gouvernement, est en quête d'un nouveau rôle sur la scène politique nationale, ce d'autant qu'il est désormais passé dans le camp de l'opposition. Dans le communiqué sanctionnant les travaux de sa session ordinaire le conseil consultatif du MSP lance une invite à toutes les forces nationales a initier le plus large débat possible sur la question de la révision de la Constitution. Cette dernière question est au centre de l'intérêt de l'ensemble des Algériens, même si elle a été quelque peu reléguée au second plan ces derniers jours par une autre question non moins importante, celle relative à la maladie du président de la République et ses implications sur les prochaines élections présidentielles, prévues au printemps de l'année 2014. Une grande partie de la classe politique conteste la démarche du pouvoir s'agissant de la révision de la Constitution pour laquelle, rappelons-le, une commission d'experts a déjà été installée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en avril dernier. A propos de la maladie du président de la République, qui a été hospitalisé le 27 avril dernier à l'hôpital militaire français de Val-de-Grâce, à Paris, Abderrazak Mokri appelle les autorités algériennes à agir dans la transparence et tenir informer le peuple algérien sur l'état de santé du chef de l'Etat. « la manière de faire est une humiliation pour le peuple algérien » a estimé le président du MSP ajoutant « la meilleure preuve reste la déclaration du président français, François Hollande » . Ce dernier a déclaré, avant-hier, que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, poursuit sa convalescence dans l'établissement des Invalides à Paris, lui souhaitant de revenir « le plus vite possible dans son pays ». Par ailleurs le conseil consultatif a appelé le gouvernement à « redynamiser » les lois relatives aux crimes économiques et à la lutte contre la corruption. Deux fléaux que le MSP considère comme dangereux sur la sécurité nationale. Cela dit le conseil consultatif a entériné le choix du président du parti concernant la composante du nouveau bureau national. A vrai dire Abderrazak Mokri a préservé la majorité des membres de l'ancien bureau national qui a travaillé avec l'ex président Bouguerra Soltani, privilégiant ainsi la continuité. L'appel émane de la haute institution du mouvement, à savoir le conseil consultatif, qui a tenu, avant-hier vendredi, sa première session ordinaire après le 5e congres du mois de mai dernier. D'ailleurs le nouveau président du MSP, Abderrazak Mokri, a abondé dans cette même optique en plaidant, lui aussi, en faveur de la nécessité de l'implication de la classe politique en vue de trouver les solutions idoines. A ce titre il a annoncé, hier lors d'une conférence de presse tenue au siège du mouvement, l'entame d'une série de consultations avec les partis politiques. Le successeur d'Aboufdjerra Soltani a en effet déjà pris langue avec de nombreux leaders politiques, à l'exemple de Abdelmadjid Menasra, le président du front du changement, et Abdallah Djaballah, le président du front pour la justice et le développement. Le MSP, qui a quitté il y'a quelques mois l'Alliance présidentielle et a retiré ses ministres du gouvernement, est en quête d'un nouveau rôle sur la scène politique nationale, ce d'autant qu'il est désormais passé dans le camp de l'opposition. Dans le communiqué sanctionnant les travaux de sa session ordinaire le conseil consultatif du MSP lance une invite à toutes les forces nationales a initier le plus large débat possible sur la question de la révision de la Constitution. Cette dernière question est au centre de l'intérêt de l'ensemble des Algériens, même si elle a été quelque peu reléguée au second plan ces derniers jours par une autre question non moins importante, celle relative à la maladie du président de la République et ses implications sur les prochaines élections présidentielles, prévues au printemps de l'année 2014. Une grande partie de la classe politique conteste la démarche du pouvoir s'agissant de la révision de la Constitution pour laquelle, rappelons-le, une commission d'experts a déjà été installée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en avril dernier. A propos de la maladie du président de la République, qui a été hospitalisé le 27 avril dernier à l'hôpital militaire français de Val-de-Grâce, à Paris, Abderrazak Mokri appelle les autorités algériennes à agir dans la transparence et tenir informer le peuple algérien sur l'état de santé du chef de l'Etat. « la manière de faire est une humiliation pour le peuple algérien » a estimé le président du MSP ajoutant « la meilleure preuve reste la déclaration du président français, François Hollande » . Ce dernier a déclaré, avant-hier, que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, poursuit sa convalescence dans l'établissement des Invalides à Paris, lui souhaitant de revenir « le plus vite possible dans son pays ». Par ailleurs le conseil consultatif a appelé le gouvernement à « redynamiser » les lois relatives aux crimes économiques et à la lutte contre la corruption. Deux fléaux que le MSP considère comme dangereux sur la sécurité nationale. Cela dit le conseil consultatif a entériné le choix du président du parti concernant la composante du nouveau bureau national. A vrai dire Abderrazak Mokri a préservé la majorité des membres de l'ancien bureau national qui a travaillé avec l'ex président Bouguerra Soltani, privilégiant ainsi la continuité.