Les partisans à l'élection du nouveau secrétaire général du FLN se mobilisent pour la tenue d'une session extraordinaire, ce qui est loin d'être gagné. Les partisans à l'élection du nouveau secrétaire général du FLN se mobilisent pour la tenue d'une session extraordinaire, ce qui est loin d'être gagné. Questions à deux sous : qu'est-ce qui fait courir les partis politiques ? La présidentielle pardi ! Les islamistes sont les premiers à battre le pavé. Pas question de rater le coche, les précédentes élections ont été un fiasco et ils se promettent donc de mettre toutes les chances de leur côté. Le tout nouveau chef du MSP, Abderrezak Mokri, lance des consultations tous azimuts pour connaître les positions des uns des autres, pour les jauger et prendre les décisions en conseil national et ne pas partir en rangs dispersés pour consacrer «une démocratie intègre qui servirait les intérêts de l'Algérie». Un autre parti islamiste émet le souhait de voir les présidentielles de 2014 "ouvertes dans l'égalité des chances aux candidats de tous les partis politiques". Le parti El Karama de Mohamed Benhamou, ne veut pas lui aussi laisser passer sa chance en souhaitant qu'il y ait un second tour dans la présidentielle pour opérer des alliances. Le FJD de Djaballah s'en tient pour le moment à la révision de la Constitution dans sa globalité, du préambule, jusqu'au dernier article dans le cadre des principes de l'Islam. La révision de la Constitution est sa priorité et tient à ce que cela se fasse avant la présidentielle. Il reste les «Grands» comme le FLN et le RND qui stagnent dans les eaux de la confusion et des divergences. Les partisans à l'élection du nouveau secrétaire général du FLN se mobilisent pour la tenue d'une session extraordinaire, ce qui est loin d'être gagné. Le RND est toujours en quête d'un successeur. Son secrétaire par intérim Abdelkader Bensalah, qui a pris les commandes au lendemain de la démission de Ahmed Ouyahia, en super globe-trotter martèle haut et fort que le RND n'est pas mort politiquement. Là aussi on pense à unifier les rangs pour aborder les deux rendez-vous que sont la réunion du conseil national et le congrès du parti qui va se tenir avant la fin de l'année selon les propos de Bensalah. Sur la présidentielle le FLN comme le RND sont dans l'expectative et attendent le retour du président Abdelaziz Bouteflika qui poursuit une convalescence à Paris. Questions à deux sous : qu'est-ce qui fait courir les partis politiques ? La présidentielle pardi ! Les islamistes sont les premiers à battre le pavé. Pas question de rater le coche, les précédentes élections ont été un fiasco et ils se promettent donc de mettre toutes les chances de leur côté. Le tout nouveau chef du MSP, Abderrezak Mokri, lance des consultations tous azimuts pour connaître les positions des uns des autres, pour les jauger et prendre les décisions en conseil national et ne pas partir en rangs dispersés pour consacrer «une démocratie intègre qui servirait les intérêts de l'Algérie». Un autre parti islamiste émet le souhait de voir les présidentielles de 2014 "ouvertes dans l'égalité des chances aux candidats de tous les partis politiques". Le parti El Karama de Mohamed Benhamou, ne veut pas lui aussi laisser passer sa chance en souhaitant qu'il y ait un second tour dans la présidentielle pour opérer des alliances. Le FJD de Djaballah s'en tient pour le moment à la révision de la Constitution dans sa globalité, du préambule, jusqu'au dernier article dans le cadre des principes de l'Islam. La révision de la Constitution est sa priorité et tient à ce que cela se fasse avant la présidentielle. Il reste les «Grands» comme le FLN et le RND qui stagnent dans les eaux de la confusion et des divergences. Les partisans à l'élection du nouveau secrétaire général du FLN se mobilisent pour la tenue d'une session extraordinaire, ce qui est loin d'être gagné. Le RND est toujours en quête d'un successeur. Son secrétaire par intérim Abdelkader Bensalah, qui a pris les commandes au lendemain de la démission de Ahmed Ouyahia, en super globe-trotter martèle haut et fort que le RND n'est pas mort politiquement. Là aussi on pense à unifier les rangs pour aborder les deux rendez-vous que sont la réunion du conseil national et le congrès du parti qui va se tenir avant la fin de l'année selon les propos de Bensalah. Sur la présidentielle le FLN comme le RND sont dans l'expectative et attendent le retour du président Abdelaziz Bouteflika qui poursuit une convalescence à Paris.