Le vice-Premier ministre turc, Huseyin Celik, a jugé samedi dernier que la situation en Turquie était "sous contrôle", au neuvième jour des manifestations. Le vice-Premier ministre turc, Huseyin Celik, a jugé samedi dernier que la situation en Turquie était "sous contrôle", au neuvième jour des manifestations. "Le processus (des manifestations) est sous le contrôle du gouvernement, il se normalise et devient de plus en plus raisonnable", a jugé M. Celik devant la presse, à l'issue d'une réunion à Istanbul des instances dirigeantes du Parti de la justice et du développement (AKP) autour de M. Erdogan. Une nouvelle fois, le vice-Premier ministre a répété que son gouvernement respectait les modes de vie de chacun des Turcs. Interrogé par la presse, il a écarté le scénario d'élections anticipées pour résoudre la crise. "Le gouvernement tourne comme une horloge", a jugé le vice-Premier ministre, "vous ne décidez pas d'élections anticipées sous prétexte que des gens manifestent". Il a également rejeté les sanctions contre les chefs de la police, exigées par les manifestants. "Le Premier ministre ne ferait pas tomber de têtes uniquement parce que certains le veulent", a-t-il tranché. "Le processus (des manifestations) est sous le contrôle du gouvernement, il se normalise et devient de plus en plus raisonnable", a jugé M. Celik devant la presse, à l'issue d'une réunion à Istanbul des instances dirigeantes du Parti de la justice et du développement (AKP) autour de M. Erdogan. Une nouvelle fois, le vice-Premier ministre a répété que son gouvernement respectait les modes de vie de chacun des Turcs. Interrogé par la presse, il a écarté le scénario d'élections anticipées pour résoudre la crise. "Le gouvernement tourne comme une horloge", a jugé le vice-Premier ministre, "vous ne décidez pas d'élections anticipées sous prétexte que des gens manifestent". Il a également rejeté les sanctions contre les chefs de la police, exigées par les manifestants. "Le Premier ministre ne ferait pas tomber de têtes uniquement parce que certains le veulent", a-t-il tranché.