Les premiers soutiens apportés au président de la République et son éventuelle candidature à un 4e mandat présidentiel se font rares. L'on sait que depuis une semaine seuls deux partis politiques ont tranché dans le vif en apportant une caution de soutien qui ne souffre d'aucune ambiguïté. Les premiers soutiens apportés au président de la République et son éventuelle candidature à un 4e mandat présidentiel se font rares. L'on sait que depuis une semaine seuls deux partis politiques ont tranché dans le vif en apportant une caution de soutien qui ne souffre d'aucune ambiguïté. Il s'agit de Amar Ghoul président de Tadjamoue Amal el Djazair (TZJ) qui avait affirmé samedi dernier de Mila à ses militants que l'Algérie « est immunisée contre les tentatives d'ingérence étrangère » particulièrement dans le dossier de la gestion de la maladie du chef de l'Etat et sa convalescence en France. Auparavant, le président de ce parti a révélé que son parti « soutiendra toujours le programme du président et sa candidature au cas où il viendrait à se présenter». Le même ton est presque lancé par Amara Benyounes, le président de MPA (Mouvement populaire algérien) où il n'a pas caché son soutien au président de la République, estimant que « la limitation du nombre de mandats présidentiels ne peut constituer un préalable à la démocratie». Le premier responsable du MPA a qualifié de « faux débat » la campagne « pour ou contre un quatrième mandat de l'actuel chef de l'Etat ». Hormis les grosses cylindrées politiques à l'image du FLN et le RND dont l'appui à la candidature de Bouteflika reste le plus significatif, on note que certaines formations sans ancrage politique se mettent de la partie en se mettant en ordres serrés pour une propagande d'un 4e mandat. C'est le cas du RCN, le parti El Karama de Benhamou basé à Oran n'hésite pas à plaider pour un régime semi-présidentiel qui ferait « l'équilibre entre le président et le Parlement ». Contrairement aux formations d'obédience nationaliste, les partis islamistes font dans l'opposition après s'être adoubé longtemps aux ordres du sérail. Même s'ils nourrissent l'ambition de « fédérer leurs énergies pour l'union », il reste des lignes saillantes entre le discours du nouveau locataire du MSP, Abderezak Mokri, qui est le plus virulent et radical sur la question d'un 4e mandat pour lequel il est contre et ceux du microcosme islamo-conservateur qui tentent de brouiller les pistes par ni oui ni non. L'on sait par contre que dans camp démocrate, le RCD et le FFS ne changeront pas leurs positions sur la limitation des mandats présidentiels dont le trait marquant reste celui du débat autour de la réforme constitutionnelle. Cependant et même si les grandes lignes de cette réforme devront attendre la fin de l'année, il y a ceux qui veulent réinscrire la polémique autour de « l'ingérence étrangère dans les affaires du pays ». Curieuse déclaration que celle du président de l'APN qui remet au goût du jour « une tentative d'une pays étranger qui veut déstabiliser l'Algérie » par le bais « d'agents à l'intérieur complice avec des étrangers ». Le contexte actuel s'y prête bien selon le président de la Chambre basse mais ses déclarations ne sont pas inédites et sonnent comme une diversion par rapport à l'enjeu des présidentiables. Il s'agit de Amar Ghoul président de Tadjamoue Amal el Djazair (TZJ) qui avait affirmé samedi dernier de Mila à ses militants que l'Algérie « est immunisée contre les tentatives d'ingérence étrangère » particulièrement dans le dossier de la gestion de la maladie du chef de l'Etat et sa convalescence en France. Auparavant, le président de ce parti a révélé que son parti « soutiendra toujours le programme du président et sa candidature au cas où il viendrait à se présenter». Le même ton est presque lancé par Amara Benyounes, le président de MPA (Mouvement populaire algérien) où il n'a pas caché son soutien au président de la République, estimant que « la limitation du nombre de mandats présidentiels ne peut constituer un préalable à la démocratie». Le premier responsable du MPA a qualifié de « faux débat » la campagne « pour ou contre un quatrième mandat de l'actuel chef de l'Etat ». Hormis les grosses cylindrées politiques à l'image du FLN et le RND dont l'appui à la candidature de Bouteflika reste le plus significatif, on note que certaines formations sans ancrage politique se mettent de la partie en se mettant en ordres serrés pour une propagande d'un 4e mandat. C'est le cas du RCN, le parti El Karama de Benhamou basé à Oran n'hésite pas à plaider pour un régime semi-présidentiel qui ferait « l'équilibre entre le président et le Parlement ». Contrairement aux formations d'obédience nationaliste, les partis islamistes font dans l'opposition après s'être adoubé longtemps aux ordres du sérail. Même s'ils nourrissent l'ambition de « fédérer leurs énergies pour l'union », il reste des lignes saillantes entre le discours du nouveau locataire du MSP, Abderezak Mokri, qui est le plus virulent et radical sur la question d'un 4e mandat pour lequel il est contre et ceux du microcosme islamo-conservateur qui tentent de brouiller les pistes par ni oui ni non. L'on sait par contre que dans camp démocrate, le RCD et le FFS ne changeront pas leurs positions sur la limitation des mandats présidentiels dont le trait marquant reste celui du débat autour de la réforme constitutionnelle. Cependant et même si les grandes lignes de cette réforme devront attendre la fin de l'année, il y a ceux qui veulent réinscrire la polémique autour de « l'ingérence étrangère dans les affaires du pays ». Curieuse déclaration que celle du président de l'APN qui remet au goût du jour « une tentative d'une pays étranger qui veut déstabiliser l'Algérie » par le bais « d'agents à l'intérieur complice avec des étrangers ». Le contexte actuel s'y prête bien selon le président de la Chambre basse mais ses déclarations ne sont pas inédites et sonnent comme une diversion par rapport à l'enjeu des présidentiables.