Le point le plus inquiétant dans les projets de construction est celui du risque sismique. La nouvelle législation l'a inclus au même titre que les autres normes auxquelles les professionnels doivent se soumettre. Le point le plus inquiétant dans les projets de construction est celui du risque sismique. La nouvelle législation l'a inclus au même titre que les autres normes auxquelles les professionnels doivent se soumettre. D'autant que la carte sismique dressée et actualisée tout récemment montre clairement que les zones urbaines côtières sont les plus exposées aux aléas d'un séisme. Kamel Lammali, un chercheur du CRAAG (Centre de recherches en astronomie, astrophysique et géophysique) avait déclaré il y a quelques mois que « les régions urbaines sont toujours les plus exposées à cause d'une forte densité démographique ». Le facteur démographique qui tourne autour d'une forte concentration de populations met en péril les nouvelles zones de constructions. « Dans les années récentes, les effets de catastrophes ont augmenté en raison de la forte densité de la population, la mauvaise planification urbaine et la qualité de la construction, infrastructures et services inadéquats et la dégradation de l'environnement », constate amèrement un rapport du centre de recherche. Pour Kamel Lammali, c'est « le gros risque qui existe à Alger à cause de l'urbanisme un peu anarchique de la ville ». Cela dit, pour éviter encore une fois, les catastrophes urbaines provoquées par un séisme de grande intensité, les pouvoirs publics ont exigé que « les nouvelles constructions soient soumises aux normes parasismiques qui ont été élaborées ces dernières années depuis la loi de 2004 (relative à la prévention des risques majeurs, ndlr) ». Toutefois, ces normes ne s'appliquent pas aux bâtiments construits avant l'introduction de ces nouvelles règles. Il faut attendre une autre loi ou décret pour combler ce vide. D'autant que la carte sismique dressée et actualisée tout récemment montre clairement que les zones urbaines côtières sont les plus exposées aux aléas d'un séisme. Kamel Lammali, un chercheur du CRAAG (Centre de recherches en astronomie, astrophysique et géophysique) avait déclaré il y a quelques mois que « les régions urbaines sont toujours les plus exposées à cause d'une forte densité démographique ». Le facteur démographique qui tourne autour d'une forte concentration de populations met en péril les nouvelles zones de constructions. « Dans les années récentes, les effets de catastrophes ont augmenté en raison de la forte densité de la population, la mauvaise planification urbaine et la qualité de la construction, infrastructures et services inadéquats et la dégradation de l'environnement », constate amèrement un rapport du centre de recherche. Pour Kamel Lammali, c'est « le gros risque qui existe à Alger à cause de l'urbanisme un peu anarchique de la ville ». Cela dit, pour éviter encore une fois, les catastrophes urbaines provoquées par un séisme de grande intensité, les pouvoirs publics ont exigé que « les nouvelles constructions soient soumises aux normes parasismiques qui ont été élaborées ces dernières années depuis la loi de 2004 (relative à la prévention des risques majeurs, ndlr) ». Toutefois, ces normes ne s'appliquent pas aux bâtiments construits avant l'introduction de ces nouvelles règles. Il faut attendre une autre loi ou décret pour combler ce vide.