La volonté des responsables du Mouvement de la société pour la paix (MSP) et ceux du Front du changement (FC) pour concrétiser le projet d'union semble réelle. En atteste le pas de géant en direction de cet objectif que les deux mouvements vont franchir dès demain vendredi. La volonté des responsables du Mouvement de la société pour la paix (MSP) et ceux du Front du changement (FC) pour concrétiser le projet d'union semble réelle. En atteste le pas de géant en direction de cet objectif que les deux mouvements vont franchir dès demain vendredi. En effet, le MSP et le FC ont décidé, d'un commun accord, d'organiser ensemble la conférence internationale consacrée au défunt Mahfoudh Nahnah, à l'occasion du 10e anniversaire de son décès. Les années passées, depuis la dissidence du groupe de Abdelmadjid Menasra et la création du FC, chaque parti organisait sa propre conférence. Ce qui prouvait que le divorce entre les six partis était total. Cette année la donne a complètement changée puisque la dynamique de réunification des rangs s'est enclenchée depuis des mois déjà. « Ceci démontre bien que la crédibilité du projet d'union entre les deux formations auquel aspirent les militants et les partisans de l'école de Mahfoudh Nahnah » relève Farouk Siradj Edahab, membre du bureau national du MSP, et premier responsable de l'organisation de cette rencontre internationale. Selon le communiqué, rendu public sur le site du MSP, cette rencontre examinera l'évolution de la situation économique et politique dans la région et les perspectives d'avenir. Cette rencontre se veut être une opportunité pour les directions politiques des deux partis politiques pour faire un pas supplémentaire vers la réunification des rangs, un processus qui a été lancé il y a quelques mois lorsque Abdelmadjid Menasra, président du FC, et Bouguerra Soltani, alors président du MSP, ont signé une charte de l'union. Un document, à travers lequel, ils se sont engagés, à aller de l'avant en direction de cet objectif. Un objectif que partage aussi le nouveau président du MSP, Abderrazak Mokri. Le successeur de Bouguerra Soltani, élu lors du dernier congrès, a clairement affiché sa volonté de respecter l'accord conclu entre les deux partis. Comme il l'a confié à Abdelmadjid Menasra de vive voix lorsque il l'a reçu au siège du MSP, au lendemain de son élection à la présidence du mouvement. Mokri ambitionne aussi d'associer à ce projet d'union, un autre groupe dissident, dirigé par Mustapha Boumehdi, qui a créé, avec d'anciens cadres du MSP et du FC, le mouvement « El Binaa ». Mais pour l'heure les dirigeants de ce dernier mouvement considèrent que le projet d'union est « irréalisable ». « Nous leur disons que la concrétisation de l'objectif est possible pour peu que la volonté de le faire existe » souligne, pourtant, Abdelmadjid Menasra dans une de ses récentes déclarations avant d'ajouter « qu'il ne faut pas juger l'expérience avant de l'avoir tenté ». Cela dit les dirigeants du MSP et du FC vont faire un pas supplémentaire important vers l'union et ce en présence de grandes personnalités du mouvement des frères musulmans venus de plusieurs pays arabes et musulmans. Un mouvement auquel les deux formations appartiennent. En effet, en plus de Rached El Ghanouchi, président du mouvement Enahda tunisien, l'on verra aussi la participation des représentants des frères musulmans de Jordanie, d'Egypte de Palestine du Soudan, du Liban, etc. En effet, le MSP et le FC ont décidé, d'un commun accord, d'organiser ensemble la conférence internationale consacrée au défunt Mahfoudh Nahnah, à l'occasion du 10e anniversaire de son décès. Les années passées, depuis la dissidence du groupe de Abdelmadjid Menasra et la création du FC, chaque parti organisait sa propre conférence. Ce qui prouvait que le divorce entre les six partis était total. Cette année la donne a complètement changée puisque la dynamique de réunification des rangs s'est enclenchée depuis des mois déjà. « Ceci démontre bien que la crédibilité du projet d'union entre les deux formations auquel aspirent les militants et les partisans de l'école de Mahfoudh Nahnah » relève Farouk Siradj Edahab, membre du bureau national du MSP, et premier responsable de l'organisation de cette rencontre internationale. Selon le communiqué, rendu public sur le site du MSP, cette rencontre examinera l'évolution de la situation économique et politique dans la région et les perspectives d'avenir. Cette rencontre se veut être une opportunité pour les directions politiques des deux partis politiques pour faire un pas supplémentaire vers la réunification des rangs, un processus qui a été lancé il y a quelques mois lorsque Abdelmadjid Menasra, président du FC, et Bouguerra Soltani, alors président du MSP, ont signé une charte de l'union. Un document, à travers lequel, ils se sont engagés, à aller de l'avant en direction de cet objectif. Un objectif que partage aussi le nouveau président du MSP, Abderrazak Mokri. Le successeur de Bouguerra Soltani, élu lors du dernier congrès, a clairement affiché sa volonté de respecter l'accord conclu entre les deux partis. Comme il l'a confié à Abdelmadjid Menasra de vive voix lorsque il l'a reçu au siège du MSP, au lendemain de son élection à la présidence du mouvement. Mokri ambitionne aussi d'associer à ce projet d'union, un autre groupe dissident, dirigé par Mustapha Boumehdi, qui a créé, avec d'anciens cadres du MSP et du FC, le mouvement « El Binaa ». Mais pour l'heure les dirigeants de ce dernier mouvement considèrent que le projet d'union est « irréalisable ». « Nous leur disons que la concrétisation de l'objectif est possible pour peu que la volonté de le faire existe » souligne, pourtant, Abdelmadjid Menasra dans une de ses récentes déclarations avant d'ajouter « qu'il ne faut pas juger l'expérience avant de l'avoir tenté ». Cela dit les dirigeants du MSP et du FC vont faire un pas supplémentaire important vers l'union et ce en présence de grandes personnalités du mouvement des frères musulmans venus de plusieurs pays arabes et musulmans. Un mouvement auquel les deux formations appartiennent. En effet, en plus de Rached El Ghanouchi, président du mouvement Enahda tunisien, l'on verra aussi la participation des représentants des frères musulmans de Jordanie, d'Egypte de Palestine du Soudan, du Liban, etc.