Les électeurs iraniens ont commencé à voter vendredi matin dans l'élection présidentielle qui doit désigner un successeur à Mahmoud Ahmadinejad à la tête de la République islamique. Les électeurs iraniens ont commencé à voter vendredi matin dans l'élection présidentielle qui doit désigner un successeur à Mahmoud Ahmadinejad à la tête de la République islamique. Les bureaux de vote ont ouvert à 3h30 GMT et les opérations électorales doivent durer 10 heures avec de possibles prolongations dans la journée, si nécessaire. Les mesures de sécurité ont été renforcées au terme d'une campagne relativement atone, sans comparaison avec celle de 2009 lorsque les réformateurs avaient entrevu l'espoir d'une victoire et d'un changement en Iran. Parmi les cinq candidats conservateurs qui ont exprimé leur allégeance à Ali Khamenei, trois possèdent des chances de l'emporter ou d'accéder au second tour. Parmi ces trois favoris, on retrouve Saïd Jalili, actuel négociateur en chef sur la question nucléaire et candidat le plus en vue, les deux autres prétendants, sont Mohammad Baqer Qalibaf, maire de Téhéran, et Ali Akbar Velayati, ancien ministre des Affaires étrangères La dispersion du camp conservateur pourrait favoriser les ambitions du religieux Hassan Rohani, seul modéré en lice. "Il est important que tout le monde participe", a lancé Khamenei dans une intervention en direct à la télévision. "Notre chère nation doit aller voter avec enthousiasme et gaieté et doit savoir que le destin de notre pays est entre ses mains, que le bonheur du pays dépend d'elle", a-t-il ajouté. Fin mai, le secrétaire d'Etat américain John Kerry avait émis des réserves sur la crédibilité de cette élection, critiquant la disqualification de certains candidats et accusant les autorités de bloquer l'accès à internet. Les bureaux de vote ont ouvert à 3h30 GMT et les opérations électorales doivent durer 10 heures avec de possibles prolongations dans la journée, si nécessaire. Les mesures de sécurité ont été renforcées au terme d'une campagne relativement atone, sans comparaison avec celle de 2009 lorsque les réformateurs avaient entrevu l'espoir d'une victoire et d'un changement en Iran. Parmi les cinq candidats conservateurs qui ont exprimé leur allégeance à Ali Khamenei, trois possèdent des chances de l'emporter ou d'accéder au second tour. Parmi ces trois favoris, on retrouve Saïd Jalili, actuel négociateur en chef sur la question nucléaire et candidat le plus en vue, les deux autres prétendants, sont Mohammad Baqer Qalibaf, maire de Téhéran, et Ali Akbar Velayati, ancien ministre des Affaires étrangères La dispersion du camp conservateur pourrait favoriser les ambitions du religieux Hassan Rohani, seul modéré en lice. "Il est important que tout le monde participe", a lancé Khamenei dans une intervention en direct à la télévision. "Notre chère nation doit aller voter avec enthousiasme et gaieté et doit savoir que le destin de notre pays est entre ses mains, que le bonheur du pays dépend d'elle", a-t-il ajouté. Fin mai, le secrétaire d'Etat américain John Kerry avait émis des réserves sur la crédibilité de cette élection, critiquant la disqualification de certains candidats et accusant les autorités de bloquer l'accès à internet.