Une bonne partie du parc immobilier actuel est en état de vétusté. Les différents chiffres indiquent que 200,000 logements menacent ruine étant donné l'âge avancé de leur dégradation. Mais d'autres milliers de bâtisses sont dans l'expectative puisque leur confortement, réhabilitation ou éventuellement leur démolition prend du temps. Une bonne partie du parc immobilier actuel est en état de vétusté. Les différents chiffres indiquent que 200,000 logements menacent ruine étant donné l'âge avancé de leur dégradation. Mais d'autres milliers de bâtisses sont dans l'expectative puisque leur confortement, réhabilitation ou éventuellement leur démolition prend du temps. Problème récurrent, le vieux bâti fait parler de lui dans un contexte où ce parc immobilier est évalué à près de 200.000 logements, hangars et vieux dépôts de commerce et caves de stockage. Le diagnostic mené par le ministère de l'Habitat et quelques bureaux spécialisés fait ressortir un parc vétuste où 28% de ce dernier ont 40 ans d'âge selon une étude du collège national des architectes. «La nécessité de sauvegarder le vieux bâti plutôt que de le détruire» est l'option choisie par les pouvoirs publics. A cet effet «une commission nationale de prise en charge du vieux bâti a été créée» avec une dotation consécration de 10 milliards de DA pour les habitations qui ont subi de grosses altérations mais qui peuvent être récupérées. Il ressort que 5 milliards de DA ont été exclusivement alloués à la capitale alors que la ville d'Oran se voit attribuer un montant de 2,5 milliards de DA pour la rénovation de son parc alors que Annaba et Constantine ont respectivement bénéficié de 1 milliard de DA et 1,5 milliard de DA. Les projets, pour la plupart, ne sont pas si aisés dans un terrain où seuls le savoir-faire et une expertise particulière sont exigés pour parfaire l'opération. «A ce niveau, nous manquons de ressources et d'entreprises spécialisées dans le domaine de la restauration et rénovation du vieux bâti», nous confie un des architectes de l'Ecole polytechnique d'architecture et d'urbanisme d'Alger (EPAU). Rien qu'à Alger, le CTC (Contrôle technique de construction) n'a recensé que 67.000 vieilles bâtisses à Alger. A Oran, c'est près de la moitié du patrimoine immobilier qui date d'un demi-siècle qui a besoin d'être rénovée. Les experts du CTC considèrent que «les opérations de rénovation de ce genre d'habitat sont plus compliquées». Le premier responsable du secteur reconnaît que "les coûts sont supportés par l'Etat". Faute de moyens, certaines bâtisses se sont carrément effondrées faute de prise en charge. Certains balcons ou supports de balustrades menacent de s'écrouler tout bonnement face parfois à des passants médusés. Une situation dont les élus, responsables du secteur et propriétaires de ces biens immobiliers partagent la responsabilité avec parfois des conséquences fatales sur la vie humaine. Problème récurrent, le vieux bâti fait parler de lui dans un contexte où ce parc immobilier est évalué à près de 200.000 logements, hangars et vieux dépôts de commerce et caves de stockage. Le diagnostic mené par le ministère de l'Habitat et quelques bureaux spécialisés fait ressortir un parc vétuste où 28% de ce dernier ont 40 ans d'âge selon une étude du collège national des architectes. «La nécessité de sauvegarder le vieux bâti plutôt que de le détruire» est l'option choisie par les pouvoirs publics. A cet effet «une commission nationale de prise en charge du vieux bâti a été créée» avec une dotation consécration de 10 milliards de DA pour les habitations qui ont subi de grosses altérations mais qui peuvent être récupérées. Il ressort que 5 milliards de DA ont été exclusivement alloués à la capitale alors que la ville d'Oran se voit attribuer un montant de 2,5 milliards de DA pour la rénovation de son parc alors que Annaba et Constantine ont respectivement bénéficié de 1 milliard de DA et 1,5 milliard de DA. Les projets, pour la plupart, ne sont pas si aisés dans un terrain où seuls le savoir-faire et une expertise particulière sont exigés pour parfaire l'opération. «A ce niveau, nous manquons de ressources et d'entreprises spécialisées dans le domaine de la restauration et rénovation du vieux bâti», nous confie un des architectes de l'Ecole polytechnique d'architecture et d'urbanisme d'Alger (EPAU). Rien qu'à Alger, le CTC (Contrôle technique de construction) n'a recensé que 67.000 vieilles bâtisses à Alger. A Oran, c'est près de la moitié du patrimoine immobilier qui date d'un demi-siècle qui a besoin d'être rénovée. Les experts du CTC considèrent que «les opérations de rénovation de ce genre d'habitat sont plus compliquées». Le premier responsable du secteur reconnaît que "les coûts sont supportés par l'Etat". Faute de moyens, certaines bâtisses se sont carrément effondrées faute de prise en charge. Certains balcons ou supports de balustrades menacent de s'écrouler tout bonnement face parfois à des passants médusés. Une situation dont les élus, responsables du secteur et propriétaires de ces biens immobiliers partagent la responsabilité avec parfois des conséquences fatales sur la vie humaine.