La situation n'est guère reluisante. Les choses se compliquent de plus en plus. Le secteur des transports dans la wilaya de Tizi-Ouzou traverse une zone de turbulence inédite dans les annales. La situation n'est guère reluisante. Les choses se compliquent de plus en plus. Le secteur des transports dans la wilaya de Tizi-Ouzou traverse une zone de turbulence inédite dans les annales. Il y a eu d'abord les 900 chauffeurs de taxis urbains assurant la ligne Tizi-Ouzou-Nouvelle-Ville qui ont commencé, il y a un mois, à observer une grève cyclique de quatre jours par semaine. Puis, après la mise en pratique de la décision inhérente à la fermeture de manière définitive de l'ancienne gare routière, la situation s'est envenimée. Les transporteurs de fourgons des régions de Tigzirt, Makouda, Maâtkas, Drâa Ben Khedda, Tirmitine et Tadmaït se sont élevés pour dénoncer cette mesure. Les concernés ont été transféré vers le lieu-dit Saïd-Amirocuhe, à plus de deux kilomètres à la sortie-ouest de la ville de Tizi-Ouzou. Ce nouveau lieu de stationnement n'est doté d'aucune commodité, a-t-on constaté sur place. Les voyageurs doivent ainsi attendre carrément sur la route ; les trottoirs n'existant pas à cet endroit. Cette mesure de délocaliser le lieu de stationnement et de chargement des voyageurs des régions suscitées semblent avoir été prise à la hâte. Comment expliquer sinon que des dos-d'âne aient été réalisés en pleine autoroute, créant ainsi des bouchons monstres en pleine RN 12 ? Depuis que cette nouvelle décision a été prise par la direction de wilaya du secteur des transporteurs, les grèves se suivent et les voyageurs, de leur côté, sont livrés à eux-mêmes. En plus du mouvement de grève, les transporteurs concernés ont également décidé d'observer un sit-in devant le siège de la Direction des transports pour exprimer leur mécontentement et leur refus d'être « jetés » dans un endroit où il n'existe même pas de lieu où les voyageurs pourraient patienter. Notons que ce choix est loin d'être adéquat puisqu'il engendre, de fait, plusieurs anomalies, dont les responsables concernés auraient pu se passer. Par exemple, les voyageurs de Drâa Ben Khedda devraient faire une escale systématique avant de pouvoir rallier la ville de Tizi-Ouzou. Chose qui est bsurde quand on n'ignore pas que le trajet Tizi-Ouzou-Drâa Ben Khedda s'effectue en moins de dix minutes (11 kilomètres). C'est le cas aussi pour les transporteurs habitant dans la commune de Drâa Ben Khedda, soumis, désormais, au même régime. Les voyageurs de Makouda, Tigzirt, Tirmitine et Maâtkas n'échapperont pas à cette règle non plus. Cette mesure sera, donc, pénalisante pour les milliers de citoyens dont le trajet se fera en beaucoup plus de temps, compte tenu de l'escale qui sera dorénavant inévitable. Cela, sans compter l'augmentation systématique du prix du trajet de pas moins de 30 dinars. Ainsi, le trajet aller-retour de Drâa Ben Khedda à Tizi-Ouzou passera de 40 à 70 dinars. Alors que le trajet aller-retour Tigzirt-Tizi-Ouzzou sera de pas moins de 170 dinars. Le mécontentement des transporteurs en question est loin de se tasser puisqu'hier encore la grève était toujours en vigueur. Les transporteurs préparent même la tenue d'une marche au centre-ville de Tizi-Ouzou. Cette dernière sera organisée, au cas où elle est maintenue, avec la participation des 900 chauffeurs de taxis assurant la navette Tizi-Ouzou-Nouvelle Ville. Ces derniers, pour rappel, contestent la mesure qui les somme de transformer leurs véhicule d'une capacité de 7 places en des voitures de cinq places dans la perspective de les doter de compteurs. Il y a eu d'abord les 900 chauffeurs de taxis urbains assurant la ligne Tizi-Ouzou-Nouvelle-Ville qui ont commencé, il y a un mois, à observer une grève cyclique de quatre jours par semaine. Puis, après la mise en pratique de la décision inhérente à la fermeture de manière définitive de l'ancienne gare routière, la situation s'est envenimée. Les transporteurs de fourgons des régions de Tigzirt, Makouda, Maâtkas, Drâa Ben Khedda, Tirmitine et Tadmaït se sont élevés pour dénoncer cette mesure. Les concernés ont été transféré vers le lieu-dit Saïd-Amirocuhe, à plus de deux kilomètres à la sortie-ouest de la ville de Tizi-Ouzou. Ce nouveau lieu de stationnement n'est doté d'aucune commodité, a-t-on constaté sur place. Les voyageurs doivent ainsi attendre carrément sur la route ; les trottoirs n'existant pas à cet endroit. Cette mesure de délocaliser le lieu de stationnement et de chargement des voyageurs des régions suscitées semblent avoir été prise à la hâte. Comment expliquer sinon que des dos-d'âne aient été réalisés en pleine autoroute, créant ainsi des bouchons monstres en pleine RN 12 ? Depuis que cette nouvelle décision a été prise par la direction de wilaya du secteur des transporteurs, les grèves se suivent et les voyageurs, de leur côté, sont livrés à eux-mêmes. En plus du mouvement de grève, les transporteurs concernés ont également décidé d'observer un sit-in devant le siège de la Direction des transports pour exprimer leur mécontentement et leur refus d'être « jetés » dans un endroit où il n'existe même pas de lieu où les voyageurs pourraient patienter. Notons que ce choix est loin d'être adéquat puisqu'il engendre, de fait, plusieurs anomalies, dont les responsables concernés auraient pu se passer. Par exemple, les voyageurs de Drâa Ben Khedda devraient faire une escale systématique avant de pouvoir rallier la ville de Tizi-Ouzou. Chose qui est bsurde quand on n'ignore pas que le trajet Tizi-Ouzou-Drâa Ben Khedda s'effectue en moins de dix minutes (11 kilomètres). C'est le cas aussi pour les transporteurs habitant dans la commune de Drâa Ben Khedda, soumis, désormais, au même régime. Les voyageurs de Makouda, Tigzirt, Tirmitine et Maâtkas n'échapperont pas à cette règle non plus. Cette mesure sera, donc, pénalisante pour les milliers de citoyens dont le trajet se fera en beaucoup plus de temps, compte tenu de l'escale qui sera dorénavant inévitable. Cela, sans compter l'augmentation systématique du prix du trajet de pas moins de 30 dinars. Ainsi, le trajet aller-retour de Drâa Ben Khedda à Tizi-Ouzou passera de 40 à 70 dinars. Alors que le trajet aller-retour Tigzirt-Tizi-Ouzzou sera de pas moins de 170 dinars. Le mécontentement des transporteurs en question est loin de se tasser puisqu'hier encore la grève était toujours en vigueur. Les transporteurs préparent même la tenue d'une marche au centre-ville de Tizi-Ouzou. Cette dernière sera organisée, au cas où elle est maintenue, avec la participation des 900 chauffeurs de taxis assurant la navette Tizi-Ouzou-Nouvelle Ville. Ces derniers, pour rappel, contestent la mesure qui les somme de transformer leurs véhicule d'une capacité de 7 places en des voitures de cinq places dans la perspective de les doter de compteurs.