Un plan national stratégique de lutte contre les maladies non transmissibles (MNT) vient d'être lancé. Classé comme prioritaire, ce plan vise à réduire les facteurs de risques des pathologies dont la courbe de décès est en hausse ces dernières années. Les maladies cardio-vasculaires, le cancer, le diabète et les affections respiratoires chroniques sont celles qui sont listées parmi les plus redoutables avec 60% de décès. Un plan national stratégique de lutte contre les maladies non transmissibles (MNT) vient d'être lancé. Classé comme prioritaire, ce plan vise à réduire les facteurs de risques des pathologies dont la courbe de décès est en hausse ces dernières années. Les maladies cardio-vasculaires, le cancer, le diabète et les affections respiratoires chroniques sont celles qui sont listées parmi les plus redoutables avec 60% de décès. C'est le professeur Smaïl Mesbah, directeur de la prévention au sein du ministère de la Santé qui a révélé une partie de l'enquête menée par les services de santé sur la prévalence de ces maladies et leur taux de mortalité. Il ressort ainsi que les maladies cardio-vasculaires détiennent le record des décès avec 26,1% suivi des tumeurs malignes avec 16%, les affections périnatales avec 13,5% et les maladies respiratoires chroniques avec 7,6%. Des taux qui indiquent une inquiétude croissante chez les spécialistes de la santé qui les soulignent comme « maladies devant bénéficier d'une prise en charge particulière ». C'est dans ce cadre que le plan 2013-2014 aura à mettre en exergue, selon le responsable de la prévention du ministère « l'élaboration des politiques, des lois et règlements visant à réduire les facteurs de risque des principales MNT, l'amélioration du niveau de connaissance de la population sur les moyens de prévention et la promotion de la détection précoce des ces pathologies qui ne cesse de faire des victimes de par le monde ». La nouvelle stratégie dépasse de loin le schéma classique de la prise en charge médicale lors de l'apparition de ces pathologies. Pour la réduction des risques, les experts signalent que l'environnement (pollution) et l'hygiène alimentaire ne constituent que les critères sur les quelles reposent les stratégies de prévention. En Algérie, le professeur Mesbah insiste sur « la promotion d'un environnement sans tabac et sans polluants ». Le Dr Djamila Nadir, sous-directrice de la prévention au ministère de la Santé évoque « le développement d'une stratégie multisectorielle afin de définir les modalités de lutte contre les maladies non transmissibles et les facteurs de risques les plus fréquents en Algérie ». Une autre étude, menée par le ministère de la Santé en 2012, fait ressortir que sur des échantillons de consultations médicales « près de 50% présentent des cas de diabète ou d'hypertension sans se rendre compte ». Ces maladies qui sont liées au mode de vie de l'individu ont une prévalence de 62% des cas qui sont actuellement en traitement. Mais les MNT ont un effet insidieux sur le coût de la santé et des soins qui ne cessent d'augmenter au fur et mesure selon les cas les plus prononcés. C'est dans ce contexte que la spécialistes de prévention en Algérie ont inclu dans ce plan « un rapport de coût qui doit être lié à la prévention et des premiers soins apportés aux malades qui souffrent de ces pathologies ». C'est le professeur Smaïl Mesbah, directeur de la prévention au sein du ministère de la Santé qui a révélé une partie de l'enquête menée par les services de santé sur la prévalence de ces maladies et leur taux de mortalité. Il ressort ainsi que les maladies cardio-vasculaires détiennent le record des décès avec 26,1% suivi des tumeurs malignes avec 16%, les affections périnatales avec 13,5% et les maladies respiratoires chroniques avec 7,6%. Des taux qui indiquent une inquiétude croissante chez les spécialistes de la santé qui les soulignent comme « maladies devant bénéficier d'une prise en charge particulière ». C'est dans ce cadre que le plan 2013-2014 aura à mettre en exergue, selon le responsable de la prévention du ministère « l'élaboration des politiques, des lois et règlements visant à réduire les facteurs de risque des principales MNT, l'amélioration du niveau de connaissance de la population sur les moyens de prévention et la promotion de la détection précoce des ces pathologies qui ne cesse de faire des victimes de par le monde ». La nouvelle stratégie dépasse de loin le schéma classique de la prise en charge médicale lors de l'apparition de ces pathologies. Pour la réduction des risques, les experts signalent que l'environnement (pollution) et l'hygiène alimentaire ne constituent que les critères sur les quelles reposent les stratégies de prévention. En Algérie, le professeur Mesbah insiste sur « la promotion d'un environnement sans tabac et sans polluants ». Le Dr Djamila Nadir, sous-directrice de la prévention au ministère de la Santé évoque « le développement d'une stratégie multisectorielle afin de définir les modalités de lutte contre les maladies non transmissibles et les facteurs de risques les plus fréquents en Algérie ». Une autre étude, menée par le ministère de la Santé en 2012, fait ressortir que sur des échantillons de consultations médicales « près de 50% présentent des cas de diabète ou d'hypertension sans se rendre compte ». Ces maladies qui sont liées au mode de vie de l'individu ont une prévalence de 62% des cas qui sont actuellement en traitement. Mais les MNT ont un effet insidieux sur le coût de la santé et des soins qui ne cessent d'augmenter au fur et mesure selon les cas les plus prononcés. C'est dans ce contexte que la spécialistes de prévention en Algérie ont inclu dans ce plan « un rapport de coût qui doit être lié à la prévention et des premiers soins apportés aux malades qui souffrent de ces pathologies ».