Neuf personnes, dont quatre policiers, ont été tuées samedi dans différentes attaques au nord de Bagdad, ont indiqué des sources médicales et au sein des services de sécurité. Neuf personnes, dont quatre policiers, ont été tuées samedi dans différentes attaques au nord de Bagdad, ont indiqué des sources médicales et au sein des services de sécurité. L'attaque la plus meurtrière a eu lieu dans la banlieue de la ville de Mossoul, où un kamikaze a fait exploser une voiture remplie d'explosifs près d'une patrouille de police. Quatre personnes, dont un policier, ont péri, ont indiqué des responsables médicaux et de la police. Dans la ville ethniquement mixte de Touz Khourmatou, située dans une zone que se disputent le gouvernement de Bagdad et le Kurdistan irakien, des hommes armés ont ouvert le feu sur une patrouille de police, tuant trois policiers et en blessant un quatrième, selon ces sources. Et dans la ville majoritairement sunnite de Tikrit, d'autres insurgés ont tiré sur des ouvriers attendant près d'un silo à grain, en tuant deux et en blessant quatre, ont indiqué des responsables. L'Irak connaît depuis le début de l'année un regain de violences, coïncidant avec une mobilisation sunnite contre le gouvernement de Nouri al-Maliki, accusé d'accaparer le pouvoir. L'attaque la plus meurtrière a eu lieu dans la banlieue de la ville de Mossoul, où un kamikaze a fait exploser une voiture remplie d'explosifs près d'une patrouille de police. Quatre personnes, dont un policier, ont péri, ont indiqué des responsables médicaux et de la police. Dans la ville ethniquement mixte de Touz Khourmatou, située dans une zone que se disputent le gouvernement de Bagdad et le Kurdistan irakien, des hommes armés ont ouvert le feu sur une patrouille de police, tuant trois policiers et en blessant un quatrième, selon ces sources. Et dans la ville majoritairement sunnite de Tikrit, d'autres insurgés ont tiré sur des ouvriers attendant près d'un silo à grain, en tuant deux et en blessant quatre, ont indiqué des responsables. L'Irak connaît depuis le début de l'année un regain de violences, coïncidant avec une mobilisation sunnite contre le gouvernement de Nouri al-Maliki, accusé d'accaparer le pouvoir.